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samedi 2 janvier 2016
Etats-Unis : des légendes folk et country chantent pour soutenir les petits agriculteurs (Le Monde)
Des monuments du folk et de la country dont Neil Young et Willie Nelson ont annoncé, mardi 28 juillet, qu’ils joueraient ensemble à Chicago le 19 septembre pour dénoncer le pouvoir des grands groupes agricoles lors du 30e anniversaire du festival Farm Aid.
mercredi 30 décembre 2015
La rumba, bande-originale des mutations de la société congolaise (Le Monde)
Face au succès de l’exposition « Beauté Congo », qui devait initialement se terminer le 15 novembre, la Fondation Cartier pour l’art contemporain a prolongé la manifestation jusqu’au 10 janvier 2016. Les visiteurs auront donc deux mois de plus pour découvrir, à Paris, cet échantillon d’une production artistique foisonnante, qui fait voisiner différentes formes de sensibilité sur une période allant du temps de la colonie belge jusqu’à l’actuelle République démocratique du Congo. D’abord, l’univers pictural congolais, avec ses stars, les peintures faussement naïves de Chéri Samba, les photos de la nuit kinoise, de Jean Depara, ou les magnifiques peintures animalières produites dans l’Atelier du Hangar, durant les années 1950. Ensuite, le son, puisque la Fondation a intégré à l’exposition un parcours musical d’une grande richesse.
mardi 29 décembre 2015
Adieu Lemmy
Il y a des matins, comme çà où on se réveille mal. La première nouvelle lue sur le téléphone est mauvaise : « Lemmy Kilmster est mort ». Brutalement, on revient en arrière. Une baffe mémorable brûle les oreilles.
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lundi 28 décembre 2015
Carlos Nuñez : « La celtitude est une sorte d’espéranto de l’Atlantique » (Le Monde)
Carlos Nuñes à Rio au Brésil en 2009. |
En 2007, le « pape de la celtitude », selon Carlos Nuñes, a passé la main à un nouveau directeur, Lisandro Lombardia, un Asturien. « Ce qui montre l’ouverture d’esprit de la Bretagne », ajoute le musicien, qui a multiplié les rendez-vous croisés, avec le flamenco, l’Irlande, l’arabo-andalou… Il jouera le 13 août à Lorient, avec l’Orchestre symphonique de Bretagne.
dimanche 27 décembre 2015
Etat d’urgence : la FFMC reprend ses actions de terrain
Suite aux attentats du 13 novembre dernier à Paris et à la mise en place par les pouvoirs publics de l’état d’urgence, le Bureau national de la FFMC a pris la seule décision qui lui semblait adaptée sur le moment : appeler ses militants à ne pas entraver l’action des forces de l’ordre mobilisées sur le terrain par des manifestations ou actions dont les tenants et aboutissants pouvaient paraître bien dérisoire en un pareil moment.
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Motos et motards
La circulation "interfiles" des deux-roues motorisés sur les rails
C'est officiel, un décret paru le samedi 26 décembre 2015 au Journal officiel annonce la mise en place de "l’expérimentation interfile des deux-roues motorisés" sur les voies rapides en Ile-de-France, dans les Bouches-du-Rhône, la Gironde et le Rhône, à partir du 1er février 2016.
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Motos et motards
samedi 26 décembre 2015
La B.O2-M-, le rêve musical de Matthieu Chedid (culturebox)
La B.O2-M-, c'est d'abord la suite de l'album expérimental de -M- , le Labo M sorti en 2003. Ni un poème, ni une bande dessinée, ni un disque, il est peut-être les trois à la fois. La nouvelle création de Matthieu Chedid est avant tout une expérience assez improbable à laquelle on avait été convié il y a quelques jours et que vous pouvez désormais découvrir dans un Livre-CD.
"Boris, je t'attends donc tout à l'heure pour notre petite expérience artistique en présence de Matthieu". J'en ai reçu des mails de responsable com', mais des comme ça, il faut bien l'avouer, pas souvent.
Intrigué comme je suis, vous vous doutez bien que je m'y empresse. Le rendez-vous est fixé au Palais de Tokyo. Là, je m'apprête à vivre quelque chose d'assez gratiné. À mon arrivée, pas beaucoup d'indication et personne ne semble s'inquiéter de ma présence. Je me trouve à l'intérieur du complexe avec comme seul secours, le numéro de cette surprenante attachée de presse. Je l'appelle. Elle me demande de descendre plusieurs étages. De l'attendre là. Quelques secondes plus tard, la voilà, tout sourire, qui m'embrasse chaleureusement. Mais qui est cette étrange créature, me dis-je à cet instant ? Elle me conduit vers une petite salle de projection. Une dizaine d'énormes fauteuils rouges l'emplissent. Devant chacun d'eux, posé sur la petite table qui leur fait face, une petite bouteille de boisson gazeuse. Du gingembre. Extra-fort. Oui, cette précision est très utile pour la suite de l'histoire.
Alors que les questions se percutent et battent mon petit crâne, les projecteurs s'éteignent. Nous voilà tous plongés dans l'obscurité. Je préfère rester sur mes gardes. "Pour vivre au mieux cette expérience, nous vous conseillons de fermer vos paupières", souffle une sorte de voix d'ambiance.
La bande son est lancée alors que je me bats contre mes paupières pour qu'elles se ferment. Mais elles refusent, se rouvrent, se débattent. Je m'aide alors de mes mains pour les maintenir closes. "Ceci n'est pas un disque, ceci n'est pas un poème, ceci n'est pas une bande dessinée", lance la même voix.
Voyage initiatique
On ne sait donc pas bien ce que c'est mais dès les premières notes ça accroche. Soudain la voix de -M- se fait entendre. "Au-dessus de l'amer, plus rien." Ça touche juste, ça percute. Les mots s'enchevêtrent sans beaucoup de sens mais avec une musicalité folle. Des bribes de rêve, des jeux de mots presque surréalistes. Des phrases à clés. Celle de son songe. Un rêve musical d'une demi-heure dans lequel on se meut comme dans une sorte de voyage initiatique. C'est du -M-. C'est sûr, dans ce qu'il a de plus expérimental, de plus conceptuel, de plus bigarré. Ça y'est, moi aussi je viens d'être accroché. J'ai oublié le gingembre et ma gorge qu'il continue d'enflammer. J'ai oublié mes paupières. Je crois qu'enfin, elles se sont refermées. Je n'entends plus que -M-. Je ne vois plus que -M-. Littéralement. Je crois l'apercevoir à travers mes paupières closes.
Là, je me dis que l'expérience que je vis est complètement dingue. Des techniciens ont sûrement dû créer un procédé novateur projetant des faisceaux lumineux sur nos yeux fermés. Et je le vois, presque chimérique, costume rouge et guitare électrique noire en bandoulière.
Il s'évapore et puis réapparait un peu plus loin, puis un peu plus à gauche. Je le cherche en essayant de deviner sa prochaine réapparition. Et me voilà, dans le noir complet, dodelinant ma petite tête en quête de -M-. Là, je l'avoue, je triche un peu. J'ouvre les yeux en me demandant si mes compères cherchent la même chose que moi. Mais rien, pas un mouvement. L'un d'eux, à deux fauteuils de moi s'est même carrément endormi, laissant s'échapper de son corps avachi des ronflements que je pensais provenir de la bande son. Je décide de demander à mon voisin s'il voit la même chose que moi. "Non il n'y a rien. Il faut juste fermer les yeux et sentir la musique rentrer en toi", me confie-t-il, en déposant sa main sur ma cuisse. Ils sont tous devenus dingues ici.
Comme ses instruments. Aux musiciens, il n'a fallu qu'une seule prise. Sorte d'acceptation du réel. "Le début du royaume de l'instantané", confie le chanteur que nous avons rencontré quelques jours plus tard. "Nous avons laissé sa place au hasard". Une improvisation musicale, un album instrumental et un hasard qui parfois fait si bien les choses. "Le hasard, ce petit malin, il avait tout prévu d'avance".
"Boris, je t'attends donc tout à l'heure pour notre petite expérience artistique en présence de Matthieu". J'en ai reçu des mails de responsable com', mais des comme ça, il faut bien l'avouer, pas souvent.
Intrigué comme je suis, vous vous doutez bien que je m'y empresse. Le rendez-vous est fixé au Palais de Tokyo. Là, je m'apprête à vivre quelque chose d'assez gratiné. À mon arrivée, pas beaucoup d'indication et personne ne semble s'inquiéter de ma présence. Je me trouve à l'intérieur du complexe avec comme seul secours, le numéro de cette surprenante attachée de presse. Je l'appelle. Elle me demande de descendre plusieurs étages. De l'attendre là. Quelques secondes plus tard, la voilà, tout sourire, qui m'embrasse chaleureusement. Mais qui est cette étrange créature, me dis-je à cet instant ? Elle me conduit vers une petite salle de projection. Une dizaine d'énormes fauteuils rouges l'emplissent. Devant chacun d'eux, posé sur la petite table qui leur fait face, une petite bouteille de boisson gazeuse. Du gingembre. Extra-fort. Oui, cette précision est très utile pour la suite de l'histoire.
Rat de laboratoire
Je croise les regards d'autres journalistes, aussi inquiets que moi. On préfère ne pas s'adresser la parole. Car il faut bien le dire, personne ne sait vraiment à quelle sauce il va être mangé. Mis à part ces petits malins de responsables com' chez qui je décèle un léger sourire narquois. "Je te conseille de t'assoir ici, de t'assoir confortablement. Ne t'inquiète pas. Tout se passera bien", répètent-ils un peu goguenard. Se foutent-ils tous de moi ? Ou la boisson au gingembre me monte-t-elle déjà au cerveau ? Je sue, mes paupières frémissent. Pourquoi ai-je avalé ce truc au gingembre d'un trait ? Eh puis d'abord, était-ce bien du gingembre ? Qu'est-ce qui m'arrive ? Ne suis-je qu'un vulgaire cobaye ? Un rat de laboratoire sur lequel tous ces gens vont tester mes réactions physiologiques à la musique, à l'image d'un Alex DeLarge dans Orange Mécanique ?Alors que les questions se percutent et battent mon petit crâne, les projecteurs s'éteignent. Nous voilà tous plongés dans l'obscurité. Je préfère rester sur mes gardes. "Pour vivre au mieux cette expérience, nous vous conseillons de fermer vos paupières", souffle une sorte de voix d'ambiance.
La bande son est lancée alors que je me bats contre mes paupières pour qu'elles se ferment. Mais elles refusent, se rouvrent, se débattent. Je m'aide alors de mes mains pour les maintenir closes. "Ceci n'est pas un disque, ceci n'est pas un poème, ceci n'est pas une bande dessinée", lance la même voix.
Voyage initiatique
On ne sait donc pas bien ce que c'est mais dès les premières notes ça accroche. Soudain la voix de -M- se fait entendre. "Au-dessus de l'amer, plus rien." Ça touche juste, ça percute. Les mots s'enchevêtrent sans beaucoup de sens mais avec une musicalité folle. Des bribes de rêve, des jeux de mots presque surréalistes. Des phrases à clés. Celle de son songe. Un rêve musical d'une demi-heure dans lequel on se meut comme dans une sorte de voyage initiatique. C'est du -M-. C'est sûr, dans ce qu'il a de plus expérimental, de plus conceptuel, de plus bigarré. Ça y'est, moi aussi je viens d'être accroché. J'ai oublié le gingembre et ma gorge qu'il continue d'enflammer. J'ai oublié mes paupières. Je crois qu'enfin, elles se sont refermées. Je n'entends plus que -M-. Je ne vois plus que -M-. Littéralement. Je crois l'apercevoir à travers mes paupières closes.
Là, je me dis que l'expérience que je vis est complètement dingue. Des techniciens ont sûrement dû créer un procédé novateur projetant des faisceaux lumineux sur nos yeux fermés. Et je le vois, presque chimérique, costume rouge et guitare électrique noire en bandoulière.
Il s'évapore et puis réapparait un peu plus loin, puis un peu plus à gauche. Je le cherche en essayant de deviner sa prochaine réapparition. Et me voilà, dans le noir complet, dodelinant ma petite tête en quête de -M-. Là, je l'avoue, je triche un peu. J'ouvre les yeux en me demandant si mes compères cherchent la même chose que moi. Mais rien, pas un mouvement. L'un d'eux, à deux fauteuils de moi s'est même carrément endormi, laissant s'échapper de son corps avachi des ronflements que je pensais provenir de la bande son. Je décide de demander à mon voisin s'il voit la même chose que moi. "Non il n'y a rien. Il faut juste fermer les yeux et sentir la musique rentrer en toi", me confie-t-il, en déposant sa main sur ma cuisse. Ils sont tous devenus dingues ici.
Royaume de l'instantané
Surtout moi, j'ai l'impression. Car en effet, il n'y a rien. Rien. Pas de projecteurs futuristes, pas de -M- dessiné avec un costume rouge et une guitare. Moi. Juste moi, cette musique et mon imagination. Un rêve. Le mien. Celui aussi de -M- dans lequel sans même m'en rendre compte, j'ai pénétré les deux pieds en avant. Un rêve musical. Son rêve musical. Quelques instants après, la même bande son recommence. Mais cette fois, avec des images, des dessins. Ceux de Matthias Piccard qui viennent illustrer et sublimer cette chanson poétique, surréaliste et décousue de Matthieu Chedid. Des images au graphisme épuré qui semble suivre les mots de -M- de façon instinctive.Comme ses instruments. Aux musiciens, il n'a fallu qu'une seule prise. Sorte d'acceptation du réel. "Le début du royaume de l'instantané", confie le chanteur que nous avons rencontré quelques jours plus tard. "Nous avons laissé sa place au hasard". Une improvisation musicale, un album instrumental et un hasard qui parfois fait si bien les choses. "Le hasard, ce petit malin, il avait tout prévu d'avance".
jeudi 24 décembre 2015
Après sept ans d’absence, bientôt un nouvel album de Metallica ? (Le Monde)
Une « friandise ». James Hetfield, le chanteur de Metallica, a aiguisé l’appétit de ses fans en diffusant, mardi 22 décembre, sur le site Internet du groupe, un extrait musical de 15 secondes dans lequel résonne le son des guitares saturées typique de la formation de Los Angeles. La vidéo, prise en studio, annonce la sortie d’un nouvel album, sept ans après Death Magnetic.
L’ode à la tendresse de Stacey Kent (L'Humanité)
Stacey Kent, un chant dépouillé de tout apparat, paré d’un raffinement sans fard. (Photo : Diane Sagnier) |
La chanteuse, qui a décidé de maintenir son concert au Théâtre des Champs-Élysées, livre le CD "Tenderly", entre jazz et bossa-nova. Une splendide fleur de métissage et de rencontre.
mardi 22 décembre 2015
Patti Smith : "Je ne me considère pas comme une musicienne" (Le Figaro)
La légende punk-rock fête les 40 ans de son album Horses et publie M Train, nouveau roman autobiographique peuplé de bons génies. Entre deux concerts à Paris, Patti la rimbaldienne se raconte. Ballade intime d’une âme voyageuse.
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dimanche 20 décembre 2015
Joanne Shaw Taylor - Lord have Mercy (Seigneur aies Pitié)
Une chanson au texte bien noir emmenée sur un rythme lourd et puissant comme les affectionne Joanne Shaw Taylor.. z'avez un calmant ? :D . Extraite de l'album Diamonds In The Dirt" (2010)
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vendredi 18 décembre 2015
Cabrel, le temps a passé (La Provence)
Après sept ans d'absence, le chanteur discret est de retour sur scène
Au printemps dernier, Francis Cabrel recevait la presse dans un luxueux hôtel parisien pour présenter son dernier album In Extremis. Au cours d'un déjeuner, l'artiste au regard bleu et à l'accent du sud-ouest, se révélait, à la fois pudique et drôle. Sa tournée passe ce soir et lundi à Marseille.
L'occasion de revenir sur cet échange, rare.
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mercredi 16 décembre 2015
Manu Lanvin en première partie de Johnny Hallyday: «C’est un artiste bluffant et la générosité incarnée» (Courrier Picard)
Le fils de Gérard Lanvin, excellent bluesman, sera en première partie de Johnny Hallyday, ce soir, mardi 15, et demain mercredi 16 décembre au Zénith d’Amiens. Il reste des places pour le mercredi soir. Interview.
Grâce à ses parents, il a écouté et côtoyé, très jeune, Trust, Paul Personne et Téléphone. Il ne s’en est pas remis. Manu Lanvin est devenu artiste, guitariste et chanteur au talent à la fois puissant et sensible. Il joue aujourd’hui dans la cour des grands. Pour notre plus grand plaisir.
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mardi 15 décembre 2015
Marseille : Francis Cabrel renoue avec son public (La Provence)
La patience a du bon et ce n'est pas aux fans de Francis Cabrel qu'on va l'apprendre. Après sept ans de silence, le chanteur était de retour hier soir devant son public, avec la tournée issue de son treizième album "In extremis tour". Le chanteur est apparu devant un Dôme surchauffé, peu avant 21 heures, dans un décor sobre de parois rocheuses. Comme premier titre, il entonne La voix du crooner, extrait de son dernier album avant d'adresser au public un timide "merci et bonsoir". Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'après une si longue absence, Francis Cabrel est peu prolixe.
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lundi 14 décembre 2015
Le fado d’Amalia Rodrigues s’incarne dans d’autres voix (Le Monde)
Il est sans doute paradoxal d’intituler un album Les Voix du fado pour en célébrer une seule, unique, iconique, celle d’Amalia Rodrigues (1920-1999). Amalia, c’est, « l’intensité de la vie, l’histoire d’un peuple », disent en chœur Ana Moura et Antonio Zambujo, deux des interprètes invités à cet hommage en treize titres, qui vient de paraître chez Decca/Universal Music. Un disque, un beau livret et une mosaïque géante installée pour l’occasion sur les trottoirs de Lisbonne, rue Sao Tomé. Réalisée par le graffeur lisboète VHILS, cette mosaïque, qui est aussi la couverture du CD, montre une Amalia brune, simple, le visage tourné vers un futur qu’elle a pourtant toujours imaginé enraciné dans un drame intérieur, ce qui, à son niveau, équivaut à un drame national.
dimanche 13 décembre 2015
Le Deblocnot': FRIDAY NIGHT IN SAN FRANCISCO - par Pat Slade
Le Deblocnot': FRIDAY NIGHT IN SAN FRANCISCO - par Pat Slade: Une Nuit à San Francisco AL DI MEOLA PACO DE LUCIA Mélanger un tiers de Paco de Lucia , un tiers d’Al Di Meo...
samedi 12 décembre 2015
Francis Cabrel, le retour "in extremis" (La Provence)
Le chanteur a sorti au printemps son 13e album après 7 ans de silence. Depuis octobre, il est sur scène avec ses nouvelles chansons. A Marseille ce sera les 12 et 14 décembre
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jeudi 10 décembre 2015
Patti Smith:«Tu vois du plastique? Ramasse-le!» (Le Figaro)
Alors que se déroule à Paris la conférence sur le climat COP21, la légendaire rockeuse américaine s'est longuement exprimée sur son engagement auprès de la nature. Elle participe vendredi et samedi à des concerts-débats à Paris.
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mardi 8 décembre 2015
Youssou N’Dour, voix intacte et mise élégante, chante l’Afrique positive (Le Monde)
Dimanche 27 septembre, Youssou N’Dour chante au Cirque d’hiver : sur la piste circulaire, il est tout près, à portée de main, et, d’ailleurs, un fan, blouson de cuir noir et lunettes fashion, franchit le parapet pour le serrer dans ses bras, tandis qu’il danse. On ne sait si le jeune homme s’est identifié à l’élégante star dakaroise ou s’il le remercie d’être ainsi, à Paris, droit, poing levé, enveloppé d’un magnifique boubou de bazin violet.
samedi 5 décembre 2015
"Paco de Lucía, légende du flamenco", l'indispensable témoignage (Culturebox)
Dans un documentaire réalisé par son fils, l'illustre guitariste Paco de Lucía se confie en toute sincérité, sans complaisance, sur sa carrière et sur un envers du décor peuplé d'états d'âme. Le musicien est mort le 25 février 2014, deux jours avant la fin du tournage. Mais Curro Sánchez Varela, fils de Paco, est allé au bout de son travail. Un témoignage aussi passionnant qu'émouvant.
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