mardi 15 décembre 2015

Marseille : Francis Cabrel renoue avec son public (La Provence)

La patience a du bon et ce n'est pas aux fans de Francis Cabrel qu'on va l'apprendre. Après sept ans de silence, le chanteur était de retour hier soir devant son public, avec la tournée issue de son treizième album "In extremis tour". Le chanteur est apparu devant un Dôme surchauffé, peu avant 21 heures, dans un décor sobre de parois rocheuses. Comme premier titre, il entonne La voix du crooner, extrait de son dernier album avant d'adresser au public un timide "merci et bonsoir". Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'après une si longue absence, Francis Cabrel est peu prolixe.

Il enchaîne avec Assis sur le rebord du monde (1994) et La fille qui m'accompagne (1983) avant de revenir à deux de ses nouveaux titres Mandela, pendant ce temps et Partis pour rester. Plus pop rock que folk, c'est cette 5e chanson qui fait basculer le concert dans un moment d'"éternité". Accompagné de trois choristes et de quatre musiciens, le chanteur tend à se désinhiber et ose même quelques pas de danse sur une version revisitée et "plus ondulante" de C'est écrit (1989).

Alternant les univers scéniques, les tubes et les nouvelles chansons, il profite d'un "seul à seul" avec le public pour le faire totalement chavirer sur les inoxydables Petite Marie (1977) et Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai (1994). Comment résister ? Sur une Corrida revisitée à l'accordéon, le Dôme se lève, plusieurs centaines de personnes descendent devant la scène, bien parties, elles aussi, pour rester. Encore un bout de temps.

La patience a du bon et ce n'est pas aux fans de Francis Cabrel qu'on va l'apprendre. Après sept ans de silence, le chanteur était de retour hier soir devant son public, avec la tournée issue de son treizième album "In extremis tour". Le chanteur est apparu devant un Dôme surchauffé, peu avant 21 heures, dans un décor sobre de parois rocheuses. Comme premier titre, il entonne La voix du crooner, extrait de son dernier album avant d'adresser au public un timide "merci et bonsoir". Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'après une si longue absence, Francis Cabrel est peu prolixe.

Il enchaîne avec Assis sur le rebord du monde (1994) et La fille qui m'accompagne (1983) avant de revenir à deux de ses nouveaux titres Mandela, pendant ce temps et Partis pour rester. Plus pop rock que folk, c'est cette 5e chanson qui fait basculer le concert dans un moment d'"éternité". Accompagné de trois choristes et de quatre musiciens, le chanteur tend à se désinhiber et ose même quelques pas de danse sur une version revisitée et "plus ondulante" de C'est écrit (1989).

Alternant les univers scéniques, les tubes et les nouvelles chansons, il profite d'un "seul à seul" avec le public pour le faire totalement chavirer sur les inoxydables Petite Marie (1977) et Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai (1994). Comment résister ? Sur une Corrida revisitée à l'accordéon, le Dôme se lève, plusieurs centaines de personnes descendent devant la scène, bien parties, elles aussi, pour rester. Encore un bout de temps.

La patience a du bon et ce n'est pas aux fans de Francis Cabrel qu'on va l'apprendre. Après sept ans de silence, le chanteur était de retour hier soir devant son public, avec la tournée issue de son treizième album "In extremis tour". Le chanteur est apparu devant un Dôme surchauffé, peu avant 21 heures, dans un décor sobre de parois rocheuses. Comme premier titre, il entonne La voix du crooner, extrait de son dernier album avant d'adresser au public un timide "merci et bonsoir". Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'après une si longue absence, Francis Cabrel est peu prolixe.

Il enchaîne avec Assis sur le rebord du monde (1994) et La fille qui m'accompagne (1983) avant de revenir à deux de ses nouveaux titres Mandela, pendant ce temps et Partis pour rester. Plus pop rock que folk, c'est cette 5e chanson qui fait basculer le concert dans un moment d'"éternité". Accompagné de trois choristes et de quatre musiciens, le chanteur tend à se désinhiber et ose même quelques pas de danse sur une version revisitée et "plus ondulante" de C'est écrit (1989).

Alternant les univers scéniques, les tubes et les nouvelles chansons, il profite d'un "seul à seul" avec le public pour le faire totalement chavirer sur les inoxydables Petite Marie (1977) et Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai (1994). Comment résister ? Sur une Corrida revisitée à l'accordéon, le Dôme se lève, plusieurs centaines de personnes descendent devant la scène, bien parties, elles aussi, pour rester. Encore un bout de temps.

Isabelle Appy La Provence le 13 décembre 2015

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