Revue de presse
Le Progrès :
Les motards en colère dans la rue aujourd'hui à Saint-Etienne
Aujourd'hui, on devrait croiser beaucoup de motards dans l'agglomération stéphanoise. Ils ne préparent pas leur sortie du week-end mais entendent manifester leur ras-le-bol. « Marre des verbalisations systématiques et injustes, marre du manque de considérations des dirigeants politiques, du mépris affiché par les pouvoirs publics, de la politique de répression ».
À l'appel de la section Loire de la FFMC (Fédération française des motards en colère), les manifestants organisent donc aujourd'hui à 18 heures un rassemblement place Carnot à Saint-Etienne suivi d'un pique-nique devant la préfecture de la Loire. La FFMC invite non seulement les motards mais aussi les scootéristes, et les automobilistes à venir faire entendre leur voix. « Non nous ne sommes pas des délinquants » clament les organisateurs de la manifestation qui rappellent qu'ils avaient fait des propositions aux pouvoirs publics pour un meilleur partage de la route, propositions restées lettre morte.
Les motards en colère veulent circuler entre les files
Ils s'étaient donné rendez-vous vendredi soir à 19 heures place Bellecour. A l'appel national de la Fédération des motards en colère, environ 15O « gros cubes » du Rhône et des départements limitrophes sont venus faire entendre leur voix et leur klaxon entre la presqu'Île et la préfecture où le porte-parole du mouvement promettait de « mettre un gros bordel dans la circulation ». Le cortège a en effet attendu la sortie de la délégation pour faire un tour d'honneur jusqu'à la Croix-Rousse et revenir à la case départ. Motif de la grogne : faire pression sur le gouvernement pour aboutir à une légalisation de la circulation interfiles des deux roues. Une revendication qui s'appuie notamment sur l'exemple constaté en Autriche et aux Pays-Bas et qui, selon eux, mettrait fin à une pratique répandue mais toujours sanctionnable. Pas sûr que cette possibilité de circuler entre les files dans les embouteillages ou les ralentissements soient du goût de tous. Au premier chef, des automobilistes qui voient surgir à droite comme à gauche un deux roues et doivent redoubler d'attention dans le rétroviseur surtout s'ils veulent déboîter. Mais la FFMC n'en démord pas : seule une réglementation enseignée pourrait permettre un meilleur partage de la route. Après la bagarre contre la vignette, l'instauration des feux de croisement pour les voitures, l'idée d'un contrôle technique, le lobby des motards se lance dans une nouvelle croisade.
Le Midi Libre
Perpignan. Les motards font un "sit-in"
La FFMC 66 (Fédération Française des Motards en Colère, antenne des P.-O) communique. La FFMC appelle motards, scootéristes, cyclomotoristes, motaumobilistes à montrer leur attachement à leur sécurité et au partage de la route, vendredi 18 juin à 18 h à la Préfecture de Perpignan. Il s'agit d'une manifestation statique "sit-in". Depuis un an, la FFMC est engagée dans une vaste concertation pour l'amélioration de la sécurité routière des 2 RM à l'initiative de la DSCR (Direction de la Sécurité et de la Circulation Routière). Le comité interministériel de la sécurité routière préfère s'en tenir à des recettes simplistes, plutôt que de tenir compte de l'essentiel des recommandations issues de cette concertation. Nous allons démontrer, une nouvelle fois, la détermination des motards
La voix du Nord
La Fédération des motards en colère lance son appel à la résistance devant la préfecture
| GROGNE |
Un appel... à la manifestation le 18 juin. La date est symbolique pour la Fédération française des motards en colère ...
, mobilisée hier. Une cinquantaine de motards se sont rassemblés devant la préfecture pour lancer leur « appel à la résistance ». Au coeur des revendications portées par Philippe Warchol, secrétaire de la fédé 62, et Éric Riché, coordinateur, quatre points principaux.
1. La légalisation de la circulation inter-files.- Ni interdite, ni autorisée, juste tolérée. « Elle permet de fluidifier la circulation », répondent les motards. « Elle se pratique depuis trente ou quarante ans. Aujourd'hui, selon le bon vouloir des agents, on peut être verbalisé à 135 E avec perte de deux points. » 2. Contre le contrôle technique des deux-roues.- « On ne peut pas avoir une machine en mauvais état quand on est motard, mais on veut nous imposer un contrôle visuel qui coûtera 45 à 65 E. Les accidents à cause d'un mauvais entretien ne représentent que 0,7 %.
» 3. Allégements fiscaux sur les équipements.- Pour une TVA à 5,5 % sur les casques, gants, blousons, bottes.
4. Moyens pour la prévention et la formation.- Pour une meilleure cohabitation entre deux et quatre roues grâce à des formations pour les motards mais aussi des conducteurs de voitures. •
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Arras/actualite/Secteur_Arras/2010/06/19/article_la-federation-des-motards-en-colere-lanc.shtml
La Dépèche
1. La légalisation de la circulation inter-files.- Ni interdite, ni autorisée, juste tolérée. « Elle permet de fluidifier la circulation », répondent les motards. « Elle se pratique depuis trente ou quarante ans. Aujourd'hui, selon le bon vouloir des agents, on peut être verbalisé à 135 E avec perte de deux points. » 2. Contre le contrôle technique des deux-roues.- « On ne peut pas avoir une machine en mauvais état quand on est motard, mais on veut nous imposer un contrôle visuel qui coûtera 45 à 65 E. Les accidents à cause d'un mauvais entretien ne représentent que 0,7 %.
» 3. Allégements fiscaux sur les équipements.- Pour une TVA à 5,5 % sur les casques, gants, blousons, bottes.
4. Moyens pour la prévention et la formation.- Pour une meilleure cohabitation entre deux et quatre roues grâce à des formations pour les motards mais aussi des conducteurs de voitures. •
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Arras/actualite/Secteur_Arras/2010/06/19/article_la-federation-des-motards-en-colere-lanc.shtml
La Dépèche
18 juin: «La résistance motarde»
«Appel du 18 juin à la résistance motarde». Organisée au niveau national par la fédération française des motards en colère (FFMC), cette manifestation s'est traduite hier à Auch par un rassemblement devant la préfecture. Y étaient conviés les motards , le scootéristes et les cyclomotoristes autour de Nathanaël Gagnaire qui anime l'antenne gersoise de la FFMC. «Nous sommes là pour démontrer notre détermination à prendre en main notre sécurité et à résister aux décisions unilatérales du gouvernement: non au contrôle technique pour les cyclos, oui aux allégements fiscaux sur les équipements de sécurité, oui à la légalisation de la circulation interfiles, oui à de l'argent pour la prévention et la formation et pas pour la répression». La FFMC est vent debout à la suite du comité interministériel de la sécurité routière de 18 février. «Sans considération pour notre rapport d'étape élaboré avant cette réunion, il a fait fi de l'essentiel de nos recommadations pour s'en tenir à des recettes simplistes: encore plus de radars et contrôles techniques pour les cyclos».
http://www.ladepeche.fr/article/2010/06/19/857937-18-juin-La-resistance-motarde.html
Rodez. Les motards en colère manifestent dans le calme
Une trentaine de motos était rassemblée, ce jeudi soir, place Foch, dans le cadre de la manifestation initiée par la fédération française des motards en colère (FFMC). Mais c'est dans le calme que les pilotes aveyronnais et leurs passagers se sont retrouvés. « Nous avons choisi la date du 18 juin de façon symbolique. Il y a eu l'appel du Général de Gaulle, il y aura celui de la FFMC », a expliqué Emmanuel Martinez, coordinateur de l'association dans le département. Lequel a donc profité de cette manifestation, qui s'est achevée par un défilé de deux-roues motorisés sur le tour de ville, pour déposer un courrier à l'attention de la préfète de l'Aveyron. Une lettre contenant les principales revendications de la FFMC depuis qu'en février dernier, le comité interministériel de la sécurité routière a annoncé certaines mesures concernant les deux-roues « mais sans tenir de nos cinquante propositions visant à assurer notre sécurité », a rappelé Emmanuel Martinez. Lequel devrait rencontrer la représentante de l'État dans le département dans les prochaines semaines.
Ouest France
Les motards en colère manifestent à Cherbourg
L’antenne départementale de la Fédération française des motards en colère, a manifesté ce vendredi soir à Cherbourg. Une centaine de motards ont bloqué la rue Emmanuel-Liais, pendant une vingtaine de minutes. Le temps de déposer à la sous-préfecture une motion nationale. Les motards sont notamment inquiets à propos d’un projet gouvernemental qui doit imposer un contrôle technique obligatoire des deux-roues. Ils estiment que celui-ci est parfaitement inutile et que d’autres actions liées à la sécurité routière et à l’éducation des plus jeunes seraient plus efficaces.
«Nos motos, on y tient. Elles sont d’autant plus entretenues que nous savons ce que nous risquons sur les routes, sans carrosserie. Il faut remettre les choses au point. Les motards ne se tuent pas, on les tue. »
Les motards réclament par exemple une baisse de la TVA sur les équipements de sécurité, trop souvent négligés par les jeunes.
L'indépendant
PERPIGNAN Les motards font un "sit-in"
La FFMC 66 (Fédération Française des Motards en Colère, antenne des P.-O) communique. La FFMC appelle motards, scootéristes, cyclomotoristes, motaumobilistes à montrer leur attachement à leur sécurité et au partage de la route, vendredi 18 juin à 18 h à la Préfecture de Perpignan. Il s'agit d'une manifestation statique "sit-in". Depuis un an, la FFMC est engagée dans une vaste concertation pour l'amélioration de la sécurité routière des 2 RM à l'initiative de la DSCR (Direction de la Sécurité et de la Circulation Routière). Le comité interministériel de la sécurité
routière préfère s'en tenir à des recettes simplistes, plutôt que de tenir compte de l'essentiel des recommandations issues de cette concertation. Nous allons démontrer, une nouvelle fois, la détermination des motards soucieux de prendre en main leur propre sécurité et de résister aux décisions unilatérales du gouvernement : non au contrôle technique pour les cyclos ; oui aux allégements fiscaux sur les équipements de sécurité ; oui à la légalisation de la circulation interfiles ; de l'argent pour la prévention et la formation, pas pour la répression. Sans prise en compte de ses demandes, la FFMC poursuivra localement et nationalement ces actions et maintiendra son appel à la résistance : les 2 RM ne sont pas un problème, ils sont une solution.Le Quotidien de la Réunion et de l'Océan Indien
"L'appel du 18 juin" des motards
Île de la Réunion - Le contrôle technique cyclo (et par extension moto) fait partie des points contre lesquels la FFMC 974 (Fédération française des motards en colère) appelle à manifester aujourd'hui 18 juin à 17h devant la préfecture de Saint-Denis.
« Faisant fi de l’engagement pris il y a un an de ne pas introduire de nouvelle réglementation à l’égard des 2RM (deux-roues motorisés) qui n’ait été discutée avec les usagers, le gouvernement a décidé la mise en place prochaine d’un contrôle technique obligatoire biennal pour tous les cyclomoteurs, explique la FFMC dans un communiqué. La Délégation Interministérielle à la Sécurité et à la Circulation Routière (DSCR) justifie cette mesure au nom de la lutte contre les pratiques de débridage courantes dans cette catégorie de véhicules essentiellement utilisée par de jeunes conducteurs…
(…) Or le « Rapport Guyot » estime que « ce n’est pas le contrôle technique qui fera sensiblement baisser le débridage ».
(…) La FFMC a également démontré, études d’accidentologie à l’appui, que les principales causes d’accidents des 2RM sont d’origine comportementales et très minoritairement imputables à l’état des véhicules impliqués dans des sinistres (*).
Les préparatifs engagés dans le réseau professionnel des centres de contrôles automobile indiquent sans équivoque que le contrôle technique des cyclos est le préambule à un contrôle technique bientôt étendu à l’ensemble des 2RM.
Par conséquent, la FFMC dénonce cette méthode du fait accompli et elle appelle l’ensemble des usagers de 2RM à s’y opposer, en se rapprochant des antennes locales de la FFMC qui organisent demain 18 juin la résistance à la mise en place de mesure dont la seule finalité sera d’enrichir des groupes privés et leurs actionnaires ».
Les Z'infos
« Faisant fi de l’engagement pris il y a un an de ne pas introduire de nouvelle réglementation à l’égard des 2RM (deux-roues motorisés) qui n’ait été discutée avec les usagers, le gouvernement a décidé la mise en place prochaine d’un contrôle technique obligatoire biennal pour tous les cyclomoteurs, explique la FFMC dans un communiqué. La Délégation Interministérielle à la Sécurité et à la Circulation Routière (DSCR) justifie cette mesure au nom de la lutte contre les pratiques de débridage courantes dans cette catégorie de véhicules essentiellement utilisée par de jeunes conducteurs…
(…) Or le « Rapport Guyot » estime que « ce n’est pas le contrôle technique qui fera sensiblement baisser le débridage ».
(…) La FFMC a également démontré, études d’accidentologie à l’appui, que les principales causes d’accidents des 2RM sont d’origine comportementales et très minoritairement imputables à l’état des véhicules impliqués dans des sinistres (*).
Les préparatifs engagés dans le réseau professionnel des centres de contrôles automobile indiquent sans équivoque que le contrôle technique des cyclos est le préambule à un contrôle technique bientôt étendu à l’ensemble des 2RM.
Par conséquent, la FFMC dénonce cette méthode du fait accompli et elle appelle l’ensemble des usagers de 2RM à s’y opposer, en se rapprochant des antennes locales de la FFMC qui organisent demain 18 juin la résistance à la mise en place de mesure dont la seule finalité sera d’enrichir des groupes privés et leurs actionnaires ».
Les Z'infos
Même à la Réunion !!!bravo ! et les articles des journeaux Paca??? Rien???
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