Herman Poole Blount a illuminé le jazz de sa philosophie cosmique pendant près d’un demi-siècle. Son Arkestra, école refuge de musiciens affranchis, poursuit son œuvre à Philadelphie.
«Le concert n’était pas spectaculaire en termes d’effets scéniques - on sentait qu’ils étaient un peu fauchés - mais plutôt en termes d’atmosphère bizarre. Il était spectaculaire parce qu’il présentait une vision du monde tellement occulte, tellement différente, pour nous dans le public, que les seules réponses possibles étaient un refus complet ou une empathie instinctive pour un homme qui a choisi de rejeter tous les attributs d’une vie normale pour devenir un être d’ailleurs…»
Le journaliste et musicien britannique David Toop ne s’est toujours pas remis du premier concert de Sun Ra et son Arkestra au Royaume-Uni, en novembre 1970. Le groupe américain est alors au début de sa première tournée en Europe et le public découvre son univers total et exubérant.
Qui êtes-vous ?
jeudi 23 octobre 2014
lundi 20 octobre 2014
Gilberto Gil, sa bossa nous va (Libération)
Après un concert magique à Lyon la semaine dernière, le chanteur bahianais, ex-ministre de la Culture du président Lula, se produit en solo ce lundi au Châtelet.
En ce mois d’octobre, le Brésil dépêche en France son ambassadeur le plus charmant, le plus sensible, le plus accompli. Si, ce lundi soir au Châtelet (Paris Ier), Gilberto Gil est dans l’état de grâce qu’il a connu lundi dernier à Lyon pour la première date de sa tournée européenne, alors le concert promet d’être mémorable.
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Gilberto Gil, 72 ans, est l'un des fondateurs du courant tropicaliste. (Photo Daryan Dornelles) |
En ce mois d’octobre, le Brésil dépêche en France son ambassadeur le plus charmant, le plus sensible, le plus accompli. Si, ce lundi soir au Châtelet (Paris Ier), Gilberto Gil est dans l’état de grâce qu’il a connu lundi dernier à Lyon pour la première date de sa tournée européenne, alors le concert promet d’être mémorable.
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vendredi 17 octobre 2014
John Massa enchante le Korigan
J'ai découvert le
saxophoniste John Massa en l'écoutant au sein de la formation TheGodfathers of Marseille. Il y apporte une couleur particulière à la
musique soul du groupe amené par Jean Gomez. Ce groupe travaille
essentiellement sur des reprises de grands standarts avec un talent
affirmé.
J'ai ensuite eu
l'occasion de l'apprécier avec son quartet le « John Massa
Trip Band ». Où il exprime sa musique faite d'un jazz teinté
de funk. C'était au Perroquet Bleu. Un restaurant musicalmarseillais.
Ce soir, je retrouve
le musicien avec grand plaisir au Korigan. Une petite salle située
sur la route entre Aix en Provence et Luynes qui propose, depuis la
rentrée, des soirées jazz le jeudi soir.
La salle est bien
pleine. Des chaises sont disposées en rang serrés et, en attendant
le début du spectacle, le public papote.
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mercredi 15 octobre 2014
Archie Shepp, le blues sublimé et le cri de rébellion (L'Humanité)
Le légendaire saxophoniste et activiste convie, à Jazz à la Villette, à un programme inédit, avec le bluesman Joe Louis Walker
et la pianiste-vocaliste Amina Claudine Myers.
Révélé dès 1960 comme un des fervents artificiers du free jazz, Archie Shepp, à soixante-dix-sept ans, revient se désaltérer à sa source, le blues, pour un concert inédit à Jazz à la Villette, avec le guitariste et chanteur Joe Louis Walker et la pianiste et vocaliste Amina Claudine Myers. Le mensuel Jazz Magazine-Jazzman lui accorde, en septembre, la couverture et consacre un passionnant dossier « Archie Shepp-John Coltrane » de 35 pages. Les abonnés ont, en bonus, un CD de trois titres intitulé les Premiers Pas du jeune homme en colère : vingt-deux minutes d’une musique aussi radicale que radieuse. Le blues n’a cessé d’irriguer l’art de Shepp. On en perçoit les éclairs dans son dernier disque, Live-I Hear a Sound (re-création de son historique manifeste de 1972, Attica Blues). Le légendaire saxophoniste, compositeur, auteur et comédien américain incarne à la fois une modernité éclatante et la mémoire de la ségrégation raciale.
Fara C. L'Humanité, le 12 septembre 2014
Révélé dès 1960 comme un des fervents artificiers du free jazz, Archie Shepp, à soixante-dix-sept ans, revient se désaltérer à sa source, le blues, pour un concert inédit à Jazz à la Villette, avec le guitariste et chanteur Joe Louis Walker et la pianiste et vocaliste Amina Claudine Myers. Le mensuel Jazz Magazine-Jazzman lui accorde, en septembre, la couverture et consacre un passionnant dossier « Archie Shepp-John Coltrane » de 35 pages. Les abonnés ont, en bonus, un CD de trois titres intitulé les Premiers Pas du jeune homme en colère : vingt-deux minutes d’une musique aussi radicale que radieuse. Le blues n’a cessé d’irriguer l’art de Shepp. On en perçoit les éclairs dans son dernier disque, Live-I Hear a Sound (re-création de son historique manifeste de 1972, Attica Blues). Le légendaire saxophoniste, compositeur, auteur et comédien américain incarne à la fois une modernité éclatante et la mémoire de la ségrégation raciale.
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lundi 13 octobre 2014
Le contrebassiste Riccardo Del Fra rend hommage à Chet Baker (Le Monde)
Riccardo Del Fra |
Rémi Fox (sax alto), Ariel Tessier (drums), Virxilio Da Silva (guitare), plus ceux qui figurent déjà sur le superbe album hommage de Riccardo Del Fra, My Chet My Song (Cristal, Harmonia Mundi), Airelle Besson (trompette, dans le rôle, en scène) et Bruno Ruder (piano). Sept musiciens sur la scène du Sunside, réunis pendant trois soirs, les 3, 4 et 5 octobre (rue des Lombards, à Paris 1er) par leur Maître, Riccardo Del Fra.
Deux sets d’émotion et d’exactitude : l’éthique de Riccardo, un traitement faussement réglo des harmonies, des jeux subtils d’écriture, beaucoup d’espace aux improvisateurs, une certaine élégance, mais surtout, sans rien d’engoncé, une certaine conception de la dignité et de la loyauté.
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samedi 11 octobre 2014
mercredi 8 octobre 2014
Mon Vier dernier concert au Korigan de Luynes
Mon Vier, voilà un nom plein de poésie pour un groupe de rock et de rythm’n’blues. Ce groupe écume les scènes de notre région depuis 5 ans dans des endroits parfois improbables allant des pizzerias aux prisons. Ce samedi 27 septembre, le groupe a posé ses choses sur la scène de Korigan de Luynes.
Le Korigan est une petite scène qui, pour cette année
2014/2015 présente un programme varié et de qualité. Les spectacles vont du
blues au jazz en passant par le rock’n’roll et la variété.
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lundi 6 octobre 2014
samedi 4 octobre 2014
Calvin Russel: Trouble
Calvin Russell n'a jamais été un grand optimiste. Cette chanson est extraite de l'album Dream Of The Dog publié en 1995.
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mercredi 1 octobre 2014
Jazz, à l’envie à la mort (Libération)
(Photo Valentina Cinelli. Flickr) |
JAZZ: Depuis les années 30, son avis de décès a maintes fois été publié. Alors, complètement «jazz been», le genre musical de John Coltrane et Miles Davis ? Points de vue de musiciens.
«Jazz is not dead» : c’est la punchline du festival Jazz à la Villette, dont l’édition 2014 vient de s’achever. Clin d’œil à Frank Zappa qui, en 1974, avait eu cette fameuse formule : «Jazz is not dead, it just smells funny» («le jazz n’est pas mort, il a juste une drôle d’odeur»). Le genre musical porté par Duke Ellington, Charlie Parker, John Coltrane et des milliers d’autres improvisateurs est certes encore vivant, mais a-t-il un avenir ? N’est-il pas devenu une musique de répertoire, encline aux commémorations et aux hommages, aux redites et aux citations ? Le festival de la Villette, avec bien d’autres, entend prouver chaque année que non, quoique sa punchline montre qu’il se pose bel et bien la question.
lundi 29 septembre 2014
Mistral Blues : tempête au O'Bells
Mistral Blues est un groupe de la région marseillaise qui écume les pubs de la région depuis plus de dix ans.. J'ai eu l'occasion de les voir à deux reprises.
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samedi 27 septembre 2014
vendredi 26 septembre 2014
Bernard Lavilliers : “Je ne chante plus comme avant. A présent, je propose” (Télérama)
Bernard Lavilliers |
Défenseur des sans-voix, le rockeur grande gueule est enfin reconnu comme une figure de la chanson à texte. Et si le baroudeur s'est assagi, il n'a rien perdu de son mordant. Bernard Lavilliers sera présent à Télérama Dialogue, lundi 29 septembre.
Bernard Lavilliers
Un physique, une voix, un propos. Un univers musical, vaste et éclectique, aussi ancré dans la tradition chanson qu'ouvert au monde, mais qui n'appartient qu'à lui. Séduisant, drôle — parfois malgré lui —, intimidant, émouvant, Bernard Lavilliers est un self-made personnage, un peu hâbleur mais humain. Un homme sincère qui cultive son mystère. Son oeuvre poétique et militante a traversé depuis quarante ans les époques pour faire de lui aujourd'hui un fringant mais sage sexagénaire ; un ténor décalé, solide mais insaisissable, d'une chanson d'auteur supérieure. Aventurier lettré, bête de scène qui se ressource dans la lecture, mégalo assumé à la pudeur non feinte, Bernard Lavilliers est la plus subtile des forces de la nature. Qui fascine, séduit, force le respect. Et donne envie de se mesurer à lui, l'ancien boxeur, non pas pour prendre des coups, mais pour en chatouiller la carapace.
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mercredi 24 septembre 2014
Les différentes nuances de bleu de Joe Bonamassa (Le Républicain Lorrain)
Double actualité pour le héraut du blues Joe Bonamassa. Le chanteur-guitariste sort lundi son nouvel album, Different Shades Of Blue , avant d’entamer une tournée qui le mènera à Esch-sur-Alzette le 4 octobre. Entretien.
Avec l’album Different Shades Of Blue , qui sort lundi, vous poursuivez votre exploration musicale entre blues et classic rock…
Joe BONAMASSA : « Exactement. Il y a des morceaux typiquement blues, d’autres plus rock. C’est un album composé entièrement de chansons originales. J’ai mis un an à l’écrire. Je me suis entouré de quelques amis auteurs-compositeurs et lorsque j’ai eu tout le matériel nécessaire, nous sommes allés avec les musiciens à Las Vegas. Là, l’album a été enregistré en neuf jours, toujours sous la houlette de mon producteur, Kevin Shirley. »
Avec l’album Different Shades Of Blue , qui sort lundi, vous poursuivez votre exploration musicale entre blues et classic rock…
Joe BONAMASSA : « Exactement. Il y a des morceaux typiquement blues, d’autres plus rock. C’est un album composé entièrement de chansons originales. J’ai mis un an à l’écrire. Je me suis entouré de quelques amis auteurs-compositeurs et lorsque j’ai eu tout le matériel nécessaire, nous sommes allés avec les musiciens à Las Vegas. Là, l’album a été enregistré en neuf jours, toujours sous la houlette de mon producteur, Kevin Shirley. »
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dimanche 21 septembre 2014
Bernard Lavilliers chante "devant un public populaire et qui cherche à comprendre" (LHumanité)
Bernard Lavilliers a répondu aux questions de l'Humanité dès la fin de son concert sur la Grande scène de la Fête de l'Humanité où il a donné un concert exceptionnel, intimiste et engagé. Ecouter également des extraits live de "On the road again", "Les mains d'or", "La Salsa", et "L'affiche rouge" d'après le poème de Missak Manouchian et Louis Aragon mis en musique par Léo Ferré.
Interview Vidéo
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Bernard
Lavilliers a répondu aux questions de l'Humanité dès la fin de son
concert sur la Grande scène de la Fête de l'Humanité où il a donné un
concert exceptionnel, intimiste et engagé. Ecouter également des
extraits live de "On the road again", "Les mains d'or", "La Salsa", et
"L'affiche rouge" d'après le poème de Missak Manouchian et Louis Aragon
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jeudi 18 septembre 2014
Les Velvet Veins injectent leur Delta blues dans le rock parisien (Le Monde)
Théo Lawrence se rêve en musicien noir américain du sud des Etats-Unis. Né blanc, franco-canadien, il vit dans le sud de Paris. Au sein du groupe Velvet Veins, il puise à la source du blues, du folk et de la country, au cœur du Delta du Mississippi jusqu'en Arizona. « Ces territoires alimentent notre musique et nos textes. C'est plus de l'ordre de l'imaginaire que du concret », explique le chanteur, guitariste et auteur-compositeur de 19 ans.
Velvet Veins a fait ses débuts en 2012 sur la scène rock parisienne. Son nom n'est ni un hommage au Velvet Underground de Lou Reed, ni une référence à la drogue (les veines). Il sonne bien. Le quartette a écumé les petites salles rock réputées (Gibus, Bus Palladium, La Boule noire…), ouvert pour Jonathan Wilson au Trabendo en 2013 et se produira sur la scène Ile-de-France de Rock en Seine, vendredi 22 août, à 20 heures. Leur premier festival.
Velvet Veins a fait ses débuts en 2012 sur la scène rock parisienne. Son nom n'est ni un hommage au Velvet Underground de Lou Reed, ni une référence à la drogue (les veines). Il sonne bien. Le quartette a écumé les petites salles rock réputées (Gibus, Bus Palladium, La Boule noire…), ouvert pour Jonathan Wilson au Trabendo en 2013 et se produira sur la scène Ile-de-France de Rock en Seine, vendredi 22 août, à 20 heures. Leur premier festival.
lundi 15 septembre 2014
Led Zeppelin : Whola Lotta Love élu meilleur riff de tous les temps (Le Figaro)
Le riff de Whole Lotta Love vient d'être élu «meilleur riff de tous les temps» par les auditeurs de BCC Radio 2. Sur 100 titres sélectionnés par des critiques musicaux, DJ et producteurs, la chanson de Led Zeppelin est ainsi arrivée en tête du classement devant les titres Sweet Child O' Mine de Guns N' Roses, Back In Black d'AC/DC et Smoke On The Water de Deep Purple.
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vendredi 12 septembre 2014
Renaud raconte "Dès que le vent soufflera" (L'Express)
Les Francofolies ont 30 ans. L'occasion d'une balade estivale à travers des succès cultes. Dernière escale: Dès que le vent soufflera, inspiré à Renaud en 1983, lors d'une traversée de l'Atlantique. En exclusivité pour L'Express, il commente sa chanson.
Perfecto, cheveux jaunes, regard de bitume, Renaud est une silhouette familière du Marais. Il a fait la manche dans la cour du Café de la Gare, "Comédie-Française post-soixante-huitarde", selon Romain Bouteille, son fondateur. Vécu sur place la "fête au pinard" avec les bandes de Hara-Kiri et du Grand Magic Circus. Chanté son premier album à la Pizza du Marais (aujourd'hui, les Blancs-Manteaux). Et fait l'acteur dans La Revanche de Louis XI à La Veuve Pichard, l'actuel Point-Virgule.
Perfecto, cheveux jaunes, regard de bitume, Renaud est une silhouette familière du Marais. Il a fait la manche dans la cour du Café de la Gare, "Comédie-Française post-soixante-huitarde", selon Romain Bouteille, son fondateur. Vécu sur place la "fête au pinard" avec les bandes de Hara-Kiri et du Grand Magic Circus. Chanté son premier album à la Pizza du Marais (aujourd'hui, les Blancs-Manteaux). Et fait l'acteur dans La Revanche de Louis XI à La Veuve Pichard, l'actuel Point-Virgule.
mardi 9 septembre 2014
Lavilliers : "La Fête de l’Humanité porte bien son nom" (L'humanité)
Le chanteur sera sur la grande scène dimanche. Un événement qu’il ne manquerait pour rien
au monde, lui, dont la première venue à la Fête date de 1976. Il promet d’y chanter "Les Mains d’or" et "l’Affiche rouge". Un grand moment d’émotion en perspective.
Sur votre carnet de bord revient souvent le mot Fête de l’Humanité. Que représente pour vous le fait de chanter dans ce rendez-vous à la fois culturel et politique où vous vous produirez pour la 8e fois depuis votre première venue en 1976 ?
Bernard Lavilliers La Fête de l’Humanité est un événement populaire. Elle porte bien son nom, d’ailleurs. J’y ai chanté, je crois, en 1976 pour la cellule d’Ivry-sur-Seine. Deux ans plus tard, j’ai dû me produire sous le chapiteau. C’est vrai que j’y suis passé souvent. Cela reste un endroit tout à fait spécial où il y a des concerts, des conférences, où on peut même rencontrer des poètes en chair et en os, ou voir des expositions dadaïstes. La Fête de l’Huma est un événement polyculturel. Cela fait tellement partie de la vie de la banlieue parisienne que ça m’étonnerait qu’elle disparaisse !
Sur votre carnet de bord revient souvent le mot Fête de l’Humanité. Que représente pour vous le fait de chanter dans ce rendez-vous à la fois culturel et politique où vous vous produirez pour la 8e fois depuis votre première venue en 1976 ?
Bernard Lavilliers La Fête de l’Humanité est un événement populaire. Elle porte bien son nom, d’ailleurs. J’y ai chanté, je crois, en 1976 pour la cellule d’Ivry-sur-Seine. Deux ans plus tard, j’ai dû me produire sous le chapiteau. C’est vrai que j’y suis passé souvent. Cela reste un endroit tout à fait spécial où il y a des concerts, des conférences, où on peut même rencontrer des poètes en chair et en os, ou voir des expositions dadaïstes. La Fête de l’Huma est un événement polyculturel. Cela fait tellement partie de la vie de la banlieue parisienne que ça m’étonnerait qu’elle disparaisse !
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dimanche 7 septembre 2014
Retour par les étangs camargais
C’est l’heure du retour…. Toutes les bonnes choses ont une fin. Mais il faut avouer que cette semaine a été bien riche en découverte de lieux, de paysages et de l’Histoire qui y est associée.
Bagages, faits, équipés, le top départ est donné. J’aimerais bien longer le bord de mer mais la route qui relie Carnon à la Grande Motte est barrée sur une bonne partie du trajet. Nous avons droit, alors à la voie rapide. Nous rentrons dans La Grande Motte et nous nous perdons, un peu, dans le dédale des résidences. J’y suis relativement mal à l’aise et la multiplicité des travaux, en ce début de printemps, ne facilite pas les choses.
Bagages, faits, équipés, le top départ est donné. J’aimerais bien longer le bord de mer mais la route qui relie Carnon à la Grande Motte est barrée sur une bonne partie du trajet. Nous avons droit, alors à la voie rapide. Nous rentrons dans La Grande Motte et nous nous perdons, un peu, dans le dédale des résidences. J’y suis relativement mal à l’aise et la multiplicité des travaux, en ce début de printemps, ne facilite pas les choses.
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