Joe Bonamassa - You Better Watch Yourself (Tu devrais faire attention à toi)

 

Cette chanson, co-écrite par Joe Bonamassa et Walter Jacobs, est extraite de son album Dust bowl publié en 2011.

Voilà un avertissement sans frai exprimé sur un rythme de rock’n’roll bien enlevé et de facture classique

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Joe Bonamassa - Black Lung Heartache ( Tristesse de la silicose)

 

Cette chanson, écrite par Joe Bonamassa, est extraite de son album Dust bowl publié en 2011.

Le rythme est proche de celui des chansons d’esclaves et l’ambiance d’une profonde tristesse. Celle du personnagé évoqué par l’auteur qui se sait atteint de silicose et proche de quitter ce monde.

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Joe Bonamassa - The Meaning Of The Blues ( La signification du blues)

 Cette chanson, écrite par Joe Bonamassa, est extraite de son album Dust bowl publié en 2011.

Sur un rythme typique de Chicago Blues, l’auteur évoque les stéréotypes du blues avec des paroles appuyées par une rythmique puissante.. La guitare de Joe Bonamassa est omniprésente et le solo une démonstration que technique et musicalité ne sont pas incompatibles.

John Hiatt - Tennessee Plates (Plaques du Tennessee)

 Cette chanson a été écrite par John Hiatt et Mike Porter. elle a été publiée sur l’album de John Hiatt, Slow Turning, publié en 1998. Elle a été reprise par Charlie Sexton dans le cadre de la bande sonore du film Thelma & Louise.

John Hiatt a écrit plusieurs de ces chansons « qui ne sont pas tout à fait correctes ». Celle-ci rend hommage à Elvis et à son penchant pour les Cadillac.

Joe Bonamassa l’a reprise sur son album Dust bowl publié en 2011.

Samantha Fish la reprend régulièrement lors de concerts

Joe Bonamassa - Slow Train (Le petit train)

 

Cette chanson, co-écrite par Joe Bonamassa et Kevin Shirley, est extraite de l’album Dust bowl publié en 2011 par Joe Bonamassa

Un blues dont l’introduction met l’auditeur dans l’ambiance immédiatement avec une rythmique simulant le bruit hypnotique des roues des wagons sur les rails.

Joe Bonamassa - Dust Bowl (Tempête de poussière)

 

Cette chanson, écrite par Joe Bonamassa, est extraite de son album Dust bowl publié en 2011.

Cette ballade folkévoque les difficultés d’une relation comparée aux terribles tempêtes de poussières qui ont ravagé les le Mid-West des Etats Unis et une partie du Canada dans les années 30.


 

Joe Bonamassa - Dust bowl (2011)

« Dust Bowl » est le neuvième album studio du chanteur et guitariste de blues rock américain Joe Bonamassa, sorti en mars 2011.

L’illustration de la pochette est basée sur une photographie célèbre d’Arthur Rothstein (1936)

« Dust Bowl » sonne comme un album rock des années 70. En même temps, au vu de son expérience, Kevin Shirley connaît son affaire. Les qualités techniques de Joe Bonamassa lui permettent de créer des solos de guitare qui font l’effet de coups de poing à l’estomac à leur auditeur. La rapidité des riffs est équilibrée par quelques gammes bluesy au vibrato impeccable. On ne peut rester indifférent. Il a le sens de l’image musicale. Par moment, à l’écouter nous avons le sentiment de nous retrouver dans un film de John Ford et des images mentales de trains, de champs de coton, de chagrin d’amour, d’aliénation, de femmes maléfiques et de mort nous apparaissent en fonction des chansons.

 

Joe Bonamassa - I’ve Got Some Mind Over What Matters (J’ai l’esprit à ce qui est important)

Cette chanson est extraite l’album « Redemption » de Joe Bonamassa.

Une chanson qui aborde le thème central de cet album : la rédemption sur un air de rythm’n’blues puissant.




 

Joe Bonamassa - Redemption

Cette chanson est extraite l’album « Redeption » de Joe Bonamassa.

Co-écrite par Joe Bonamassa, Dion DiMucci, James House, Richard Page et Kevin Shirley, cette chanson est une ballade puissante Elle est à la hauteur du titre, dramatique et accrocheur. 


 

Joe Bonamassa - Just ’cos You Can Don’t Mean You Should (Parce que tu peux, ne veut pas dire que tu dois)

Cette chanson est extraite l’album « Redeption » de Joe Bonamassa. Elle a été écrite en collaboration avec Tom Hambridge.

Un blues rock pur que l’on pourrait croire issu du répertoire de Stevie Ray Vaughan. Un blues bien dur type « Chicago » où guitare et cuivrent s’accordent bien. Le solo est flashy, mais le jeu de Joe Bonamassa, ainsi que sa voix, expriment une grande force de caractère.

Joe Bonamassa - The Ghost of Macon Jones (Le fantôme de Macon Jones)

Cette chanson est extraite l’album « Redeption » de Joe Bonamassa.

Joe bonamassa - Pick up the Pieces (Ramasser les morceaux)

Cette chanson coécrite par Joe Bonamassa et James House est extraite l’album « Redeption » de Joe Bonamassa.

Une chanson s’apparente à un exercice d’écriture de chanson. elle traite des dégâts de l’alcool. quand après une cuite il ne reste plus qu’à ramasser les morceaux et partir.

Joe bonamassa - Self-Inflicted Wounds (Automutilation)

Cette chanson coécrite par Joe Bonamassa, James House et Kevin Shirley est extraite l’album « Redeption » de Joe Bonamassa.

C’est une ballade douce et lente qui est en fait un peu grunge. Le solo de guitare est lent et intense, avec même des guitares en harmonie. Une chanson qui sort du répertoire habituel de l’artiste et qui en même temps, lui ressemble beaucoup.

Peut être le morceau le plus intéressant de cet album

Joe Bonamassa - Deep in the Blues Again (Encore une fois, au cœur du blues)

 
Cette chanson est extraite l’album « Redeption » de Joe Bonamassa publié en 2018.

On y retrouve une ambiance rock des années 80 inhabituelle et un petit relent country en fond. Il comporte un riff de guitare spatial et bizarre ainsi que des choeurs qui contribuent à donner à la chanson une touche théâtrale. Le résultat est rappelle le style des « Who ».

Joe Bonamassa - King Bee Shakedown

Cette chanson est extraite l’album « Redeption » de Joe Bonamassa.
C’est un boogie puissant où les cuivres tentent de sonner un tantinet jazzy alors que Joe Bonamassa, à la guitare pousse l’ambiance au rockabilly. Surprenant !

Cette chanson s’écoute sur plusieurs niveaux. elle raconte l’histoire d’un chef de bande de racketteurs en première instance. Mais elle fait aussi référence à de nombreux tires classiques du blues. Le premier auquel on peut penser est "I’m a King Bee" de Slim Harpo (repris avec succès par les Rolling Stones.) . Le second c’est "Dust my broom" de Robert Johnson. On trouve un troisième tire aussi Boom, boom de John Lee Hooker. Cherchez les autres !

Joe Bonamassa - Molly O’

 

Cette chanson est extraite de l’album « Redemption » de Joe Bonamassa.

Elle raconte l’histoire tragique d’une femme issue d’un petit village irlandais, qui périt en mer pendant son voyage vers une nouvelle vie. La batterie et une ligne de basse fortement ponctuées, encadrent bien le morceau. Joe Bonamassa chante : "A marée haute, qu’elle s’élève vers le ciel - Molly O !". Le pont, en mode rock celtique, cadre bien avec le texte. Et Joe Bonamassa achève de perdre ses auditeurs dans un solo de guitare slide en version océan déchaîné.

Joe Bonamassa - Evil Mama (Mauvaise maman)

 
Cette chanson ouvre l’album « Redeption » de Joe Bonamassa.
En introduction, le batteur Anton Fig plante le décor façon Zeppelinienne… L’intro de « Rock n’n’ roll secoue les puces de l’auditeur (trice). Puis le groupe se lance dans un groove funcky terriblement entraînant guitare et cuivres cohabitent avec plaisir se lançant tour à tour dans des riffs fort sympathiques. Le texte est simpliste mais la chanson fonctionne bien.

Buddy Miller - Somewhere Trouble Don’t Go (Un lieu où les ennuis ne vont pas)

Cette chanson de Buddy Miller est extraite de son album Cruel Moon publié en 1999. Un album « fait maison » dans son « home studio » personnel. Ce qui donne une couleur et une intimité particulières à sa musique.

Joe Bonamassa a repris cette chanson avec un arrangement rock plus acéré qui lui ressemble bien sur son album « Driving Towards The Daylight » (2012)

Jimmy Barnes - too much ain’t enough love (Trop, n’est pas assez d’amour)

 
« Too Much Ain’t Enough Love » est le premier extrait de l’album « Freight Train Heart » du chanteur australien Jimmy Barnes, sorti en 1987
En 2012, Joe Bonamassa sort une reprise de la chanson sur son album "Driving Towards the Daylight", avec Jimmy Barnes au chant. La complémentarité des deux artistes saute aux oreilles.

Joe Bonamassa - Heavenly Soul (Âme céleste)

 



Une ballade rock écrite par Joe Bonamassa et publiée sur son album Driving Towards the Daylight (2012). Cette chanson est intéressante par le riff composé par Joe Bonamassa ainsi que par la performance vocale de l’artiste.