Ce mardi 3 mai 2011 je m'en vais assister à un concert de Popa Chubby à l'Espace Julien. et ceux avec plusieurs groupes d'ami qui pour une fois vont s'entrecroiser.
Qui êtes-vous ?
mercredi 4 mai 2011
mardi 3 mai 2011
Marseille : Popa Chubby fait rugir le son de la "Big Apple" à l’Espace Julien
Le père d’une musique blues et rock venue de New York est ce soir à Marseille
Il a vraiment une gueule de "bad boy". Avec sa boule à zéro, ses gros bras et ses tatouages de femmes nues, Popa Chubby a d’abord dû se faire une place dans un quartier noir de New York, le Bronx où il est né en 1960, avant de se faire un nom dans le vaste champ des musiques noires-américaines, le blues en particulier. Au point même d’incarner un genre musical, le New York City blues, qu’il définit comme "une musique crue, urbaine et qui t’en met plein la gueule". A savoir, un mélange détonnant de blues et de rock, avec aussi du jazz, du funk et même du gangsta rap.
Né Ted Horowitz, l’homme à la Stratocaster de 1966, fortement influencé par le jeu de Jimi Hendrix auquel on le compare, commence pourtant la musique par la batterie, à l’âge de 14 ans. Et c’est en découvrant les Rolling Stones que ce fils d’épicier se met à la guitare.
Musicien prolifique, Popa Chubby, sorte de "papa joufflu" du blues pour ne garder que la traduction politiquement correcte de son pseudonyme, sort presque un album par an à partir de 1991. Après Booty And The Beast, sorti en 1995 chez Sony, album de blues qu’il juge commercial à l’image de ce que lui avait suggéré son producteur Tom Dowd, le New-yorkais monte sa propre structure, PCP-Popa Chubby Productions, et gère sa carrière en indépendant depuis plus de 10 ans.
Particulièrement adulé en Europe, Popa Chubby revient avec un 28e album volontiers énervé, The Fight is on, qu’il défend ce soir sur la scène de l’Espace Julien. "J’avais envie d’un son rocailleux, rock’n roll qui sent bon le sale... sans compromis". Une nouvelle preuve que le rock n’est pas mort.
Ce soir 20h30, Espace Julien (Marseille), 24,80 €. Première partie : Hofman Family Blues Experience au Café Julien.
A. K., La Provence du 3 mai 2011
Photo DR
Il a vraiment une gueule de "bad boy". Avec sa boule à zéro, ses gros bras et ses tatouages de femmes nues, Popa Chubby a d’abord dû se faire une place dans un quartier noir de New York, le Bronx où il est né en 1960, avant de se faire un nom dans le vaste champ des musiques noires-américaines, le blues en particulier. Au point même d’incarner un genre musical, le New York City blues, qu’il définit comme "une musique crue, urbaine et qui t’en met plein la gueule". A savoir, un mélange détonnant de blues et de rock, avec aussi du jazz, du funk et même du gangsta rap.
Né Ted Horowitz, l’homme à la Stratocaster de 1966, fortement influencé par le jeu de Jimi Hendrix auquel on le compare, commence pourtant la musique par la batterie, à l’âge de 14 ans. Et c’est en découvrant les Rolling Stones que ce fils d’épicier se met à la guitare.
Musicien prolifique, Popa Chubby, sorte de "papa joufflu" du blues pour ne garder que la traduction politiquement correcte de son pseudonyme, sort presque un album par an à partir de 1991. Après Booty And The Beast, sorti en 1995 chez Sony, album de blues qu’il juge commercial à l’image de ce que lui avait suggéré son producteur Tom Dowd, le New-yorkais monte sa propre structure, PCP-Popa Chubby Productions, et gère sa carrière en indépendant depuis plus de 10 ans.
Particulièrement adulé en Europe, Popa Chubby revient avec un 28e album volontiers énervé, The Fight is on, qu’il défend ce soir sur la scène de l’Espace Julien. "J’avais envie d’un son rocailleux, rock’n roll qui sent bon le sale... sans compromis". Une nouvelle preuve que le rock n’est pas mort.
Ce soir 20h30, Espace Julien (Marseille), 24,80 €. Première partie : Hofman Family Blues Experience au Café Julien.
A. K., La Provence du 3 mai 2011
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samedi 9 avril 2011
Triumph Thunderbird 1700 : premiers tours de roues
Vendredi, en fin d'après midi, je m suis fait une petite balade de 130 km dans les Bouches du Rhône et le Var. Principalement des petites routes pleines de virages. (surprenant non? )
La moto est très homogène, rassurante, incite à prendre de l'angle. Comme tout bon custom cette prise d'angle en virage est limitée par la faible garde au sol et j'ai commencé à user les protection des repose pied. la direction est précise. Je place la moto sans problème sur les trajectoires choisies. Le plus important étant le regard....
Je pense que je n'userai pas rapidement les plaquettes de freins car le fein moteur est phénoménal. Il me suffit de tomber les rapport pour ralentir comme il convient.
Le moteur est vif pour un joujou de cette catégorie. Le vendeur m'a recommandé de ne pas dépasser les 4.000 tours / minute pendant la phase de rodage. Je dirais que je n'ai même pas besoin d'y faire attention mis à part dans les phases de démarrage. A 3.000 tours / minutes la moto se bouge déjà très bien dans le cadre de l'apprentissage d'un tel engin.
De toute façon, rester dans cette plage de rythme moteur est fort agréable car c'est la zone où se trouve le couple maximal. Pour doubler, aucun problème. J'ouvre un peu les gaz et la moto bondit. Impressionnant.
L'assise est ferme sans être inconfortable. Une copine, qui a été passagère sur un modèle similaire, m'a dit que le pouf arrière était tout à fait correct. De toute façon j'ai commandé une selle confort. Je pense qu'elle sera bien pratique pour les longues balades.
Sur les voies rapides, je n'ai, bien sur, aucune protection. La pression du vent sur les épaules est motivante pour rester dans des rythmes non prohibés.
On ne va quand même pas encenser ce bijou... Dans ce bas monde rien n'est parfait. alors je lui ai trouvé quelques défauts.
Bref ! J'ai eu beaucoup de plaisir à attaquer le rodage de ma belle.
La moto est très homogène, rassurante, incite à prendre de l'angle. Comme tout bon custom cette prise d'angle en virage est limitée par la faible garde au sol et j'ai commencé à user les protection des repose pied. la direction est précise. Je place la moto sans problème sur les trajectoires choisies. Le plus important étant le regard....
Je pense que je n'userai pas rapidement les plaquettes de freins car le fein moteur est phénoménal. Il me suffit de tomber les rapport pour ralentir comme il convient.
Le moteur est vif pour un joujou de cette catégorie. Le vendeur m'a recommandé de ne pas dépasser les 4.000 tours / minute pendant la phase de rodage. Je dirais que je n'ai même pas besoin d'y faire attention mis à part dans les phases de démarrage. A 3.000 tours / minutes la moto se bouge déjà très bien dans le cadre de l'apprentissage d'un tel engin.
De toute façon, rester dans cette plage de rythme moteur est fort agréable car c'est la zone où se trouve le couple maximal. Pour doubler, aucun problème. J'ouvre un peu les gaz et la moto bondit. Impressionnant.
L'assise est ferme sans être inconfortable. Une copine, qui a été passagère sur un modèle similaire, m'a dit que le pouf arrière était tout à fait correct. De toute façon j'ai commandé une selle confort. Je pense qu'elle sera bien pratique pour les longues balades.
Sur les voies rapides, je n'ai, bien sur, aucune protection. La pression du vent sur les épaules est motivante pour rester dans des rythmes non prohibés.
On ne va quand même pas encenser ce bijou... Dans ce bas monde rien n'est parfait. alors je lui ai trouvé quelques défauts.
- Le premier, je l'avais déjà remarqué lors de l'essai chez le concessionnaire: les rétroviseur me permettent, principalement, d'admirer mes avants bras.
- Le second est lié à la taille des gamelles. en ville les ventilos du radiateurs me permettrons de garder les tibias bien au chaud quelle que soit la saison.
- quelques réglages à peaufiner:
- mon phare éclaire très bien la cime des arbres qui bordent la route.
- amortisseurs arrière réglés trop souple.
Bref ! J'ai eu beaucoup de plaisir à attaquer le rodage de ma belle.
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lundi 4 avril 2011
Le dernier coup de blues de Calvin Russell (L'Humanité)
L'Américain Calvin Russell, chanteur de rock et de blues surtout apprécié en France, est décédé dimanche à Austin (Texas), à l'âge de 62 ans, d'une longue maladie, a annoncé lundi XIII Bis Records, sa maison de disque française.
Calvin Russell avait subi l'année dernière une greffe du foie.
Calvin Russell avait subi l'année dernière une greffe du foie.
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lundi 28 mars 2011
Lavilliers du temps passé (La Marseillaise)
Tour de carrière en 2h de show, mardi au Dock des Suds.
« Bien mieux ici, sur les quais, que là-bas… dans ce pseudo Zénith. » Par deux fois, mardi soir, Bernard Lavilliers a dit son bonheur d’être au Dock des Suds. Et son concert dans le cadre du Festival Avec le temps l’a montré. Presque deux heures de show. Un spectacle impeccablement réglé, éclairage au top et musiciens en béton.
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samedi 26 mars 2011
Chez Harley Davidson c'est au tour de la Street Bob
Après avoir testé le Fat Bob, me voici de nouveau chez Harley Davidson Marseille pour essayer la Street Bob. L'un des avatars de la gamme Dyna.
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C'est beau la vie privée
Je rêve !!!Voilà à quoi pourrait ressembler la commande d'une pizza en 2015 suite aux dérives de l'interconnexion des données informatiques :
Standardiste virtuelle : Speed-Pizza, bonjour.
Client : Bonjour, je souhaite passer une commande s'il vous plaît.
Standardiste : Oui, puis-je avoir votre NIN, Monsieur ?
Client : Mon Numéro d'Identification National ? Oui, un instant, voilà, c'est le 6102049998-45-54610.
Standardiste : Je me présente je suis Noa Legarrec-Garcia. Merci Mr Jacques Lavoie. Donc, nous allons actualiser votre fiche, votre adresse est bien le 174 avenue de Villiers à Carcassonne, et votre numéro de téléphone le 04 68 69 69 69. Votre numéro de téléphone professionnel à la Société Durand est le 04 72 25 55 41 et votre numéro de téléphone mobile le 06 06 05 05 01. C'est bien ça, Monsieur Lavoie ?
Client (timidement) : oui !!
Standardiste : Je vois que vous appelez d'un autre numéro qui correspond au domicile de Mlle Isabelle Denoix, qui est votre assistante technique.
Sachant qu'il est 23h30 et que vous êtes en RTT, nous ne pourrons vous livrer au domicile de Mlle Denoix que si vous nous envoyez un XMS à partir de votre portable en précisant le code suivant AZ25/JkPp+88.
Client : Bon, je le fais, mais d'où sortez-vous toutes ces informations ?
Standardiste virtuelle : Speed-Pizza, bonjour.
Client : Bonjour, je souhaite passer une commande s'il vous plaît.
Standardiste : Oui, puis-je avoir votre NIN, Monsieur ?
Client : Mon Numéro d'Identification National ? Oui, un instant, voilà, c'est le 6102049998-45-54610.
Standardiste : Je me présente je suis Noa Legarrec-Garcia. Merci Mr Jacques Lavoie. Donc, nous allons actualiser votre fiche, votre adresse est bien le 174 avenue de Villiers à Carcassonne, et votre numéro de téléphone le 04 68 69 69 69. Votre numéro de téléphone professionnel à la Société Durand est le 04 72 25 55 41 et votre numéro de téléphone mobile le 06 06 05 05 01. C'est bien ça, Monsieur Lavoie ?
Client (timidement) : oui !!
Standardiste : Je vois que vous appelez d'un autre numéro qui correspond au domicile de Mlle Isabelle Denoix, qui est votre assistante technique.
Sachant qu'il est 23h30 et que vous êtes en RTT, nous ne pourrons vous livrer au domicile de Mlle Denoix que si vous nous envoyez un XMS à partir de votre portable en précisant le code suivant AZ25/JkPp+88.
Client : Bon, je le fais, mais d'où sortez-vous toutes ces informations ?
vendredi 25 mars 2011
Essai d'une Triumph Thunderbird 1700
Après avoir essayé la La Thunderbird Storm, le dernier né de la famille des gros custom Triumph, j'ai l'occasion d'essayer une Thunderbird 1700.
Cet engin est une série limitée de la Thunderbird produite en 2010 (100 exemplaires) . Comme son nom l'indique, elle est équipée d'un moteur de 1700 cc . Ce modèle possède nouveaux pistons, des nouvelles chemises, des nouveaux arbres à cames et de nouveaux ressorts d'embrayage. Le couple et la puissance s'en ressentent passant respectivement à 16.2mkg et à 97ch.
Cet engin est une série limitée de la Thunderbird produite en 2010 (100 exemplaires) . Comme son nom l'indique, elle est équipée d'un moteur de 1700 cc . Ce modèle possède nouveaux pistons, des nouvelles chemises, des nouveaux arbres à cames et de nouveaux ressorts d'embrayage. Le couple et la puissance s'en ressentent passant respectivement à 16.2mkg et à 97ch.
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Harley Davidson Fat Bob en test
Samedi, le temps est beau. J'ai rendez vous pour essayer une Harley pour la première fois. Harley tout un mythe... Depuis le temps que les copains me serinent qu'il n'y a que çà de vrai ... Je vais, enfin, m'y essayer.
J'avais envie de voir ce qu'une Dyna Super Glide Custom a dans le ventre... Mais aucune n'étant à disposition pour des essais, je vais voir ce que vaut un Fat Bob.
Le Fat Bob... d'abord une gueule, double phares, dragbar, commandes avancées... Le power cruiser (c'est bien écrit hein ! ) dans toute sa splendeur. J'ai l'impression de le connaitre. J'ai essayé récemment une Triumph Thunderbird Storm qui lui ressemble. Il est bien proportionné dans le genre trapu. C’est à dire bas et costaud.
J'avais envie de voir ce qu'une Dyna Super Glide Custom a dans le ventre... Mais aucune n'étant à disposition pour des essais, je vais voir ce que vaut un Fat Bob.
Le Fat Bob... d'abord une gueule, double phares, dragbar, commandes avancées... Le power cruiser (c'est bien écrit hein ! ) dans toute sa splendeur. J'ai l'impression de le connaitre. J'ai essayé récemment une Triumph Thunderbird Storm qui lui ressemble. Il est bien proportionné dans le genre trapu. C’est à dire bas et costaud.
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jeudi 24 mars 2011
Essai de la Triumph thunderbird Storm
La Thunderbird Storm est le dernier né de la famille des gros custom Triumph. Cette famille a été lancée en 2009 par la société anglaise. Au départ les motos étaient construites à partir d'un chassis jugé excellent par la presse spécialisée et d'un gros twin vertical de 1600 cc à refroidissement liquide jugé lui un peu trop linéaire et avare de sensations malgré ses son couple phénoménal de de 14.6mkg à 2750tr/min.
En 2010, Triumph propose une série limitée du joujou équipée d'un moteur de 1700 cc . Ce modèle possède nouveaux pistons, des nouvelles chemises, des nouveaux arbres à cames et de nouveaux ressorts d'embrayage. Le couple et la puissance s'en ressentent passant respectivement à 16.2mkg et à 97ch.
2011, la marque anglaise rajoute à son catalogue, la version "Storm". Elle garde le chassis et le moteur de la Thunderbird 1700 mais le look est retravaillé pour ressembler, fortement, à la Harley Davidson Fat Bob. Peinture noire généralisée. Les chromes rutilants de la Thunderbird de base disparaissent.
En 2010, Triumph propose une série limitée du joujou équipée d'un moteur de 1700 cc . Ce modèle possède nouveaux pistons, des nouvelles chemises, des nouveaux arbres à cames et de nouveaux ressorts d'embrayage. Le couple et la puissance s'en ressentent passant respectivement à 16.2mkg et à 97ch.
2011, la marque anglaise rajoute à son catalogue, la version "Storm". Elle garde le chassis et le moteur de la Thunderbird 1700 mais le look est retravaillé pour ressembler, fortement, à la Harley Davidson Fat Bob. Peinture noire généralisée. Les chromes rutilants de la Thunderbird de base disparaissent.
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mercredi 23 mars 2011
Bernard Lavilliers est "chez lui" aux Docks des Suds
Voilà quelques années que Bernard Lavilliers n'avait pas fait étape à Marseille.
J'étais allé le voir, alors au Dôme. La grande salle de Marseille. Mais il n'avait pas réussi à le remplir alors. De plus l'acoustique de cette salle n'est pas terrible.
Nous voici donc de retour aux Docks des Suds. Cette salle est plus petite mais conviviale.
En première partie, on trouve Balbino Medellin. C'est un ancien guitariste de Manu Chao. Il est produit, justement, par Bernard Lavilliers. Il est peu connu du grand public mais a déjà à son actif deux album. Et comme on n'est jamais si bien servi que par soit même, il annonce au cours du concert la parution du troisième à la prochaine rentrée.
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dimanche 20 mars 2011
Le voyage enraciné des Ogres de Barback (RFI)
Les Ogres de Barback sortent leur dixième album studio, Comment je suis devenu voyageur, hymne au mouvement et à l’ouverture.
Avec le temps, les Ogres de Barback ont fini par
constituer une des plus heureuses exceptions de la chanson en France.
Pionniers et parangons de l’indépendance, ils contrôlent leur label
discographique, Irfan, et sont producteurs de leurs tournées. Leur
singulier univers poétique et musical ne cesse de s’enrichir, d’album en
album.
Avec Comment je suis devenu voyageur, une fois de plus, Fred, Alice, Sam et Mathilde Bruguière ont travaillé à la maison, dans le grand studio installé dans la cave de la maison en Ardèche d’une des jumelles. Outre les rituelles invitations de copains (et même de Léo, leur petit frère de quinze ans, à la batterie) et leur plaisir d’ajouter de nouveaux instruments de musique à chaque disque, la méthode est toujours la même : à Cergy, Fred écrit les textes et des débuts de mélodies que ses frère et sœurs travaillent de leur côté, chacun dans son coin de France. Et ils se retrouvent aux vacances scolaires avec leurs conjoints et leur douzaine d’enfants, pour achever l’écriture et enregistrer les chansons. "C’est un peu le bordel, mais un joyeux bordel", note Fred.
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samedi 19 mars 2011
Essai de deux Victory
Victory vous connaissez ?
il y a peu de chance que ce soit le cas. Cette marque est importé en France depuis l'été 2010. Elle appartient à la société Polaris plus connue pour ses quads et autres motoneiges dans nos contrées. Je vais me faire un plaisir d'essayer deux modèles histoire de voir ce que ces bêtes ont dans le ventre...
il y a peu de chance que ce soit le cas. Cette marque est importé en France depuis l'été 2010. Elle appartient à la société Polaris plus connue pour ses quads et autres motoneiges dans nos contrées. Je vais me faire un plaisir d'essayer deux modèles histoire de voir ce que ces bêtes ont dans le ventre...
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dimanche 27 février 2011
Japan Expo 2011 à Marseille
Et bien voilà ! arrivés avant l'heure de l'ouverture, nous nous offrons quarante cinq minutes de queue pour pouvoir accéder à l'entrée de la Japan Expo.... Autant dire que le salon en question a du succès.
Mon fils tenait à y participer... Je n'étais pas très chaud mais j'ai accepté de l'amener. en attendant, nous observons les personnages déguisés qui arrivent au compte goute. çà fait paraitre le temps moins long.
Mon fils tenait à y participer... Je n'étais pas très chaud mais j'ai accepté de l'amener. en attendant, nous observons les personnages déguisés qui arrivent au compte goute. çà fait paraitre le temps moins long.
La Provence: 35 000 fans du Japon attendus à Marseille
Le 3e salon "Japan Expo Sud" ouvre ses portes aujourd'hui au parc Chanot
Pour sa 3e édition à Marseille, le festival de la culture et des loisirs japonais met le paquet. Trois jours surréalistes d'immersion totale dans la pop-culture japonaise raviront les fans sur 20000 m² de surface au Parc Chanot (8e). "Un événement prioritaire" pour Maurice Di Nocera, conseiller municipal (Nouveau Centre) délégué aux Grands Evènements, qui se réjouit de l'immense succès de la précédente édition. Au programme: mangas, musique, mode, cuisine, arts martiaux… Le pays du soleil levant sera dévoilé sous toutes ses coutures.
Le jeu vidéo sera tout particulièrement mis à l'honneur cette année avec la présence de Yûsuke Kozaki, illustrateur, créateur de personnages et mangaka. Sans oublier Marcus, animateur sur NoLife, présent aux côtés des joueurs qui pourront s'entraîner sur une multitude de consoles. Les fans de musique japonaise ne seront pas non plus en reste avec la scène du festival qui accueillera Head Phones President, TarO & JirO, Yuuki, Keisho Ohno, Galaxy7 et Yume Duo.
La culture traditionnelle japonaise pourra également être explorée à travers toutes ses facettes : démonstrations et initiations aux arts martiaux, espace bien-être avec techniques de relaxation, ateliers d'origami et de calligraphie, spectacles de danse sans oublier quelques spécialités culinaires. Japan Expo Sud n'oublie pas pour autant son fer de lance: le manga.
Une exposition sera organisée en hommage à Shôtarô ISHInoMORI, surnommé le "Roi du manga", avec la présentation de morceaux choisis de son oeuvre. Mais le Japan Expo Sud ne serait pas ce qu'il est sans le fameux "cosplay", l'art de se déguiser en personnage de manga ou de jeu vidéo. Un concours aura d'ailleurs lieu aujourd'hui et samedi autour d'un défilé. Enfin, vous pourrez vous plonger dans l'une des deux salles obscures pour assister à la projection de films et de séries d'animation. À vos costumes, à vos manettes et surtout, ne lésinez pas sur l'excentricité.
Photo LP
Le jeu vidéo sera tout particulièrement mis à l'honneur cette année avec la présence de Yûsuke Kozaki, illustrateur, créateur de personnages et mangaka. Sans oublier Marcus, animateur sur NoLife, présent aux côtés des joueurs qui pourront s'entraîner sur une multitude de consoles. Les fans de musique japonaise ne seront pas non plus en reste avec la scène du festival qui accueillera Head Phones President, TarO & JirO, Yuuki, Keisho Ohno, Galaxy7 et Yume Duo.
La culture traditionnelle japonaise pourra également être explorée à travers toutes ses facettes : démonstrations et initiations aux arts martiaux, espace bien-être avec techniques de relaxation, ateliers d'origami et de calligraphie, spectacles de danse sans oublier quelques spécialités culinaires. Japan Expo Sud n'oublie pas pour autant son fer de lance: le manga.
Une exposition sera organisée en hommage à Shôtarô ISHInoMORI, surnommé le "Roi du manga", avec la présentation de morceaux choisis de son oeuvre. Mais le Japan Expo Sud ne serait pas ce qu'il est sans le fameux "cosplay", l'art de se déguiser en personnage de manga ou de jeu vidéo. Un concours aura d'ailleurs lieu aujourd'hui et samedi autour d'un défilé. Enfin, vous pourrez vous plonger dans l'une des deux salles obscures pour assister à la projection de films et de séries d'animation. À vos costumes, à vos manettes et surtout, ne lésinez pas sur l'excentricité.
Lisa SERERO
La Provence du 25 février 2011
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jeudi 24 février 2011
The Corrs : what can I do ? / que puis-je faire ?
what can I do ?
I haven't slept at all in days
It's been so long since we've talked
And I have been here many times
I just don't know what I'm doing wrong
What can I do to make you love me
What can I do to make you care
What can I say to make you feel this
What can I do to get you there
There's only so much I can take
And I just got to let it go
And who knows I might feel better, yeah
If I don't try and I don't hope
What can I do to make you love me
What can I do to make you care
What can I say to make you feel this
What can I do to get you there
No more waiting, no more, aching...
No more fighting, no more, trying...
Maybe there's nothing more to say
And in a funny way I'm calm
Because the power is not mine
I'm just going to let it fly
What can I do to make you love me
(What can I do to make you love me)
What can I do to make you care
(What can I do to make you care)
What can I say to make you feel this
(What can I do to make you love me)
What can I do to get you there
(What can I do to make you care)
What can I do to make you love me
(What can I do to make you love me)
What can I do to make you care
(What can I do to make you care)
What can I change to make you feel this
(What can I do to make you love me)
What can I do to get you there
(What can I do to make you care)
And love me... love me...
____________________________________________________
Que puis-je faire ?
Je ne dors plus depuis des jours
Ça fais longtemps que nous n'avons pas parlés
Et j'ai été très souvent ici
Je ne sais pas ce que je fais de travers
Que puis-je faire pour que tu m'aimes
Que puis-je faire pour que tu fasses attention à toi
Que puis-je dire pour te faire ressentir ceci
Que puis-je faire pour t'avoir là avec moi
Il y en a seulement trop que je puisse prendre
Et je l'ai laissé aller
Et qui sait je pourrais me sentir mieux
Si je n'essaie pas et je n'espère pas
Que puis-je faire pour que tu m'aimes
Que puis-je faire pour que tu fasses attention à toi
Que puis-je dire pour te faire ressentir ceci
Que puis-je faire pour t'avoir là avec moi
Ne plus attendre, ne plus avoir mal
Ne plus se battre, ne plus essayer...
Peut-être il n'y a rien de plus à rajouter
Et d'une drôle de manière je suis calme
Parce que ce pouvoir n'est pas le mien
Je vais le laisser s'envoler...
Que puis-je faire pour que tu m'aimes
Que puis-je faire pour que tu fasses attention à toi
Que puis-je dire pour te faire ressentir ceci
Que puis-je faire pour t'avoir là avec moi
Aime moi...
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dimanche 20 février 2011
Gregg Allman, le blues rédempteur (Le Figaro)
Gregg Allman |
Quarante ans après le légendaire live au Fillmore de son groupe, le chanteur et organiste publie un album de reprises du répertoire.
mardi 8 février 2011
Libération: Gary Moore meurt
Disparition . Le hard-bluesman de Belfast avait 58 ans. Par YVES BIGOT
Avec sa trogne de deuxième ligne irlandais, Robert William Gary Moore n’avait aucune dimension hollywoodienne et faisait figure d’étrange rockstar. Dès qu’il s’emparait d’une guitare électrique, en revanche, tout sarcasme cessait. Musicien professionnel à Belfast dès 15 ans, compagnon de route du mulâtre Phil Lynott, avec qui il fonda Skid Row à Dublin en 1968, et qu’il rejoindra au sein de Thin Lizzy (en 1974 pour Nightlife, puis en 1979 pour Black Rose) avant de partager avec lui l’affiche de divers tubes en duo (Out in the Fields, Over the Hills and Far Away et Parisienne Walkways qui connut les honneurs de notre Top 50), Moore appartenait à la seconde génération de guitar heroes britanniques, héritier de Cream.
Le hard rock au son métallique qu’il cultive au sein des formations auxquelles il se joint (Colosseum II, G-Force, BBM où il fait son Clapton près de Ginger Baker et Jack Bruce) établit sa réputation, et pourtant Gary Moore dépasse largement ce cadre hurlant. Après l’album After the War, qui fait appel à ses racines celtiques, il réussit en 1990 son test de bluesman avec l’album de référence Still Got the Blues, où il est rejoint par deux de ses maîtres, Albert King et Albert Collins, outre George Harrison et Nicky Hopkins.
Dans la foulée, lors d’un premier passage époustouflant au festival de Montreux, il séduit le plus exigeant public de la planète, suant à grosses gouttes dans sa tignasse brune et faisant résonner sa grosse voix comme sa Les Paul Sunburst 1959 (achetée à son modèle et mentor, Peter Green, auquel il consacre l’album Blues For Greeny) aux accents remarquablement mélodiques et cinglants. Il devient un des principaux habitués du lieu, se mesurant là encore l’été dernier, comme sur les albums suivants du même acabit (After Hours, Blues Alive, Back to the Blues) à BB King, Luther Allison, Albert Collins et compagnie. Un coffret Live at Montreux témoigne de son aisance en public, de sa chaleur, et de la maîtrise du blues acquise au fil des ans, dans un style pouvant aller du mordant des Bluesbreakers période Clapton au lyrisme de Santana.
Très éclectique, au point de tenter des expériences jusque dans la dance, Moore a aussi collaboré avec Greg Lake, joué le solo de la version caritative de Let It Be par le Ferry Aid (numéro 1 anglais) et connu l’honneur de soler sur She’s My Baby pour les Travelling Wilburys à la demande de son ami George Harrison. Hier, il est mort à 58 ans dans un hôtel en Espagne, où il passait des vacances.
Le hard rock au son métallique qu’il cultive au sein des formations auxquelles il se joint (Colosseum II, G-Force, BBM où il fait son Clapton près de Ginger Baker et Jack Bruce) établit sa réputation, et pourtant Gary Moore dépasse largement ce cadre hurlant. Après l’album After the War, qui fait appel à ses racines celtiques, il réussit en 1990 son test de bluesman avec l’album de référence Still Got the Blues, où il est rejoint par deux de ses maîtres, Albert King et Albert Collins, outre George Harrison et Nicky Hopkins.
Dans la foulée, lors d’un premier passage époustouflant au festival de Montreux, il séduit le plus exigeant public de la planète, suant à grosses gouttes dans sa tignasse brune et faisant résonner sa grosse voix comme sa Les Paul Sunburst 1959 (achetée à son modèle et mentor, Peter Green, auquel il consacre l’album Blues For Greeny) aux accents remarquablement mélodiques et cinglants. Il devient un des principaux habitués du lieu, se mesurant là encore l’été dernier, comme sur les albums suivants du même acabit (After Hours, Blues Alive, Back to the Blues) à BB King, Luther Allison, Albert Collins et compagnie. Un coffret Live at Montreux témoigne de son aisance en public, de sa chaleur, et de la maîtrise du blues acquise au fil des ans, dans un style pouvant aller du mordant des Bluesbreakers période Clapton au lyrisme de Santana.
Très éclectique, au point de tenter des expériences jusque dans la dance, Moore a aussi collaboré avec Greg Lake, joué le solo de la version caritative de Let It Be par le Ferry Aid (numéro 1 anglais) et connu l’honneur de soler sur She’s My Baby pour les Travelling Wilburys à la demande de son ami George Harrison. Hier, il est mort à 58 ans dans un hôtel en Espagne, où il passait des vacances.
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lundi 7 février 2011
dimanche 19 décembre 2010
Points de suspension
Voilà , j'ai publié presque 150 messages sur ce blog. Ils ont tous trait à deux sujets principaux: la moto et ses utilisations d'un côté , la musique et ceux qui la font vivre de l'autre.
Depuis trois ans, je vais de mes commentaires sur les concerts auxquels je participe et sur les chansons qui font vibrer un petit quelque chose en moi. Je conte les balades à moto à travers la Provence ou le Languedoc. Avec tout ce qui les animent : paysages, machines et celles ou ceux qui les pilotent. Je crie les manifestations qui contribuent à ce que les intérêts des motards soient pris en compte.
Mais depuis quelques temps plus rien. J'ai trois articles en chantier et je n'arrive pas à trouver les mots justes, exprimer les sensations, les ressentis. Je n'arrive pas à mettre des mots sur la relation qui unit des motards entre eux lorsqu'ils se suivent sur la route ou sur la complicité qui relie le pilote à sa passagère. Je trouve que mes comptes rendus (contes?) se ressemblent tous, que mes photos sont diablement banales.
Comment traduire en mots l'instant où le guitariste titille la note bleue avec un band magnifique ? Je ne sais comment expliquer que cette note fait vibrer mes tripes.
Il est peut être temps que je fasse une pose dans mes rédactions car ma tête vadrouille ailleurs. Si elle m'accompagne avec entrain sur la route ou dans les aventures musicales, devant l'écran et la machine elle s'échappe et va gambader dans d'autres rêves que je ne sais comment mettre en mots pour l'instant.
Un blog est un roman que le lecteur aborderait à l'envers. De par structure, on l'aborde par l'article le plus récent. Comme le téléspectateur de la série Colombo, après avoir assisté au meurtre (du blog dans le cas présent), on aborde l'enquête, un pan de vie de l'auteur, en remontant le fil des publications par plusieurs angles. Les thèmes ou la chronologie. Au choix en fonction de l'inspiration ou des indices remarqués.
Alors lecteur si les billets t'intéressent, les paroles de chansons t'interpellent, bon voyage dans ce que j'ai rendu public de mon univers pendant trois ans.
Depuis trois ans, je vais de mes commentaires sur les concerts auxquels je participe et sur les chansons qui font vibrer un petit quelque chose en moi. Je conte les balades à moto à travers la Provence ou le Languedoc. Avec tout ce qui les animent : paysages, machines et celles ou ceux qui les pilotent. Je crie les manifestations qui contribuent à ce que les intérêts des motards soient pris en compte.
Mais depuis quelques temps plus rien. J'ai trois articles en chantier et je n'arrive pas à trouver les mots justes, exprimer les sensations, les ressentis. Je n'arrive pas à mettre des mots sur la relation qui unit des motards entre eux lorsqu'ils se suivent sur la route ou sur la complicité qui relie le pilote à sa passagère. Je trouve que mes comptes rendus (contes?) se ressemblent tous, que mes photos sont diablement banales.
Comment traduire en mots l'instant où le guitariste titille la note bleue avec un band magnifique ? Je ne sais comment expliquer que cette note fait vibrer mes tripes.
Il est peut être temps que je fasse une pose dans mes rédactions car ma tête vadrouille ailleurs. Si elle m'accompagne avec entrain sur la route ou dans les aventures musicales, devant l'écran et la machine elle s'échappe et va gambader dans d'autres rêves que je ne sais comment mettre en mots pour l'instant.
Un blog est un roman que le lecteur aborderait à l'envers. De par structure, on l'aborde par l'article le plus récent. Comme le téléspectateur de la série Colombo, après avoir assisté au meurtre (du blog dans le cas présent), on aborde l'enquête, un pan de vie de l'auteur, en remontant le fil des publications par plusieurs angles. Les thèmes ou la chronologie. Au choix en fonction de l'inspiration ou des indices remarqués.
Alors lecteur si les billets t'intéressent, les paroles de chansons t'interpellent, bon voyage dans ce que j'ai rendu public de mon univers pendant trois ans.
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