Mon fils tenait à y participer... Je n'étais pas très chaud mais j'ai accepté de l'amener. en attendant, nous observons les personnages déguisés qui arrivent au compte goute. çà fait paraitre le temps moins long.
Qui êtes-vous ?
dimanche 27 février 2011
Japan Expo 2011 à Marseille
Et bien voilà ! arrivés avant l'heure de l'ouverture, nous nous offrons quarante cinq minutes de queue pour pouvoir accéder à l'entrée de la Japan Expo.... Autant dire que le salon en question a du succès.
Mon fils tenait à y participer... Je n'étais pas très chaud mais j'ai accepté de l'amener. en attendant, nous observons les personnages déguisés qui arrivent au compte goute. çà fait paraitre le temps moins long.
Mon fils tenait à y participer... Je n'étais pas très chaud mais j'ai accepté de l'amener. en attendant, nous observons les personnages déguisés qui arrivent au compte goute. çà fait paraitre le temps moins long.
La Provence: 35 000 fans du Japon attendus à Marseille
Le 3e salon "Japan Expo Sud" ouvre ses portes aujourd'hui au parc Chanot
Pour sa 3e édition à Marseille, le festival de la culture et des loisirs japonais met le paquet. Trois jours surréalistes d'immersion totale dans la pop-culture japonaise raviront les fans sur 20000 m² de surface au Parc Chanot (8e). "Un événement prioritaire" pour Maurice Di Nocera, conseiller municipal (Nouveau Centre) délégué aux Grands Evènements, qui se réjouit de l'immense succès de la précédente édition. Au programme: mangas, musique, mode, cuisine, arts martiaux… Le pays du soleil levant sera dévoilé sous toutes ses coutures.
Le jeu vidéo sera tout particulièrement mis à l'honneur cette année avec la présence de Yûsuke Kozaki, illustrateur, créateur de personnages et mangaka. Sans oublier Marcus, animateur sur NoLife, présent aux côtés des joueurs qui pourront s'entraîner sur une multitude de consoles. Les fans de musique japonaise ne seront pas non plus en reste avec la scène du festival qui accueillera Head Phones President, TarO & JirO, Yuuki, Keisho Ohno, Galaxy7 et Yume Duo.
La culture traditionnelle japonaise pourra également être explorée à travers toutes ses facettes : démonstrations et initiations aux arts martiaux, espace bien-être avec techniques de relaxation, ateliers d'origami et de calligraphie, spectacles de danse sans oublier quelques spécialités culinaires. Japan Expo Sud n'oublie pas pour autant son fer de lance: le manga.
Une exposition sera organisée en hommage à Shôtarô ISHInoMORI, surnommé le "Roi du manga", avec la présentation de morceaux choisis de son oeuvre. Mais le Japan Expo Sud ne serait pas ce qu'il est sans le fameux "cosplay", l'art de se déguiser en personnage de manga ou de jeu vidéo. Un concours aura d'ailleurs lieu aujourd'hui et samedi autour d'un défilé. Enfin, vous pourrez vous plonger dans l'une des deux salles obscures pour assister à la projection de films et de séries d'animation. À vos costumes, à vos manettes et surtout, ne lésinez pas sur l'excentricité.
Photo LP
Le jeu vidéo sera tout particulièrement mis à l'honneur cette année avec la présence de Yûsuke Kozaki, illustrateur, créateur de personnages et mangaka. Sans oublier Marcus, animateur sur NoLife, présent aux côtés des joueurs qui pourront s'entraîner sur une multitude de consoles. Les fans de musique japonaise ne seront pas non plus en reste avec la scène du festival qui accueillera Head Phones President, TarO & JirO, Yuuki, Keisho Ohno, Galaxy7 et Yume Duo.
La culture traditionnelle japonaise pourra également être explorée à travers toutes ses facettes : démonstrations et initiations aux arts martiaux, espace bien-être avec techniques de relaxation, ateliers d'origami et de calligraphie, spectacles de danse sans oublier quelques spécialités culinaires. Japan Expo Sud n'oublie pas pour autant son fer de lance: le manga.
Une exposition sera organisée en hommage à Shôtarô ISHInoMORI, surnommé le "Roi du manga", avec la présentation de morceaux choisis de son oeuvre. Mais le Japan Expo Sud ne serait pas ce qu'il est sans le fameux "cosplay", l'art de se déguiser en personnage de manga ou de jeu vidéo. Un concours aura d'ailleurs lieu aujourd'hui et samedi autour d'un défilé. Enfin, vous pourrez vous plonger dans l'une des deux salles obscures pour assister à la projection de films et de séries d'animation. À vos costumes, à vos manettes et surtout, ne lésinez pas sur l'excentricité.
Lisa SERERO
La Provence du 25 février 2011
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jeudi 24 février 2011
The Corrs : what can I do ? / que puis-je faire ?
what can I do ?
I haven't slept at all in days
It's been so long since we've talked
And I have been here many times
I just don't know what I'm doing wrong
What can I do to make you love me
What can I do to make you care
What can I say to make you feel this
What can I do to get you there
There's only so much I can take
And I just got to let it go
And who knows I might feel better, yeah
If I don't try and I don't hope
What can I do to make you love me
What can I do to make you care
What can I say to make you feel this
What can I do to get you there
No more waiting, no more, aching...
No more fighting, no more, trying...
Maybe there's nothing more to say
And in a funny way I'm calm
Because the power is not mine
I'm just going to let it fly
What can I do to make you love me
(What can I do to make you love me)
What can I do to make you care
(What can I do to make you care)
What can I say to make you feel this
(What can I do to make you love me)
What can I do to get you there
(What can I do to make you care)
What can I do to make you love me
(What can I do to make you love me)
What can I do to make you care
(What can I do to make you care)
What can I change to make you feel this
(What can I do to make you love me)
What can I do to get you there
(What can I do to make you care)
And love me... love me...
____________________________________________________
Que puis-je faire ?
Je ne dors plus depuis des jours
Ça fais longtemps que nous n'avons pas parlés
Et j'ai été très souvent ici
Je ne sais pas ce que je fais de travers
Que puis-je faire pour que tu m'aimes
Que puis-je faire pour que tu fasses attention à toi
Que puis-je dire pour te faire ressentir ceci
Que puis-je faire pour t'avoir là avec moi
Il y en a seulement trop que je puisse prendre
Et je l'ai laissé aller
Et qui sait je pourrais me sentir mieux
Si je n'essaie pas et je n'espère pas
Que puis-je faire pour que tu m'aimes
Que puis-je faire pour que tu fasses attention à toi
Que puis-je dire pour te faire ressentir ceci
Que puis-je faire pour t'avoir là avec moi
Ne plus attendre, ne plus avoir mal
Ne plus se battre, ne plus essayer...
Peut-être il n'y a rien de plus à rajouter
Et d'une drôle de manière je suis calme
Parce que ce pouvoir n'est pas le mien
Je vais le laisser s'envoler...
Que puis-je faire pour que tu m'aimes
Que puis-je faire pour que tu fasses attention à toi
Que puis-je dire pour te faire ressentir ceci
Que puis-je faire pour t'avoir là avec moi
Aime moi...
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Musique
dimanche 20 février 2011
Gregg Allman, le blues rédempteur (Le Figaro)
Gregg Allman |
Quarante ans après le légendaire live au Fillmore de son groupe, le chanteur et organiste publie un album de reprises du répertoire.
mardi 8 février 2011
Libération: Gary Moore meurt
Disparition . Le hard-bluesman de Belfast avait 58 ans. Par YVES BIGOT
Avec sa trogne de deuxième ligne irlandais, Robert William Gary Moore n’avait aucune dimension hollywoodienne et faisait figure d’étrange rockstar. Dès qu’il s’emparait d’une guitare électrique, en revanche, tout sarcasme cessait. Musicien professionnel à Belfast dès 15 ans, compagnon de route du mulâtre Phil Lynott, avec qui il fonda Skid Row à Dublin en 1968, et qu’il rejoindra au sein de Thin Lizzy (en 1974 pour Nightlife, puis en 1979 pour Black Rose) avant de partager avec lui l’affiche de divers tubes en duo (Out in the Fields, Over the Hills and Far Away et Parisienne Walkways qui connut les honneurs de notre Top 50), Moore appartenait à la seconde génération de guitar heroes britanniques, héritier de Cream.
Le hard rock au son métallique qu’il cultive au sein des formations auxquelles il se joint (Colosseum II, G-Force, BBM où il fait son Clapton près de Ginger Baker et Jack Bruce) établit sa réputation, et pourtant Gary Moore dépasse largement ce cadre hurlant. Après l’album After the War, qui fait appel à ses racines celtiques, il réussit en 1990 son test de bluesman avec l’album de référence Still Got the Blues, où il est rejoint par deux de ses maîtres, Albert King et Albert Collins, outre George Harrison et Nicky Hopkins.
Dans la foulée, lors d’un premier passage époustouflant au festival de Montreux, il séduit le plus exigeant public de la planète, suant à grosses gouttes dans sa tignasse brune et faisant résonner sa grosse voix comme sa Les Paul Sunburst 1959 (achetée à son modèle et mentor, Peter Green, auquel il consacre l’album Blues For Greeny) aux accents remarquablement mélodiques et cinglants. Il devient un des principaux habitués du lieu, se mesurant là encore l’été dernier, comme sur les albums suivants du même acabit (After Hours, Blues Alive, Back to the Blues) à BB King, Luther Allison, Albert Collins et compagnie. Un coffret Live at Montreux témoigne de son aisance en public, de sa chaleur, et de la maîtrise du blues acquise au fil des ans, dans un style pouvant aller du mordant des Bluesbreakers période Clapton au lyrisme de Santana.
Très éclectique, au point de tenter des expériences jusque dans la dance, Moore a aussi collaboré avec Greg Lake, joué le solo de la version caritative de Let It Be par le Ferry Aid (numéro 1 anglais) et connu l’honneur de soler sur She’s My Baby pour les Travelling Wilburys à la demande de son ami George Harrison. Hier, il est mort à 58 ans dans un hôtel en Espagne, où il passait des vacances.
Le hard rock au son métallique qu’il cultive au sein des formations auxquelles il se joint (Colosseum II, G-Force, BBM où il fait son Clapton près de Ginger Baker et Jack Bruce) établit sa réputation, et pourtant Gary Moore dépasse largement ce cadre hurlant. Après l’album After the War, qui fait appel à ses racines celtiques, il réussit en 1990 son test de bluesman avec l’album de référence Still Got the Blues, où il est rejoint par deux de ses maîtres, Albert King et Albert Collins, outre George Harrison et Nicky Hopkins.
Dans la foulée, lors d’un premier passage époustouflant au festival de Montreux, il séduit le plus exigeant public de la planète, suant à grosses gouttes dans sa tignasse brune et faisant résonner sa grosse voix comme sa Les Paul Sunburst 1959 (achetée à son modèle et mentor, Peter Green, auquel il consacre l’album Blues For Greeny) aux accents remarquablement mélodiques et cinglants. Il devient un des principaux habitués du lieu, se mesurant là encore l’été dernier, comme sur les albums suivants du même acabit (After Hours, Blues Alive, Back to the Blues) à BB King, Luther Allison, Albert Collins et compagnie. Un coffret Live at Montreux témoigne de son aisance en public, de sa chaleur, et de la maîtrise du blues acquise au fil des ans, dans un style pouvant aller du mordant des Bluesbreakers période Clapton au lyrisme de Santana.
Très éclectique, au point de tenter des expériences jusque dans la dance, Moore a aussi collaboré avec Greg Lake, joué le solo de la version caritative de Let It Be par le Ferry Aid (numéro 1 anglais) et connu l’honneur de soler sur She’s My Baby pour les Travelling Wilburys à la demande de son ami George Harrison. Hier, il est mort à 58 ans dans un hôtel en Espagne, où il passait des vacances.
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lundi 7 février 2011
dimanche 19 décembre 2010
Points de suspension
Voilà , j'ai publié presque 150 messages sur ce blog. Ils ont tous trait à deux sujets principaux: la moto et ses utilisations d'un côté , la musique et ceux qui la font vivre de l'autre.
Depuis trois ans, je vais de mes commentaires sur les concerts auxquels je participe et sur les chansons qui font vibrer un petit quelque chose en moi. Je conte les balades à moto à travers la Provence ou le Languedoc. Avec tout ce qui les animent : paysages, machines et celles ou ceux qui les pilotent. Je crie les manifestations qui contribuent à ce que les intérêts des motards soient pris en compte.
Mais depuis quelques temps plus rien. J'ai trois articles en chantier et je n'arrive pas à trouver les mots justes, exprimer les sensations, les ressentis. Je n'arrive pas à mettre des mots sur la relation qui unit des motards entre eux lorsqu'ils se suivent sur la route ou sur la complicité qui relie le pilote à sa passagère. Je trouve que mes comptes rendus (contes?) se ressemblent tous, que mes photos sont diablement banales.
Comment traduire en mots l'instant où le guitariste titille la note bleue avec un band magnifique ? Je ne sais comment expliquer que cette note fait vibrer mes tripes.
Il est peut être temps que je fasse une pose dans mes rédactions car ma tête vadrouille ailleurs. Si elle m'accompagne avec entrain sur la route ou dans les aventures musicales, devant l'écran et la machine elle s'échappe et va gambader dans d'autres rêves que je ne sais comment mettre en mots pour l'instant.
Un blog est un roman que le lecteur aborderait à l'envers. De par structure, on l'aborde par l'article le plus récent. Comme le téléspectateur de la série Colombo, après avoir assisté au meurtre (du blog dans le cas présent), on aborde l'enquête, un pan de vie de l'auteur, en remontant le fil des publications par plusieurs angles. Les thèmes ou la chronologie. Au choix en fonction de l'inspiration ou des indices remarqués.
Alors lecteur si les billets t'intéressent, les paroles de chansons t'interpellent, bon voyage dans ce que j'ai rendu public de mon univers pendant trois ans.
Depuis trois ans, je vais de mes commentaires sur les concerts auxquels je participe et sur les chansons qui font vibrer un petit quelque chose en moi. Je conte les balades à moto à travers la Provence ou le Languedoc. Avec tout ce qui les animent : paysages, machines et celles ou ceux qui les pilotent. Je crie les manifestations qui contribuent à ce que les intérêts des motards soient pris en compte.
Mais depuis quelques temps plus rien. J'ai trois articles en chantier et je n'arrive pas à trouver les mots justes, exprimer les sensations, les ressentis. Je n'arrive pas à mettre des mots sur la relation qui unit des motards entre eux lorsqu'ils se suivent sur la route ou sur la complicité qui relie le pilote à sa passagère. Je trouve que mes comptes rendus (contes?) se ressemblent tous, que mes photos sont diablement banales.
Comment traduire en mots l'instant où le guitariste titille la note bleue avec un band magnifique ? Je ne sais comment expliquer que cette note fait vibrer mes tripes.
Il est peut être temps que je fasse une pose dans mes rédactions car ma tête vadrouille ailleurs. Si elle m'accompagne avec entrain sur la route ou dans les aventures musicales, devant l'écran et la machine elle s'échappe et va gambader dans d'autres rêves que je ne sais comment mettre en mots pour l'instant.
Un blog est un roman que le lecteur aborderait à l'envers. De par structure, on l'aborde par l'article le plus récent. Comme le téléspectateur de la série Colombo, après avoir assisté au meurtre (du blog dans le cas présent), on aborde l'enquête, un pan de vie de l'auteur, en remontant le fil des publications par plusieurs angles. Les thèmes ou la chronologie. Au choix en fonction de l'inspiration ou des indices remarqués.
Alors lecteur si les billets t'intéressent, les paroles de chansons t'interpellent, bon voyage dans ce que j'ai rendu public de mon univers pendant trois ans.
mercredi 8 décembre 2010
Var Matin : Deep Purple va réchauffer Toulon ce soir
Ouaouh ! Deep Purple à Toulon ! Le groupe de hard rock le plus célèbre de la planète (avec Led Zeppelin, on vous l’accorde) fait étape pour sa tournée mondiale dans le Var.
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lundi 6 décembre 2010
M en concert à l'Aréna: le show d'un Grand Monsieur
Un billet obtenu à l'arrache, trois jours avant le concert, et je suis le plus heureux... Un peu comme un gamin qui aurait obtenu une récompense inattendue.
C'est la troisième fois que je vais voir M en concert.
La première fois c'était aux Docks des Sud à Marseille. Petite salle qui favorise l'intimité avec les artistes. Une grande place avait été laissé à l'impro, la prise de risque. J'avais adoré.
La seconde au Dôme de Marseille, une grande salle du point de vu local. Capable d'accueillir 8500 personnes. J'avais trouvé le concert trop carré. Trop apprêté. Pas de place pour la spontanéité.
Ce soir, au Montpellier Aréna, une salle capable d'accueillir 14800 spectateurs, je suis relativement inquiet. Mais je boue d'impatience.
C'est la troisième fois que je vais voir M en concert.
La première fois c'était aux Docks des Sud à Marseille. Petite salle qui favorise l'intimité avec les artistes. Une grande place avait été laissé à l'impro, la prise de risque. J'avais adoré.
La seconde au Dôme de Marseille, une grande salle du point de vu local. Capable d'accueillir 8500 personnes. J'avais trouvé le concert trop carré. Trop apprêté. Pas de place pour la spontanéité.
Ce soir, au Montpellier Aréna, une salle capable d'accueillir 14800 spectateurs, je suis relativement inquiet. Mais je boue d'impatience.
lundi 22 novembre 2010
Paco de Lucia, une légende à Paris
Les apparitions du guitariste espagnol sur les scènes françaises sont rares. Il se produit mardi soir au Zénith.
Crédits photo : STEPHANE DE SAKUTIN/AFP
Dans un entretien au Figaro, Paco de Lucia revient sur son parcours atypique d'homme et d'artiste. Il en profite pour décrire la place actuelle du flamenco dans le monde musical et exposer ses projets.
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dimanche 21 novembre 2010
Bourse d'automne de Custom Pays d'Aix
Comme chaque année, à la même époque, le Club Custom Pays d'Aix organise sa bourse d'échange d'automne à Bouc Bel Air.
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jeudi 18 novembre 2010
Des Bikers dans les gorges du Verdon
Petit matin d'automne.... aujourd'hui direction le Verdon. Pas mal de nuages et quelques coins de ciel bleu ici où là. Je me suis mis en tenue hivernale. La réputation des gorges du Verdon en fin d'automne n'est plus à faire...
Notre rendez vous se situe au point habituel: place de la Rotonde à Aix en Provence.
Mon joujou est en bonne compagnie
Le café est apprécié dans cette fraicheur matinale
Mais l'heure du départ a sonné et les choses sérieuses commencent par une brève explication du parcours aux pilotes..
Nous roulons tranquillement en direction de Vinon sur Verdon. Le rythme change par rapport aux sorties en compagnie de roadsters...
si nécessaire tout le monde s'attend.
Vinon, pause détente. L'ambiance est agréable. tout le monde papote et on fait connaissance avec les gens .
Passé Gréoux, le paysage change, l'automne s'avance en force. De quelques feuilles brunes réchauffant le vert des chênes de la vallée de la Durance, on passe à des arbres où le roux domine parmi les feuillus mais le vert des oliviers et des pins persiste
Nous faisons une halte à la station service de Moustier Sainte Marie... C'est vrai que la petite contenance des réservoirs de certains modèles n'est pas sans poser de problème lors des balades. Ce ne doit pas être simple d'être obligé de faire le plein tous les 100 à 120 kilomètres. Sans compter que le pilote n'a pas forcément le choix des stations service et se voit contraint de payer le carburant au prix fort.
La vue sur le village quand on arrive par l'ouest est toujours fort agréable.
Petite pose au village pour prendre quelques forces avant d'attaquer les gorges.
Dans les gorges, les virages s'enchainent au milieu d'un paysage d'exception. Nous en profitons largement et à petit rythme. .. très petit même pour certains. Mais c'est le plaisir de rouler ensemble qui prévaut.
Notre rendez vous se situe au point habituel: place de la Rotonde à Aix en Provence.
Photo Chickenmember
Mon joujou est en bonne compagnie
Le café est apprécié dans cette fraicheur matinale
Mais l'heure du départ a sonné et les choses sérieuses commencent par une brève explication du parcours aux pilotes..
Et c'est parti !
Photo Chickenmember
Photo Spider Marc
Nous roulons tranquillement en direction de Vinon sur Verdon. Le rythme change par rapport aux sorties en compagnie de roadsters...
si nécessaire tout le monde s'attend.
Photo Chickenmember
Vinon, pause détente. L'ambiance est agréable. tout le monde papote et on fait connaissance avec les gens .
Photo Chickenmember
Passé Gréoux, le paysage change, l'automne s'avance en force. De quelques feuilles brunes réchauffant le vert des chênes de la vallée de la Durance, on passe à des arbres où le roux domine parmi les feuillus mais le vert des oliviers et des pins persiste
Photo Chickenmember
Nous faisons une halte à la station service de Moustier Sainte Marie... C'est vrai que la petite contenance des réservoirs de certains modèles n'est pas sans poser de problème lors des balades. Ce ne doit pas être simple d'être obligé de faire le plein tous les 100 à 120 kilomètres. Sans compter que le pilote n'a pas forcément le choix des stations service et se voit contraint de payer le carburant au prix fort.
Photo Spider Marc
La vue sur le village quand on arrive par l'ouest est toujours fort agréable.
Petite pose au village pour prendre quelques forces avant d'attaquer les gorges.
Photo Spider Marc
Dans les gorges, les virages s'enchainent au milieu d'un paysage d'exception. Nous en profitons largement et à petit rythme. .. très petit même pour certains. Mais c'est le plaisir de rouler ensemble qui prévaut.
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lundi 8 novembre 2010
Dianne Reeves en concert à Marseille
Ce mardi deux novembre, l'auditorium du palais du Pharo accueillait Dianne Reeves. L'une des grandes chanteuses contemporaine de Jazz. Je la considère comme l'héritière des "grandes" voix que furent Billie Holiday, Ella Fitzgerald ou Sarah Vaughan.
mercredi 3 novembre 2010
Izia : "Impatiente de faire découvrir la nouvelle moi !"
Sa fin de tournée passe par Marseille ce jeudi. Avant un nouvel album
Elle grandit, Izia. "Ben, ouais, quoi j'ai 20 ans", lâche crânement la chanteuse la plus intéressante que le rock français ait livrée depuis belle lurette. Du haut de ses talons et de ses deux décennies, la fille Higelin, analyse les deux dernières années qu'elle a vécues avec une belle lucidité. Le succès de son premier disque (Izia) comme l'accueil plus que chaleureux réservé à ses concerts? "Par rapport au peu de diffusion radio de mes chansons et au caractère pas commercial de ma musique, c'était totalement inattendu! Ça a été deux années assez folles. J'en sors galvanisée, mais crevée, aussi."
Et puis, surtout, Izia piaffe d'impatience. "Là, on fait les dernières dates de la tournée. C'est un peu étrange, parce qu'on joue encore les titres du premier disque, alors que le prochain arrive… Le premier album me ressemble et ne me ressemble plus à la fois!" Comme une photo d'elle, mais couleur sépia? "Oui, c'est exactement ça. C'est une photo de moi, il y a 5 ans."Serait-ce, alors, que les premières chansons vives, rugueuses, jubilatoires ont atteint leur date de péremption? "Non, parce que chaque soir, on les joue devant des gens différents et donc, forcément, elles prennent une énergie différente puisqu'on les vit aussi à travers le public. Je ne m'en lasse pas, mais je suis impatiente de faire découvrir la nouvelle moi à mon public", sourit la voix éraillée de la pétulante gamine.
À quoi va-t-elle donc ressembler cette Izia en pleine mue? "Elle sera un peu plus posée. Pour l'album, j'ai envie qu'on lâche un peu moins les chevaux, que les mélodies soient plus chiadées, qu'il y ait plus de relief. On reste sur du rock, de l'énergie, de la fougue, mais avec plus de maîtrise, plus de maturité." Pour tisser ce nouveau disque, Izia a déjà tiré quelques fils. "Certains morceaux sont nés, comme ça, pendant des balances. Et puis, avec Sébastien, le guitariste, on a fait des séances de travail à la campagne. Pas mal de choses en sont sorties.
Après, ça va s'écrémer."Ce travail-là, le duo, ira le peaufiner en Angleterre, terre rock'n'roll s'il en est: "Comme un truc initiatique!", rit-elle. Même pas la pression à l'aube du deuxième album, l'effrontée: "Peut-être que je vais me planter aux yeux de certains, de ceux qui voudraient que je reste dans la lignée d'un rock old school, 70's. J'ai forcément un peu peur de les décevoir, mais en même temps, c'est ce que je suis aujourd'hui. Et je suis tellement excitée de faire de nouvelles choses que je préfère courir le risque plutôt que d'avoir les regrets de ne pas les avoir faites. Et tant pis si je me pète la gueule! Au moins, je serai en accord avec moi."
Jeudi 4, 20h, Espace Julien, à Marseille. 04 91 24 34 10
Elle grandit, Izia. "Ben, ouais, quoi j'ai 20 ans", lâche crânement la chanteuse la plus intéressante que le rock français ait livrée depuis belle lurette. Du haut de ses talons et de ses deux décennies, la fille Higelin, analyse les deux dernières années qu'elle a vécues avec une belle lucidité. Le succès de son premier disque (Izia) comme l'accueil plus que chaleureux réservé à ses concerts? "Par rapport au peu de diffusion radio de mes chansons et au caractère pas commercial de ma musique, c'était totalement inattendu! Ça a été deux années assez folles. J'en sors galvanisée, mais crevée, aussi."
Photo Valérie Farine
Et puis, surtout, Izia piaffe d'impatience. "Là, on fait les dernières dates de la tournée. C'est un peu étrange, parce qu'on joue encore les titres du premier disque, alors que le prochain arrive… Le premier album me ressemble et ne me ressemble plus à la fois!" Comme une photo d'elle, mais couleur sépia? "Oui, c'est exactement ça. C'est une photo de moi, il y a 5 ans."Serait-ce, alors, que les premières chansons vives, rugueuses, jubilatoires ont atteint leur date de péremption? "Non, parce que chaque soir, on les joue devant des gens différents et donc, forcément, elles prennent une énergie différente puisqu'on les vit aussi à travers le public. Je ne m'en lasse pas, mais je suis impatiente de faire découvrir la nouvelle moi à mon public", sourit la voix éraillée de la pétulante gamine.
À quoi va-t-elle donc ressembler cette Izia en pleine mue? "Elle sera un peu plus posée. Pour l'album, j'ai envie qu'on lâche un peu moins les chevaux, que les mélodies soient plus chiadées, qu'il y ait plus de relief. On reste sur du rock, de l'énergie, de la fougue, mais avec plus de maîtrise, plus de maturité." Pour tisser ce nouveau disque, Izia a déjà tiré quelques fils. "Certains morceaux sont nés, comme ça, pendant des balances. Et puis, avec Sébastien, le guitariste, on a fait des séances de travail à la campagne. Pas mal de choses en sont sorties.
Après, ça va s'écrémer."Ce travail-là, le duo, ira le peaufiner en Angleterre, terre rock'n'roll s'il en est: "Comme un truc initiatique!", rit-elle. Même pas la pression à l'aube du deuxième album, l'effrontée: "Peut-être que je vais me planter aux yeux de certains, de ceux qui voudraient que je reste dans la lignée d'un rock old school, 70's. J'ai forcément un peu peur de les décevoir, mais en même temps, c'est ce que je suis aujourd'hui. Et je suis tellement excitée de faire de nouvelles choses que je préfère courir le risque plutôt que d'avoir les regrets de ne pas les avoir faites. Et tant pis si je me pète la gueule! Au moins, je serai en accord avec moi."
Jeudi 4, 20h, Espace Julien, à Marseille. 04 91 24 34 10
Coralie BONNEFOY , La Provence du 2 novembre 2010
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