INTERVIEW - L'artiste américaine signe avec Banga son premier album en huit ans. Elle rend hommage à l'actrice Maria Schneider et à la chanteuse Amy Winehouse.
LE FIGARO. - Ces dernières années, vous vous étiez plutôt consacrée à la photo et à la littérature. Quel effet cela fait-il de publier votre premier album original en huit ans?
Patti SMITH. - J'ai passé beaucoup de temps sur les routes ces dernières années. En partie avec mon groupe mais aussi dans d'autres projets intéressants: mon exposition à la Fondation Cartier, qui m'a pris sept mois, m'a permis de prendre confiance dans mon travail de photographe, j'ai réalisé mon premier film et j'ai complété l'écriture de Just Kids, qui m'a demandé énormément d'énergie. Ce livre a été mon projet qui a recueilli le plus de succès de toute ma carrière. Je ne suis pas une pop star, et l'écriture de chansons ne fait pas partie de mon quotidien. Mais, pour moi, faire un disque est un merveilleux moyen de communiquer avec les gens. C'est aussi une collaboration, qui met en avant mes idées et aussi celles de mon groupe.
Qui êtes-vous ?
samedi 9 juin 2012
mardi 8 mai 2012
"Du Mali au Mississippi" : exploration des racines du blues en compagnie de Corey Harris (Le Monde)
Troisième film de la série sur le blues, Du Mali au Mississippi est signé du producteur et instigateur du projet, Martin Scorsese. Pour son voyage au cœur de la musique noire américaine, il a calé ses pas dans ceux du bluesman Corey Harris. Linguiste de formation, ce dernier a passé plusieurs années au Cameroun à étudier les dialectes anglo-africains. Dans l'enchevêtrement des racines du blues, de sa tradition orale, ce guide-narrateur traque les résonances, les associations d'idées, de rythmes, de sons, ainsi que les liens entre cette culture musicale et l'identité afro-américaine. Au début du film, il en donne l'enjeu : "Pour te connaître toi-même, il te faut connaître ton passé."
Alors que Richard Pearce, dans La Route de Memphis, explorait cette histoire à partir du Tennessee, Corey Harris, lui, est parti de la région du delta intérieur du Mississippi. Puis il s'est transporté jusqu'en Afrique. Au début de son voyage, il s'entretient avec Dick Waterman, Sam Carr, Taj Mahal. Les noms d'Alan Lomax, Muddy Waters, Son House, John Lee Hooker sont évoqués, et Scorsese leur donne la parole en les intégrant à son film via des images d'archives. Le grain doux et sensuel de ses images tournées en DV sous les porches des maisons, dans les marais, se fond dans une douce harmonie avec les couleurs passées des archives filmées. Cela donne le sentiment que ces personnages sont tous sur le même plan. Son exploration le mène jusqu'à Detroit, l'un des berceaux du blues des usines et des ouvriers.
Pratiquement sans transition, la caméra se déporte en Afrique. La fluide continuité du voyage se rompt, comme s'est rompue l'histoire des Africains enlevés pour servir d'esclaves aux Etats-Unis. L'image elle-même change de texture, de couleur. De fait, cette partie du film ne fut pas tournée par Scorsese, mais par le producteur Samuel Pollard (Le Monde du 22 mars).
L'HISTOIRE D'UN PEUPLE
Corey Harris justifie cette rupture géographique en rebondissant par une sorte de pirouette rhétorique sur les propos d'Othar Turner. Entre deux airs de fifre joués sous le porche de sa maison, le musicien analyse la force de sa musique, la folle adhésion qu'elle suscite, comme étant entièrement liée à la puissance des tambours qui l'accompagnent. Or ces tambours, qui constituent la base de la musique africaine, ont longtemps été proscrits aux Etats-Unis, les esclaves n'ayant pas le droit d'en jouer. Leur arrivée dans le blues pourrait s'interpréter comme un retour du refoulé dans la musique noire américaine.
En Afrique, Corey Harris rencontre Salif Keita, Habib Koité, Ali Farka Touré, Toumani Diabaté. Il les invite à chanter, parle avec eux de musique, de la complainte amoureuse comme base commune au blues et à la musique africaine, de griots, ces troubadours gardiens de la tradition orale africaine.
Ce sont moins les origines de la musique des esclaves noirs qu'il semble avoir recherchées au long de son périple que les siennes. La musique est avant tout une piste pour reconstruire l'histoire d'un peuple qui fut brutalement coupé de ses racines. Plutôt qu'une généalogie, Corey Harris dresse un parallèle entre les musiques africaines et le blues. Il cherche un dénominateur commun, une forme de permanence, un pont, comme pour poser un nouveau jalon dans la construction de l'identité afro-américaine.
Isabelle Regnier Le Monde du 24 mars 2003
Film américain de Martin Scorsese. (1 h 17.)
Alors que Richard Pearce, dans La Route de Memphis, explorait cette histoire à partir du Tennessee, Corey Harris, lui, est parti de la région du delta intérieur du Mississippi. Puis il s'est transporté jusqu'en Afrique. Au début de son voyage, il s'entretient avec Dick Waterman, Sam Carr, Taj Mahal. Les noms d'Alan Lomax, Muddy Waters, Son House, John Lee Hooker sont évoqués, et Scorsese leur donne la parole en les intégrant à son film via des images d'archives. Le grain doux et sensuel de ses images tournées en DV sous les porches des maisons, dans les marais, se fond dans une douce harmonie avec les couleurs passées des archives filmées. Cela donne le sentiment que ces personnages sont tous sur le même plan. Son exploration le mène jusqu'à Detroit, l'un des berceaux du blues des usines et des ouvriers.
Pratiquement sans transition, la caméra se déporte en Afrique. La fluide continuité du voyage se rompt, comme s'est rompue l'histoire des Africains enlevés pour servir d'esclaves aux Etats-Unis. L'image elle-même change de texture, de couleur. De fait, cette partie du film ne fut pas tournée par Scorsese, mais par le producteur Samuel Pollard (Le Monde du 22 mars).
L'HISTOIRE D'UN PEUPLE
Corey Harris justifie cette rupture géographique en rebondissant par une sorte de pirouette rhétorique sur les propos d'Othar Turner. Entre deux airs de fifre joués sous le porche de sa maison, le musicien analyse la force de sa musique, la folle adhésion qu'elle suscite, comme étant entièrement liée à la puissance des tambours qui l'accompagnent. Or ces tambours, qui constituent la base de la musique africaine, ont longtemps été proscrits aux Etats-Unis, les esclaves n'ayant pas le droit d'en jouer. Leur arrivée dans le blues pourrait s'interpréter comme un retour du refoulé dans la musique noire américaine.
En Afrique, Corey Harris rencontre Salif Keita, Habib Koité, Ali Farka Touré, Toumani Diabaté. Il les invite à chanter, parle avec eux de musique, de la complainte amoureuse comme base commune au blues et à la musique africaine, de griots, ces troubadours gardiens de la tradition orale africaine.
Ce sont moins les origines de la musique des esclaves noirs qu'il semble avoir recherchées au long de son périple que les siennes. La musique est avant tout une piste pour reconstruire l'histoire d'un peuple qui fut brutalement coupé de ses racines. Plutôt qu'une généalogie, Corey Harris dresse un parallèle entre les musiques africaines et le blues. Il cherche un dénominateur commun, une forme de permanence, un pont, comme pour poser un nouveau jalon dans la construction de l'identité afro-américaine.
Isabelle Regnier Le Monde du 24 mars 2003
Film américain de Martin Scorsese. (1 h 17.)
lundi 7 mai 2012
"La Route de Memphis" : voyage au fil du blues dans l'histoire raciale des Etats-Unis (Le Monde)
Deuxième film de la série consacrée au blues que produit Martin Scorsese (The Soul of a Man, de Wim Wenders, est sorti le 14 janvier), La Route de Memphis est un documentaire passionnant, qui dissimule, derrière l'émouvant hommage à une musique et à ceux qui la font, une réflexion sociale d'une singulière amertume. L'épaisseur dramatique du film tient au choix du réalisateur, Richard Pearce, de mettre en parallèle deux voyages.
Le premier est incessant : le chanteur Bobby Rush, sexagénaire flamboyant, est en tournée perpétuelle sur les routes des Etats-Unis. Sa vie suit une routine d'un genre particulier ("concert le soir, la nuit dans le bus, une autre ville le lendemain" et ainsi de suite).
Le premier est incessant : le chanteur Bobby Rush, sexagénaire flamboyant, est en tournée perpétuelle sur les routes des Etats-Unis. Sa vie suit une routine d'un genre particulier ("concert le soir, la nuit dans le bus, une autre ville le lendemain" et ainsi de suite).
dimanche 6 mai 2012
"The Soul of a Man" : a travers le temps, le cinéma ressuscite trois musiciens américains oubliés (Le Monde)
Le nouveau film de Wim Wenders est à la fois un chapitre d'une œuvre collective - la série consacrée au blues initiée par Martin Scorsese - et le troisième volet d'une trilogie de films musicaux que le réalisateur d' Au fil du temps avait commencée avec Buena Vista Social Club et poursuivie avec Viel Passiert(long métrage consacré au groupe allemand BAP) resté inédit en France. Œuvre hybride donc, à la fois commande et continuation d'un vagabondage qui tient Wenders éloigné de la fiction depuis quelques années.
vendredi 27 avril 2012
Balade printanière dans le Var
Le jour se lève sur la Sainte Victoire. Merci Fab d'ouvrir ce post de belle manière.
Voilà un moment que j'avais laissé ma moto dans son garage. Je la retrouve pleine de pollen, signe que le printemps est là mais aussi que je vais avoir pas mal de travail de nettoyage.
Nous nous retrouvons à sept motos pour rouler en direction du Var. Histoire de faire prendre l'air à nos machines, de nous régaler de beaux paysages et de sensations. J'ai prévu un itinéraire plein de virolos de montées de descentes... Bref de quoi donner le tournis à certains en fin de journée.
Voilà un moment que j'avais laissé ma moto dans son garage. Je la retrouve pleine de pollen, signe que le printemps est là mais aussi que je vais avoir pas mal de travail de nettoyage.
Nous nous retrouvons à sept motos pour rouler en direction du Var. Histoire de faire prendre l'air à nos machines, de nous régaler de beaux paysages et de sensations. J'ai prévu un itinéraire plein de virolos de montées de descentes... Bref de quoi donner le tournis à certains en fin de journée.
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jeudi 26 avril 2012
Balade pascale entre Alpes et Vaucluse 2012
Ce samedi le temps est vraiment incertain. Mais il est hors de question de prendre la voiture. Direction les Alpes de Haute Provence par le chemin des écoliers.
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mardi 24 avril 2012
Dust dans le vent au Red Peppers
Le Red Peppers est un restaurant à animation musicale à Aix en Provence Il se trouve sur la droite quand on descend de Célony vers
l'entrée de l'autoroute. La voiture américaine sur le toit permet le rend repérable immédiatement.
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lundi 23 avril 2012
8eme foire du Roi René à Peyrolles
Les 14 et 156 avril 2012, Peyrolles a accueilli la 8eme foire du Roi René. Une fête médiévale réunissant marchands de produits alimentaires régionaux, de costumes moyenâgeux, et festivités faisant intervenir des groupes costumés pour assurer des animations médiévales.
jeudi 29 mars 2012
mardi 20 mars 2012
Bertrand Cantat, de retour en 2013
Il y a ceux qu'il indispose, qui trouvent indécent qu'il l'ouvre encore. Il y a peu, Marianne s'interrogeait en titrant : "Cantat peut-il revenir ?" "Huit ans après la tragédie de Vilnius, ses apparitions suscitent toujours autant de malaise que de fascination." Et puis il y a les autres. Qui trouvent que sa voix a encore quelque chose à dire - cf "Aucun Express", ou qu'il a retrouvé la forme, en multipliant les participations tous azimuts, avec Eiffel, Shaka Ponk, Wajdi Mouawad et dernièrement avec Amadou & Mariam.
Et voilà qu'il sort du bois, avec un album prévu pour 2013, après des mois de gestation, révèle Libération, dimanche 18 mars. Le site du quotidien écrit que le chanteur va " signer son premier album en son nom depuis la séparation de son groupe Noir Désir ". Le disque devrait sortir chez Barclay, label d'Universal Musique.
Bertrant Cantat "travaille avec Pascal Humbert, bassiste mais aussi multi-instrumentiste et compositeur. Le Français a joué avec Passion Fodder, le groupe parisien de Théo Hakola, entre 1985 et 1992, avant de traverser l'Atlantique et de rejoindre 16 Horsepower, groupe folk-rock américain de grande qualité", écrit Libé. En 1998, Noir Désir avait collaboré avec 16 Horsepower sur une reprise de "Fire Spirit" de The Gun Club et de "The Partisan", de Leonard Cohen. Dans Sud-Ouest Dimanche, le chanteur indique : "désormais, je me sens, sur mes projets en cours, me rapprocher artistiquement de ce que je suis".
Pierre Bouvier Le Monde.fr | 18.03.2012
Et voilà qu'il sort du bois, avec un album prévu pour 2013, après des mois de gestation, révèle Libération, dimanche 18 mars. Le site du quotidien écrit que le chanteur va " signer son premier album en son nom depuis la séparation de son groupe Noir Désir ". Le disque devrait sortir chez Barclay, label d'Universal Musique.
Bertrant Cantat "travaille avec Pascal Humbert, bassiste mais aussi multi-instrumentiste et compositeur. Le Français a joué avec Passion Fodder, le groupe parisien de Théo Hakola, entre 1985 et 1992, avant de traverser l'Atlantique et de rejoindre 16 Horsepower, groupe folk-rock américain de grande qualité", écrit Libé. En 1998, Noir Désir avait collaboré avec 16 Horsepower sur une reprise de "Fire Spirit" de The Gun Club et de "The Partisan", de Leonard Cohen. Dans Sud-Ouest Dimanche, le chanteur indique : "désormais, je me sens, sur mes projets en cours, me rapprocher artistiquement de ce que je suis".
Pierre Bouvier Le Monde.fr | 18.03.2012
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dimanche 18 mars 2012
Lisa Portelli... Avec le temps
Ce vendredi soir, Lisa Portelli se produit en première partie de Paul Personne à l'Espace Julien. J'arrive avec un à priori favorable. La chanteuse a été nominée pour Prix Constantin en 2011. Une référence pour les jeunes artistes.
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lundi 5 mars 2012
lundi 6 février 2012
Jefferson Airplane: comin' back to me (Reviens moi)
Comin' back to me
The summer had inhaled and held its breath too long
The winter looked the same, as if it had never gone,
And through an open window where no curtain hung,
I saw you, I saw you, coming back to me
One begins to read between
The pages of a look
The sound of sleepy music,
And suddenly, you're hooked
Through the rain upon the trees,
That kisses on the run
You can't stay and live my way
Scatter my love like leaves in the wind
You always say you want to go away
But I know what it always has been, it always has been
A transparent dream
Beneath an occasional sigh
Most of the time,
I just let it go by
Now I wish it hadn't begun
I saw you, I saw you,
Coming back to me
Strolling the hill,
Overlooking the shore,
I realize I've been here before
The shadow in the mist
Could have been anyone--
I saw you, I saw you,
Coming back to me
Small things like reasons
Are put in a jar
Whatever happened to wishes,
Wished on a star?
Was it just something
That I made up for fun?
I saw you, I saw you,
Coming back to me
-----------------------
Reviens moi
L'été avait inspiré et retenu son souffle trop longtemps
L'hiver fait de même, comme s'il n'était jamais parti,
Et à travers une fenêtre ouverte, où aucun rideau n'était accroché,
Je vous voyais, je te voyais, me revenir
On commence à lire entre les lignes d'un regard
Au son de cette musique douce, et soudain, tu es séduite.
A travers la pluie, sous les arbres qui embrassaient la course
Je te voyais, je te voyais me revenir.
Tu ne peut rester et vivre avec moi
Eparpiller mon amour comme des feuilles dans le vent
Tu dis toujours que tu veux t'en aller
Mais je sais ce qu'il en a été, Il en a toujours été ainsi
Un rêve transparent sous un soupir unique...
La plupart du temps, je le laisse juste passer.
Maintenant j'aurais voulu que cela n'arrive pas
Je te voyais, je te voyais me revenir.
Flânant sur les collines qui dominent le large
Je réalise que je suis déjà venu
L'ombre dans la brume, aurait pu être n'importe qui
Je te voyais, je te voyais me revenir.
De petites choses comme les raisons sont enfermées dans un bocal
Qu'est-il arrivé aux voeux, implorés aux étoiles ?
Etait-ce juste quelque chose évoqué en plaisantant ?
Je te voyais, je te voyais me revenir.
The summer had inhaled and held its breath too long
The winter looked the same, as if it had never gone,
And through an open window where no curtain hung,
I saw you, I saw you, coming back to me
One begins to read between
The pages of a look
The sound of sleepy music,
And suddenly, you're hooked
Through the rain upon the trees,
That kisses on the run
I saw you, I saw you,
Coming back to me You can't stay and live my way
Scatter my love like leaves in the wind
You always say you want to go away
But I know what it always has been, it always has been
A transparent dream
Beneath an occasional sigh
Most of the time,
I just let it go by
Now I wish it hadn't begun
I saw you, I saw you,
Coming back to me
Strolling the hill,
Overlooking the shore,
I realize I've been here before
The shadow in the mist
Could have been anyone--
I saw you, I saw you,
Coming back to me
Small things like reasons
Are put in a jar
Whatever happened to wishes,
Wished on a star?
Was it just something
That I made up for fun?
I saw you, I saw you,
Coming back to me
-----------------------
Reviens moi
L'été avait inspiré et retenu son souffle trop longtemps
L'hiver fait de même, comme s'il n'était jamais parti,
Et à travers une fenêtre ouverte, où aucun rideau n'était accroché,
Je vous voyais, je te voyais, me revenir
On commence à lire entre les lignes d'un regard
Au son de cette musique douce, et soudain, tu es séduite.
A travers la pluie, sous les arbres qui embrassaient la course
Je te voyais, je te voyais me revenir.
Tu ne peut rester et vivre avec moi
Eparpiller mon amour comme des feuilles dans le vent
Tu dis toujours que tu veux t'en aller
Mais je sais ce qu'il en a été, Il en a toujours été ainsi
Un rêve transparent sous un soupir unique...
La plupart du temps, je le laisse juste passer.
Maintenant j'aurais voulu que cela n'arrive pas
Je te voyais, je te voyais me revenir.
Flânant sur les collines qui dominent le large
Je réalise que je suis déjà venu
L'ombre dans la brume, aurait pu être n'importe qui
Je te voyais, je te voyais me revenir.
De petites choses comme les raisons sont enfermées dans un bocal
Qu'est-il arrivé aux voeux, implorés aux étoiles ?
Etait-ce juste quelque chose évoqué en plaisantant ?
Je te voyais, je te voyais me revenir.
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dimanche 5 février 2012
Jonathan Wilson revisite Laurel Canyon
Jonathan Wilson |
Le mythique quartier de Los Angeles, Laurel Canyon, fut l'épicentre de la révolution rock de la fin des années 1960. Jonathan Wilson lui rend hommage .
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samedi 4 février 2012
Motards ! les 24 et 25 mars 2012 luttons tous ensemble !
Contrôle technique bidon, dispositif rétro-réfléchissant, les mesures inutiles mais contraignantes s'accumulent sur le dos des motards, des scooteristes...
Nous, conducteurs de deux roues motorisés nous nous devons de réagir, ne pas nous laisser conduire comme des bœufs à l'abattoir .
Alors manifestons tous ensemble
les 24 et 25 mars prochains
à l'appel de
la Fédération Française des Motards en Colère.
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Un nouvel équipement contesté par les motards (Le Monde)
Comment les conducteurs de deux-roues motorisés doivent-ils être équipés ? Cette question oppose vivement les motards à la Sécurité routière. Actuellement, ils doivent seulement avoir un casque aux normes. Mais à partir du 1er janvier 2013, conducteurs et passagers de cylindrées de plus de 125 cm3 devront porter un "équipement rétroréfléchissant de 150 cm2 ", faute de quoi ils seront passibles d'une amende de 68 euros et d'un retrait de 2 points de permis.
Photo Redjoe
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lundi 23 janvier 2012
dimanche 15 janvier 2012
mercredi 28 décembre 2011
DORIPLAY Pulse O'Malley's
Le groupe Doryplay se distingue au premier coup d'oeil par une chanteuse fort charmante. Lorsqu'ils se mettent aux instruments, je suis impatient de savoir si le sifflet est à la hauteur du look.
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