Au
départ de Tiuccia, nous montons vers le nord par la D81. Nous
longeons d’abord une côte de roches plates.
Après un cap dominé par la tour de Capigliolo, nous suivons une superbe plage jusqu’à un pont en travaux.
Nous traversons Sagone puis Cargèse. Les deux
villages sont noirs de monde. Voilà qui ne nous motive pas
spécialement pour, nous arrêter même si nous connaissons la
réputation de l’église grecque de Cargèse.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Carg%C3%A8se
.
Après un cap dominé par la tour de Capigliolo, nous suivons une superbe plage jusqu’à un pont en travaux.
Passé
le village, la route quitte le bord de mer pour rejoindre Piana par
le col San Martino. Quels paysages ! Je sais je me répète…
Mais quand même, j’adore ces reliefs, ces couleurs, trois mois après mon passage la beauté de la corse hante encore mes rêves. .Et encore, à ce moment là je n’avais encore rien vu !
Mais quand même, j’adore ces reliefs, ces couleurs, trois mois après mon passage la beauté de la corse hante encore mes rêves. .Et encore, à ce moment là je n’avais encore rien vu !
Le
village de Piana, n’est pas pris d’assaut par les touristes.
Nous
en profitons pour faire une pose café bienvenue. C’est un petit
village de moins de cinq cent habitants classé « Un des plus
beaux villages de France ».
Le
bâti est concentré sur le village de Piana et sur Vistale, son
Hameau. C’est d’ailleurs dans ce dernier que reposent les cendres
de la célèbre Danielle Casanova, résistante communiste déportée
et morte à Dachau en 1943.
Piana
est ramassé à flanc de colline. Dommage que la brume prédomine.
Elle nous empêche d’apprécier les falaises qui plongent dans la
Méditerranée
Quelques
kilomètres après, le spectacle commence.
Comme toujours au détour d’un virage, la beauté des rochers de granit rose et de porphyre nous saute aux yeux. Le long travail de l’érosion a donné un résultat spectaculaire.
La roche déchiquetée plonge de plusieurs
centaines de mètres dans la mer. Les formes sont étranges. Ce n’est
pas pour rien que les calanques de Piana sont inscrites au Patrimoine
Mondial depuis maintenant trente ans.
Comme toujours au détour d’un virage, la beauté des rochers de granit rose et de porphyre nous saute aux yeux. Le long travail de l’érosion a donné un résultat spectaculaire.
Nous
descendons sur Porto.
Après avoir subit la chaleur lourde, çà fait du bien de rouler sous les arbres. Le golfe de Porto se dévoile à nous. Un petit port et une belle plage de galets séparés par une colline que domine une tour génoise carrée constituent l’essentiel de Porto Marina.
Le contraste entre les couleurs chaleureuses des roches de la côte et le bleu profond et froid de la mer est toujours saisissant.
Après avoir subit la chaleur lourde, çà fait du bien de rouler sous les arbres. Le golfe de Porto se dévoile à nous. Un petit port et une belle plage de galets séparés par une colline que domine une tour génoise carrée constituent l’essentiel de Porto Marina.
Le contraste entre les couleurs chaleureuses des roches de la côte et le bleu profond et froid de la mer est toujours saisissant.
A
porto, je gare la moto sur un parking dédié et, pour une foi bien
placé face au front de mer. C’est l’heure de la pose déjeuner.
Il n’y a pas énormément de monde. En tout cas moins que les
encombrements au niveau des Calanches ne le laissaient entendre.
Nous
repartons en direction de d’Evisa par la D84. Ce sont d’abord les
gorges de la Spelunca qui s’offrent à nous. Je vais me calmer avec
les superlatifs et laisser les lecteurs apprécier les photos. Il y a
des moments où les mots ne suffisent plus.
Mais je trouve la route un poil étroite ou les bus qui l'empruntent un poil grands...
En arrivant à Evisa, l’orage qui menaçait depuis un moment se déclenche. Une fois de plus c’est bien d’amener les affaires de pluie mais les laisser à l’hôtel est peu efficace pour nous protéger. Au lieu de monter jusqu’au col de Vergio, nous obliquons en direction de Vico par la D70. Du coup je suis bien plus concentré sur mon pilotage que sur le paysage. La route est assez glissante.
En arrivant à Evisa, l’orage qui menaçait depuis un moment se déclenche. Une fois de plus c’est bien d’amener les affaires de pluie mais les laisser à l’hôtel est peu efficace pour nous protéger. Au lieu de monter jusqu’au col de Vergio, nous obliquons en direction de Vico par la D70. Du coup je suis bien plus concentré sur mon pilotage que sur le paysage. La route est assez glissante.
Passé
le col de Sevi, la pluie se calme et nous descendons tranquillement
jusqu’au Col Saint Antoine avant d’arriver à Vico.
Nous
faisons une petite pose dans un bar. Je sais que ce n’est pas bien
(oh le vilain !) d’écouter les conversations, mais je faillis
avaler ma boisson de travers lorsque j’ai entendu une dame, d’un
certain âge, se venter s’avoir vendu un sandwich de charcuterie
« corse » à des touristes. Heureusement que le café du
bar à un euro vingt était bien plus abordable. D’ailleurs bien
moins cher qu’en Provence où il est difficile de le trouver en
dessous de un euro soixante dix.
Merci pour ce beau paysage Shanny
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