Dana Fuchs - Bliss Avenue

 

Dana Fuchs a publié « Bliss Avenue » en 2013. Les chansons de l’album ont été co-écrites par Dana et son guitariste, Jon Diamond. Ils se sont appuyés sur Shawn Pelton à la batterie, Jack Daley à la basse, Glenn Patscha aux claviers ainsi que Nicki Richards et Tabitha Fair aux chœurs.

Dana Fuchs met toute son âme dans chaque mot qu’elle chante et chaque histoire qu’elle raconte. Sur cet album la chanteuse a ouvert son coeur et son âme à son public. Elle donne à l’auditeur (trice) l’impression de l’accompagner dans ses périples personnels, ses ressentis, qu’elle décrit avec les couleurs de sa palette musicale.

Joanne Shaw Taylor – My hearts got a mind of it’s own (Mon cœur a un esprit bien à lui)

Cette chanson est extraite de Wild, le sixième album de Joanne Shaw Taylor publié en 2016.

Cette chanson le confirme : un boogie çà aide à résoudre les dilemmes entre la tête et le corps !





 

Gary Moore - Wasn’t Born In Chicago (Pas né à Chicago)

 


Une chanson de Gary Moore extraite d’album “Scars” publié en 2002.
Il s’agit d’un hommage à ceux qui lui ont inoculé le blues, vu comme un virus. Le tout sur un rythme très rock 




 

Joe Bonamassa - I’ve Got Some Mind Over What Matters (J’ai l’esprit à ce qui est important)

Cette chanson est extraite l’album « Redemption » de Joe Bonamassa.

Une chanson qui aborde le thème central de cet album : la rédemption sur un air de rythm’n’blues puissant.




 

Allison père et fils, - Serious, le blues en héritage

Serious est la chanson phare de l’album éponyme de Luther Allison sorti en 1987 chez « Blind Pig ». Le fait que l’auteur soit installé en Europe, à l’époque, a permis à des musiciens comme Jacques Higelin de participer à l’enregistrement.

Magistralement interprétée par son auteur, ce morceau d’anthologie sera repris par de nombreux musiciens.

Son dernier fils, Bernard Allison, est le seul qui, à ma connaissance, ait repris le flambeau musical l’a enregistré sur un album, Chills & Thrills , en 2007. Soit 20 ans après. (Et dix ans après la mort de Luther)

Quand on écoute les deux interprétations, on sent les influences des grands maîtres Chicago Blues ainsi que celle de la musique européenne sur Luther Allison.

Quant à l’interprétation de Bernard, si le père et son style sont présents à mains égards, celle du blues texan de Johnny Winter et de Stevie Ray Vaughan se fait sentir.

C’est ce brassage culturel et l’appropriation que chacun en fait qui nous fait tous grandir.

Rory Gallagher : Wave Myself Goodbye (me dire au revoir)

Cette chanson, écrite par Rory Gallagher a été publiée en 1971 sur son premier album éponyme : « Rory Gallagher »

C’est un blues interprété, le plus souvent à la guitare acoustique par l’artiste. Le thème abordé est classique : la déprime qui suit la déception amoureuse.

Ella Fitzgerald - A-Tisket, A-Tasket,

Enregistré et sorti en 1938, A-tisket, A-tasket est le premier succès commercial de la chanteuse. Elle a alors 21 ans, et se produit sur scène avec l’orchestre du batteur Chick Webb.
Cette chanson est la reprise d’un thème musical populaire, une berceuse que tous les enfants américains connaissent bien et que Ella Fitzgerald chantonne en voiture, pendant sa première tournée. 

Le compositeur Al Feldman (plus tard connu sous le nom de Van Alexander), lui suggère alors de réarranger ce thème pour la scène. Ensemble, ils ont transformé la comptine en une chanson de jazz qui rencontrera un grand succès et deviendra l’une des chansons phares d’Ella.



 

Chris Rea - Going Up To Memphis (Aller à Memphis)

Cette chanson est extraite de l’album « Blue Guitars » (CD 02 Country blues) de Chris Rea publié en 2005.

Led Zeppelin - Immigrant Song (chansont de l’immigrant)

 

Cette chanson, publiée sur l’album Led Zeppelin III en 1970, reste l’un des porte drapeaux de ce groupe de légende. Ce n’est pas pour rien si elle est l’unique « single » de cet album. C’est au cours d’un séjour en Islande, où il s’est produit à Reykjavik, que Led Zeppeli a puisé l’inspiration d’un texte brutal et percutant. a la mode « Viking »



 

Charlie Patton : A Spoonful Blues (Blues de la cuillère)

 


Charlie Patton né dans le Mississippi, avril 1891 était un interprète expérimenté de chansons avant l’âge de vingt ans et a été enregistré pour la première fois (Thankfully) en 1929. Son influence est partout et fut sans doute le premier des grands. Une influence sur Son House, Tommy Johnson, Bukka White et sans doute Howlin’ Wolf. Nous devons remercier les archivistes, comme Harry Smith, que nous pouvons entendre ces chansons inimitables aujourd’hui.

Beth Hart - I Need a Hero (J’ai besoin d’un héros)

Une jolie balade écrite par Beth Hart publiée sur son album « War in my mind » (2019)

On retrouve l’artiste en femme fragile qui a besoin d’être protégée bien qu’elle ait vaincu nombre de péripéties dans sa vie

Samantha Fish - Today’s My Day (Aujourd’hui, c’est mon jour.)

Cette chanson est extraite du premier album de Samantha Fish, « Runaway » , publié en 2011.

Ecrite par Samantha Fish, c’est un blues de structure classique abordant, le thème, lui aussi habituel, de la notion du jour de chance raté.
Chance que l’on tentera à nouveau plus tard. Le tout est joliment construit et habillé d’un bel accompagnement à la guitare.




 

Susan Tedeschi - « Ain’t Nobody’s Business »

Le titre original de cette chanson est « Tain’t Nobody’s Biz-ness if I Do ». Elle a été n 1922 par Porter Grainger et Everett Robbins. Elle est devenue l’un des premiers standards du blues. Elle a été enregistrée pour la première fois en 1922 par Anna Meyers, accompagnée par es Original Memphis Five.


Des enregistrements d’autres chanteuses de blues classiques, dont Sara Martin, Alberta Hunter et Bessie Smith, suivirent bientôt Avec des variations dans les paroles selon les interprètes.


En 1947, la chanson fut reprise par le chanteur de jump blues Jimmy Witherspoon sous le titre « Ain’t Nobody’s Business ». En 2011, l’interprétation de Witherspoon a été intronisée au Blues Foundation Hall of Fame en tant que « Classic of Blues Recording ».


Susan Tedeschi l’a publiée sur son premier album, Better Days, en 1995.

Thin Lizzy : Don’t Believe A Word (n’en crois pas un mot)

J’ai découvert le groupe et ce morceau en regardant l’émission Chorus sur Antenne 2 (à l’époque). Pour mémoire elle était animée par Antoine Decaunes alors tout jeune critique rock. Je l’avais enregistré avec une autre (The rocker) sur mon magnéto à cassette et me les passait en boucle.

Elle a été tournée pour la promotion de l’album « Live and Dangerous » publié par Thin Lizzy en 1978. Il rassemble les meilleurs morceaux de la tournée éponyme de 1977.

La version originale a été publiée sur l’album "Johnny the fox, publié en 1976.

Gary Moore, qui avait été un guitariste éphémère du groupe,rentrant le temps d’une tournée ou d’un album et le quittant rapidement pour des projets personnels a été marqué par cette période. Il a repris cette chanson pour rendre hommage à son ami Phil Linnot, décédé en 1986, avec le talent que nous lui connaissons.

Joe Bonamassa - Redemption

Cette chanson est extraite l’album « Redeption » de Joe Bonamassa.

Co-écrite par Joe Bonamassa, Dion DiMucci, James House, Richard Page et Kevin Shirley, cette chanson est une ballade puissante Elle est à la hauteur du titre, dramatique et accrocheur. 


 

Joanne Shaw Taylor – I’m in chains (Je suis enchaînée)

Cette chanson est extraite de Wild, le sixième album de Joanne shaw taylor publié en 2016
Encore un rock... Déchaîné !




 

Melody Gardot - Baby I’m a Fool (Chéri, je suis une imbécile)

 



Cette chanson, coécrite par Melody Gardot a été publiée sur l’album « My One and Only Thrill », en 2009.

Une ballade dans un style vocal jazz très classique qui nous ramène aux années cinquante.


 

Chris Rea - Steam Train Blues ( Blues du train à vapeur)

Cette chanson est extraite de l’album « Blue Guitars » (CD 02 Country blues) de Chris Rea publié en 2005.

Une chanson basée sur une mélodie country qui garde une structure d’écriture des parole très blues



 

Rory Gallagher - Off The Handle (Hors de moi)

Cette chanson, écrite par Rory Gallagher a été publiée d’abord sur son huitième album, "Top Priority" en 1979.

L’enregistrement a été fait en "power trio" :
 Rory Gallagher : chant, guitare, harmonica, dulcimer et sitar électrique
 Gerry McAvoy : Basse
 Ted McKenna : Batterie

C’est un blues hargneux et désespéré dans lequel le guitariste déploie tout son talent de musicien. Un bijou qui traverse le temps.
Elle est aussi incluse dans une compilation parue après son décès A Blue Day for the Blues (1995) , ainsi que divers album « live » : Live at Cork Opera House, Live at Montreux, Disk 2 (1994), Live at Montreux, Notes from San Francisco (Live)

 

Susan Tedeschi - « I Don’t Want Nobody » ( Bobby « Blue » Bland) (Je ne veux personne)

Une chanson écrite par Don Robey et publiée pour la première fois par le Bobby « Blue » Bland sous le titre “I Don’t Want No Woman” en 1957 et adaptée par Susan Tedeschi sur son premier album Better Days, publié en 1995.

Il existe une quinzaine d’adaptations de cette chanson dont celle de Bernie Marsden sur son album “Green and Blues” (1995) et celle du duo Johnny Winter et Eric Clapton en 2014 sur l’album “Step Back”