skip to main
|
skip to sidebar
Cette chanson, écrite par Rory Gallagher a été publiée en 1976 sur son huitième album « Calling Card ».
Elle apparaitra, par la suite sur plusieurs live et compilations : « Stage Struck », « Meeting with the G-Man », « Live At Rockpalast », « Loreley (1982) », « Live at Montreux, Disk 2 (1994) », « The Essential, Disc 1 », « Crest of a Wave : The Best of Rory Gallagher, Disk 2 »
Cette chanson est extraite de l’album Carry Fire publié en 2017 par Robert Plant, avec son groupe « The Sensational Space Shifters ».
Une jolie ballade romantique, toute en finesse, écrite par Plant, Adams, Baggott, Fuller, Tyson
Cette chanson est extraite de Wild, le sixième album de Joanne Shaw Taylor publié en 2016.
L’un des titres phares de cet album prend la forme d’un rock appuyé et entraînant
Cette chanson est extraite de l’album « Blue Guitars » (CD 02 Country blues) de Chris Rea publié en 2005.
Cette chanson est restée dans la set list de ses
concert depuis lors. Il y a de quoi c’est un blues de facture classique,
où la douceur trompeuse de la mélodie prend à contre pied l’ambiance
lourde du texte eti a tendance à poursuivre les auditeurs longtemps
après son écoute
Cette chanson écrite par Meklit et Dan Wilson est extraite de l’album « When the People Move, the Music Moves Too » (2017) de Meklit. une chanteuse et compositrice éthiopienne-américaine.
La musique de Meklit est empreinte de poésie et de
multiplicité, des sons hybrides de Tizita (musique obsédante et
nostalgique) puisant dans son héritage éthiopien, au jazz, au folk, au
hip-hop et à l’art rock. Elle décrit avec justesse sa musique comme
émanant de « l’entre-deux-espaces ».
L’écoute de Meklit nous transporte dans un espace qui joindrait
l’Afrique et l’Amérique, nous inscitant à franchir les frontières entre
langues, tribus et disciplines. Sa musique se situe sur la ligne du
trait d’union, née aussi bien de San Francisco que d’Addis-Abeba.
Un blues, un vrai Monsieur Buddy Guy , sa voix et sa guitare pour commencer. LA chanson monte graduellement en intensité jusqu’à l’explosion finale. Superbe extrait de Born to play guitar publié en 2015
Dans cette chanson, Beth Hart retrouve la verve et le punch que l’on aime chez elle.
Elle est publiée sur l’album « War in my mind » (2019)
Voilà un titre phare des Stones extrait de l’album "Let it bleed" paru en 1969.
En parlant de l’enregistrement de l’album, Jagger a déclaré en 1995 : « Eh
bien, c’est une époque très dure, très violente. La guerre du Viet-nam.
Violence sur les écrans, pillage et incendies. Et le Viet-nam n’était
pas la guerre au sens conventionnel du terme... » Il conclut sur la chanson elle-même : « C’est une sorte de chanson de fin du monde, vraiment. C’est l’apocalypse ; tout le disque est comme ça »
Les paroles de la chanson évoquent la recherche d’un
abri face à la tempête à venir, dépeignant des images de dévastation et
d’apocalypse sociale, mais insistant également sur le pouvoir de
l’amour.
Cette chanson est extraite du premier album de Samantha Fish, « Runaway » , publié en 2011.
Un blues lancinant au texte poétique et imagé où le marais pourrait être celui de l’indécision
Cette chanson est extraite de l’album Carry Fire publié en 2017 par Robert Plant, avec son groupe « The Sensational Space Shifters »
Elle évoque le génocide contre les Amérindiens,
Cette chanson coécrite par Joe Bonamassa et James House est extraite l’album « Redeption » de Joe Bonamassa.
Une chanson s’apparente à un exercice d’écriture de
chanson. elle traite des dégâts de l’alcool. quand après une cuite il ne
reste plus qu’à ramasser les morceaux et partir.
Cette chanson est extraite de Wild, le sixième album de Joanne shaw taylor publié en 2016
Cette chanson a été écrite sur la base d’un rock
anglais classique mais entraînant. La guitare de l’artiste fait
merveille. Une fois de plus.
I’m a Fool to Want You (Je suis fou de te vouloir, en
anglais) est un standard de jazz américain de 1951, co-écrit et composé
par le crooner Frank Sinatra,
Jack Wolf, et Joel Herron. Dédié à son histoire d’amour enflammée et
destructrice avec l’actrice Ava Gardner, il l’enregistre en single le
27 mars 1951 à New York chez Columbia Records avec un orchestre
symphonique
Ce standard est réédité de nombreuses fois, et repris à de nombreuses
reprises par de nombreuses stars de la chanson, dont en particulier Billie Holiday Le titre ouvre l’album « Lady In Satin »
(1958), et donne tout de suite le ton. Aidée d’un océan de cordes, la
chanteuse livre une déclaration d’amour désespérée qui garde, presque
soixante ans plus tard, une élégance intemporelle.
Nombreux sont les artistes qui s’y sont essayés par la suite : Peggy Lee, Chet Baker,
Tony Bennett, Dexter Gordon, Dee Dee Bridgewater, Sammy Davis, Jr.,
Viktor Lazlo, Oscar Peterson, Bob Dylan (Shadows in the Night 2015)…
Cette chanson est extraite de l’album « Fandango ! », quatrième album du groupe de blues rock américain ZZ Top, sorti en 1975.
Qui n’a pas été transporté par la musique qui illustre cette chanson ? Toute la poésie est dans les sentiments exprimés et la musique enlève et relève en un ensemble superbe.
« La poésie est une clameur. Elle doit être entendue comme la musique. » Léo Ferré (Préface)
Quand il a écrit , « Vous devez souffrir si vous voulez chanter le blues, »
le bluesman David Bromberg parlait ironiquement de la nécessité
apparente d’avoir une longue, et de préférence triste, expérience de la
vie pour pouvoir jouer du blues . Toutefois, si vous êtes âgée de 22
ans, vivez dans le Midwest, pouvez-vous vraiment chanter le blues ?
La réponse est oui , surtout quand votre maîtrise technique vous porte. Samantha Fish
le démontre magnifiquement dans ce premier album solo. Certains la
comparent à Alvin Lee de Ten Years After , alors que d’autres la placent
dans le panthéon des guitaristes féminins contemporaines , y compris
Ana Popovic . Mais elle n’est pas un simple clone , Samantha Fish est
aussi inventive dans son jeu musical.
« It Hurts Me Too »
est un standard du blues parmi les plus interprétés. Enregistrée pour
la première fois en 1940 par le musicien de blues américain Tampa Red,
cette chanson est un blues mid-tempo en huit mesures avec guitare slide.
Elle emprunte une partie de sa mélodie et de ses textes à des chansons
de blues antérieures et a été enregistrée par de nombreux artistes de
blues depuis.
« I Drink Alone » est une chanson rock de George Thorogood and the Destroyers.
Elle a été été extraite en single de l’album Maverick en 1985.
Cette chanson ouvre de l’album Carry Fire publié en 2017 par Robert Plant, avec son groupe « The Sensational Space Shifters ». Elle a été écrite par les membres du groupe (Robert Plant, Justin Adams, John Baggott, Billy Fuller, Liam Tyson).
C’est une balade romantique aux accents folk qui
fleure bon la seconde partie des sixties animée La mélodie est amenée au
son du oud qui lui confère une ambiance nord africaine.