Les 10 ans du Hellfest, l’an dernier, s’étaient déroulés sous un soleil exceptionnel, ce qui n’est, hélas, pas le cas de l’édition 2016, où les éclaircies se font rares à Clisson (Loire-Atlantique). Et les têtes d’affiche, samedi 18 juin au soir, n’ont pas eu notre préférence, à l’instar du metal symphonique particulièrement irritant des Néérlandais de Within Temptation ou du hard rock à papa maquillé des Twisted Sister. Qu’importe, les propositions sur les quatre scènes parallèles ne manquent pas pour les amateurs de sensation fortes. D’ailleurs, une descente en tyrolienne reliée à l’extrémité des deux immenses scènes principales propose aux âmes courageuses de prendre de la hauteur en plein concert. Frisson garanti. Certaines têtes brûlées s’y risquent à faire un selfie. Vendredi, l’attraction initialement prévue lors du concert des kaisers Rammstein avait finalement été annulée, leur spectacle ne lésinant par sur les explosions.
Le saxophoniste Raphaël Imbert a exploré les collections du Mucem pour en resortir quelques petits trésors
C'est un objet insolite qui donne son nom à l'exposition "Accordé O Jazz" aux Archives départementales. Mis en valeur par des projecteurs, ce drôle d'instrument du début du siècle dernier se résume à une grosse caisse et des cymbales actionnées par un mécanisme ingénieux destiné à produire du son. Il a été sorti des collections du Mucem à l'approche de la 17e édition du Marseille Jazz des Cinq Continents, comme une bonne centaine d'objets rappelant les chemins complexes empruntés par la musique jazz.
Riche de ses incursions dans différents univers littéraires mais toujours habité par ses références pop rock anglaises, Romain Humeau, artiste régulièrement présenté comme l'un des héritiers de Bertrand Cantat, viendra prouver combien son univers est singulier avec un album solo et plusieurs dates françaises fin 2016.
John Paul Jones, Robert Plant et Jimmy Page en 2012
Un jury de Los Angeles a estimé jeudi que la célèbre chanson de Led Zeppelin, "Stairway to Heaven", ne copiait pas un morceau instrumental du groupe californien Spirit.
« Franchement, le public du Hellfest sait se tenir… 150 000 visiteurs, pas de violence ni de présence de hooligans. Rien à voir avec l’Euro 2016 », lance Mouss Kelai, le chanteur de Mass Hysteria, au public de la principale scène du Hellfest. Dans l’enceinte dédiée au heavy metal et à ses musiques dérivées, les débordements sont rarissimes. Malgré le temps capricieux qui s’est abattu vendredi 17 juin sur le site de Clisson (Loire-Atlantique), le Hellfest conserve sa réputation de grande fête bruyante où règne une ambiance bon enfant.
Depuis une semaine le groupe Led Zeppelin est devant la justice pour décider si leur titre culte "Stairway to Heaven", est un plagiat d'un morceau du groupe Spirit. Le chanteur Robert Plant a donné ce mardi devant un tribunal de Los Angeles sa version de la genèse du légendaire morceau, inventé avec le guitariste Jimmy Page, dans un studio en Angleterre.
Sains et posés. Ce sont les mots qui viennent à l’esprit pour évoquer les frères Duplantier, fondateurs du groupe Gojira. Des mots qui s’accordent pourtant mal avec la musique dont ils sont devenus les ambassadeurs en France, le death metal, une des franges extrêmes du hard rock. Vingt ans après leurs débuts et six albums plus tard – dont le dernier, Magma, paraît vendredi 17 juin –, le quatuor, originaire des Landes, est l’une des rares formations metal ou rock hexagonales à connaître un succès international. Les quatre ferrailleurs emmenés par Joe (39 ans, guitare, voix) et Mario Duplantier (34 ans, batterie) se produisent dans les plus grands festivals metal du monde, lorsqu’ils ne tournent pas avec les géants Metallica et Slayer. Le magazine américain Metal Hammer, bible du rock tendance lourde, les a récemment désignés groupe de metal le plus important au monde. Mais Gojira garde la tête froide.
L'auteur-interprète de l'album Monsanto Years a livré jeudi soir un show certifié sans OGM. Combo piano-harmonica, voire orgue sur les classiques tels Heart of gold ou After the gold rush ont saisi le public du Dôme de Marseille conquis et rappellent les belles heures du " Loner ".
Fela est libre! Ce 24 avril 1986, la rumeur se répand à la vitesse du son dans les rues de Lagos. Le plus illustre des Nigérians, artiste tumultueux et roi de l’afrobeat, pourfendeur hors pair de la « cleptocratie », vient de passer 20 mois dans les geôles du pouvoir militaire. Une mise sous écrou qui « fait partie de la vie à laquelle j’étais destiné », dira à sa sortie le chantre de l’unité africaine. Le destin d’une idole qui a fait vibrer les peuples à l’unisson.
VIDÉOS - Accusés de plagiat, Jimmy Page et Robert Plant, guitariste et chanteur du légendaire groupe de rock anglais vont comparaître mardi 14 juin devant un tribunal de Los Angeles pour défendre leur chanson.
Le saxophoniste américain de funk music va donner un concert événement lors de la 17ème édition du festival de Marie-Galante où se produira également Bunny Wailer, légende vivante du reggae jamaïcain.
La mort d’un ami et le retour de l’amour ont donné un tour nouveau à la vie du chanteur brestois. Et à ses envies « de terrain », de petites salles chaleureuses.
Cette chanson écrite par Paul Marshall et Paul Williams, Sa première publication date de 1960 par Otis Rush (Chess), Un musicien né dans le Missippi et "monté à Chicago" dans les années cinquante.Son style de jeu agressif inspirera des bluesmen de la génération suivante comme Freddie King ou Luther Allison. si le grand Otis a eu peu de succès, certaines de ses chanson ont su rencontrer leur public reprises par d'autres musiciens.
Eric Clapton est toujours là ! A 71 ans il vient de sortir "I Still Do". Ce 23e album studio, "Slowhand", revisite des classiques comme "Alabama Woman Blues" et nous offre deux chansons originales "Spiral" et "Catch The Blues". Un opus qui montre que Monsieur Clapton est toujours aussi inspiré. Et dire que certains envoyaient déjà Eric Clapton à la retraite ! On le disait fatigué et on pensait que ses quelques 26 millions d'albums vendus et ses 18 Grammy Awards lui suffisaient amplement.
Un peu de jazz au Printemps de Bourges, ça ne peut pas faire de mal !
Surtout quand l'invité en question est Ibrahim Maalouf avec un album
"Red&black light" taillé pour la scène.