Voilà un moment que
j'attendais ce moment : aller applaudir Beth Hart sur scène.
J'ai découvert cette chanteuse canadienne, un peu par hasard, il y a
quelques années en vadrouillant sur un site de streaming vidéo. Elle
chantait un classique du blues accompagnée par Slash à la
guitare. De mon point de vue ce dernier assassinait « Wholelotta love » de Led Zeppelin. Par contre la chanteuse m'a époustouflé. Son charisme, sa voix,
son engagement dans l'interprétation de ce morceau mythique, tout
m'a incité à mieux la découvrir.
Bien sur j'ai parcouru les vidéos disponibles, découvrant la classe immense de Beth Hart. A ma grande surprise, elle n'était pas à ses début. Son premier
album date de 1996.
DISPARITION - Le chanteur et guitariste a été retrouvé mort à Zurich, dans le cadre d'une tournée qui était passée par la France lundi dernier. Il avait 70 ans.
Albinos, d'une finesse extrême, tatoué, les cheveux blonds et longs, Johnny Winter faisait sensation avant même de jouer une seule note. Une fois qu'il branchait sa guitare - une Gibson Firebird, qu'il fut un des seuls guitar heroes à arborer - et se mettait à chanter, la stupéfaction était totale: ce Texan ne sonnait comme personne.
J'avais trouvé cet article sur le site du journal Libération avant d'apprendre la nouvelle du décès de Johnny Winter... Dans certaines de ses réponses, il ne croyait pas si bien dire... (NDW)
Le fougueux guitariste texan, présent ce lundi au Cahors Blues Festival, est à l’honneur d’une anthologie en 4 CD.
Quand Jack Torrance entre dans la chambre 237 de l’hôtel Overlook, dans Shining, il y voit une jeune femme qui devient, après un baiser, une vieille femme. Taper «Johnny Winter» dans Google Images propose la même expérience : du fougueux albinos de 1969 au papy au torse flasque couvert de tatouages, quarante-cinq ans de concerts, de solos et de hurlements se sont glissés sans prévenir, d’une photo l’autre. Un demi-siècle de blues et de rock à picorer dans une anthologie de quatre disques sortis en début d’année pour les 70 ans du bonhomme. Et dont on pourra aussi faire l’expérience in concreto, dans une forme de pèlerinage, ce lundi soir au Cahors Blues Festival, où le squelettique Winter se produit pour une unique date française. Un jour de frette pour le meilleur et pour le pire, selon la forme du moment.
I Put A Spell On You est une chanson de rhythm'n'blues de Screamin' Jay Hawkins, publiée en 1956 aux États-Unis par OKeh, un des labels de Columbia.
À l'origine, elle devait être une simple ballade. La version la plus plausible des circonstances de l'enregistrement est que Screamin' Jay Hawkins était ivre lors de la session, son producteur ayant délibérément apporté les alcools dans le studio.
Quelques jours plus tard, lorsque Screamin' Jay Hawkins écoute le résultat couché sur la bande, il est perplexe ! Il refuse d'abord de croire que c'est lui qui chante : « Je ne savais pas que je pouvais hurler, grogner ou gémir de la sorte... », confie-t-il.
Le disque est commercialisé et, le temps d'un microsillon, Screamin' Jay Hawkins devient, pour l'Amérique puritaine d'alors, l'« Ennemi National numéro 1 »… Dans un premier temps, cette chanson a dû être retirée du catalogue, sous la pression des groupes religieux et moralistes, relayés par les des radios et elle ne s'est jamais classée dans les hit-parades nationaux américains, y compris ceux de R'n'B.
Mais en parallèle, la jeunesse ne s'y trompe pas. Elle reconnaît dans ses grognements cannibales et paroxystiques les francs symptômes d'une sédition de bon aloi. Le disque se vend à plus d'un million d'exemplaires. Et I Put A Spell On You s'inscrit sans hésiter au rayon des hymnes incontournables du rock and roll.
ÉVÉNEMENT - Bettye LaVette est la tête d'affiche du festival Black Summer au Cabaret Sauvage. Elle célèbre aussi ses cinquante ans de carrière et s'est confiée à metronews.
Quand Joe bonamassa
a enregistre l'album éponyme, il devait être vraiment au fond du trou
moralement car de nombreuses chansons suivent le thème de la dépression. Mais
le syndrome dépressif exprimé par un tel artiste, soulève les tripes de l'auditeur le fait en vibrer à chaque
écoute.
Pour être précis cette chanson a été écrite par Bob Ezrin et Michael Kamen pour Tim Curry (l'acteur du "Rocky Horror Pictures Show"). elle est publiée sur l'album "Read My Lips" publié en 1978. (Merci à Bruno du Deblocnot qui m'a donné l'info dans son commentaire.
Joe Bonamassa est un
guitariste américain né en 1977 à New York aux Etats Unis.
Fils d'un marchand
d'instruments de musique, il apprend la guitare à partir de l'age de
quatre ans. A onze ans, il se produit en première partie de BB King.
Puis il assure pendant quelques années les premières parties de
grands musiciens comme, entre autres, Gary Moore, Robert Cray ou
Buddy Guy. Des références s'il en est.
Robert Plant et ses Sensational Space Shifters ont fait vibrer le public de Jazz à Vienne ce 1er juillet. Impossible de résister à la voix toujours puissante de l'ancien chanteur charismatique de Led Zeppelin. Le groupe qui mêle joyeusement toutes sortes d'influences a également revisité quelques classiques de Led Zeppelin. Il sillonne tout l'été la route des festivals européens.
Le Quintette de
cuivres de Marseille s'est produit le 19 juin dernier au parc de
Bagatelle à proximité de la Mairie des 6eme et 8eme arrondissements
de Marseille.
Connaissez vous Anna Farrow ? Il y a peu de chance.
J'ai rencontré cette jeune chanteuse, un soir, presque par hasard. J'avais été invité à prendre apéritif dans un hôtel aixois. Apéritif animé par une chanteuse.
Les intermittents du spectacle bénéficient-ils d'un régime « privilégié » d'indemnisation du chômage ? On connaît la rhétorique des contempteurs de ce régime : alors qu'ils ne représentent que 3,5 % des allocataires, les intermittents seraient responsables d'un quart du déficit de l'assurance-chômage.
Le hasard fait bien (ou mal) les choses. Car le déficit de 1 milliard d'euros attribué aux intermittents n'a à peu près rien à voir avec le déficit général de l'Unedic (prévu à 4 milliards en 2014). Comme l'a récemment rappelé la Cour des comptes, les intermittents, dont le déficit du régime est très stable, ne sont pour rien dans l'apparition de ce déficit qui s'explique uniquement par l'aggravation du chômage des salariés en CDI et en CDD. Attribuer un quart du déficit de l'Unedic aux intermittents est absurde : ce procédé purement rhétorique vise uniquement à désigner un bouc émissaire. Pour être juste, il faudrait ajouter qu'un quart du déficit ce n'est pas beaucoup : le budget d'une assurance est fait d'une multitude de déficits d'un côté et d'excédents de l'autre. Par exemple, en 2011, les salariés en CDD représentaient plus de 350 % de déficit de l'Unedic.
Dès lors, on ne peut parler de déficit du régime des intermittents que de manière métaphorique, car il n'existe pas de caisse des seuls intermittents (mais une caisse pour l'ensemble des salariés du privé). Et, dans ce cadre, il est logique que leurs cotisations et leurs allocations ne s'équivalent pas. A moins de revenir sur le principe même d'une assurance solidarisant l'ensemble du salariat à l'échelle interprofessionnelle, il est en effet difficile d'imaginer qu'il puisse en être autrement.
Le régime des intermittents représente-t-il malgré tout un « surcoût » par rapport au régime général ? C'est l'idée qui a émergé, après la publication en avril 2013 d'un rapport parlementaire rédigé par le député (PS) Jean-Patrick Gille. Si on supprimait le régime des intermittents, l'économie réalisée ne serait pas de 1 milliard mais seulement de 320 millions, dans la mesure où une partie des intermittents basculerait au régime général et continuerait de percevoir des allocations.
Depuis lors, le débat est focalisé sur cette somme de 320 millions de « surcoût » : certains en font le nécessaire, mais raisonnable, « prix de la culture ». D'autres (comme les auteurs d'un rapport sénatorial aux recommandations radicales paru en décembre 2013) en font un objectif d'économies à atteindre.
Le Medef, de son côté, s'est saisi de cette opportunité pour demander à l'Etat de financer ce surcoût au titre de sa politique culturelle. Mais ce surcoût existe-t-il vraiment ? On peut en douter. Les intermittents ne coûtent pas plus cher que les autres chômeurs : ces 3,5 % des effectifs indemnisés représentent 3,4 % des dépenses. La mesure du surcoût de 320 millions n'est que l'incarnation comptable de l'idée préconçue selon laquelle les intermittents seraient des privilégiés. Il ne s'agit ni plus ni moins que de quantifier ce « privilège » en se demandant à combien le « coût » des 100 000 intermittents s'élèverait si on les mettait au régime général.
Ce faisant, on confond adaptation du dispositif à l'intermittence de l'emploi et privilège. Pour s'en convaincre, il suffit de faire le raisonnement symétrique : que coûteraient 100 000 chômeurs du régime général si on les basculait dans le régime « privilégié » des annexes VIII et X ? 320 millions de plus ? Certainement pas !
Les plus précaires d'entre eux ne seraient plus du tout indemnisés dans la mesure où les règles d'éligibilité sont beaucoup plus strictes chez les intermittents (507 heures en dix ou dix mois et demi selon qu'ils sont techniciens ou artistes) que dans le régime général (610 heures en vingt-huit mois, soit quelques heures en plus à effectuer dans une période de référence plus de deux fois plus longue)
A l'autre bout de l'échelle, les chômeurs issus d'un CDI (ou d'un CDD long) seraient exclus au bout de huit mois, alors qu'ils peuvent bénéficier, dans le régime général, d'indemnités pendant une durée allant jusqu'à deux ans. Et on sait qu'à huit mois plus de la moitié des chômeurs n'ont pas encore retrouvé d'emploi.
Au final, ces chômeurs seraient donc bien moins lotis dans le régime des intermittents que dans le régime général. Pour une simple raison : le régime général est plus adapté à l'emploi stable, le régime des intermittents à l'emploi intermittent. Mais l'un n'est pas plus coûteux ou privilégié que l'autre. Et les 320 millions ne correspondent à rien d'autre qu'à la menace qu'on fait peser sur les intermittents lorsqu'on suggère de supprimer un régime adapté à leur forme d'emploi.
Article paru dans le Monde en date du 28 février 2014 Par Mathieu Grégoire (Maître de conférences en sociologie à l'université de Picardie-Jules-Verne)
War Pigs est une chanson antimilitariste créée par le groupe de heavy metal Black Sabbath à l'occasion de la sortie de leur album Paranoid le 18 septembre 1970. La chanson a été écrite et composée par Tony Iommi, Ozzy Osbourne, Geezer Butler, Bill Ward.
War Pigs
Generals gathered in their masses
Just like witches at black masses
Evil minds of blood destruction
Sorcerers of death construction
In the fields of bodies burning
As the War Machine keeps turning
Death and hatred to mankind
Poison in their brain-washed minds
Oh Lord ! ! ! Yeah ! ! !
Politicians hide themselves away
Their only starve is the war
Why don't they go out to fight
They leave that up to the poor
Time will tell on their power minds
Makin' war just for fun
Treating people just like pawns in chess
Waiting 'til Judgement Day comes
Now in darkness world stops turning
Ashes where the bodies burning
No more War Pigs have the power
Hand of God has struck the hour
Day of Judgement, God is calling
On the knees the War Pigs crawling
Begging mercy for their sins
Satan laughing spreads his wings
Oh Lord ! ! ! Yeah ! ! !
Porcs De La Guerre
Les generaux se rassemblent dans leurs réunions
Comme des sorcières à leurs messes noires
Esprits malsains de la destruction sanglante
Sorciers de la construction mortuaire
Dans les champs de corps brûlants
En même tant que tourne la machine de la guerre
Mort et haine envers l'humanité
Poison dans leur tête ayant subi un lavage de cerveau
Oh Seigneur ! ! ! Ouais ! ! !
Les politiciens se cachent loin
Ils sont assoiffés de guerre
Alors pourquoi ils n'y vont pas eux-mêmes
Ils prérèrent y envoyer les pauvres
Le temps le dira sur leurs esprits de puissance
Faisant la guerre juste pour s'amuser
Traitant les gens comme de la chair à canon
Ils attendent le jour de leur jugement
Dans les ténèbres maintenant le monde s'arrêtent de tourner
Les corps brûlants ne sont plus que des cendres
Plus aucuns Porcs de la guerre n'a le pouvoir
La main de dieu a arrété le temps
C'est le jour du jugement, Dieu appelle
Sur les genoux rampent les Porcs de la guerre
Demandant pardon pour leurs péchés
Satan ricanant étend ses ailes
Oh Seigneur ! ! ! Ouais ! ! !
Voici une version qui me plait bien car elle est interprétée par les deux chanteurs emblématiques de Black Sabbath. A savoir Ronnie James Dio (RIP) et Ozzy Osbourne.
La hargne de l'un et la folie de l'autre donnent une intensité particulière à cette vidéo.
Un seul regret, c'est qu'attendre la justice divine pour amener la paix sur terre risque de mettre à rude épreuve la patience de nombreuses générations. Alors agissons !
Ronnie James Dio and Ozzy Osbourne - War Pigs - Duet with original Black Sabbath
Comme j'aime bien les "covers" c'est à dire les reprises. Voici celle de Samantha Fish. A vous de me dire ce que vous en pensez.
Le guitariste anglais Jimmy Page. | DOMINIQUE TERLÉ
De la fosse aux derniers rangs du balcon, le public de l'Olympia, à Paris, se lève et acclame l'arrivée de Jimmy Page. « Thank you Olympia, merci… » Souriant, le guitariste, compositeur, producteur et âme de Led Zeppelin s'installe, le 21 mai, dans la soirée, sur la scène de la salle où, le 10 octobre 1969, le groupe avait donné un concert « de feu, communion entre les membres du groupe, le public, l'instant », comme il nous le confiait quelques heures plus tôt.
Jimmy Page est à l'Olympia pour présenter quelques extraits d'inédits qui accompagnent la réédition des albums studio de ce qui aura été, dans les années 1970, l'un des groupes de rock les plus célèbres au monde. Et qui, depuis sa séparation après la mort du batteur John Bonham (1948-1980), continue de faire référence.
Malgré leur succès croissant, mis en lumière par Jazz à Saint-Germain-des-Prés et Jazz'Hum'ah notamment, les femmes du jazz peinent à obtenir la reconnaissance qu’elles méritent. Interview avec Marie Buscatto, auteure de l’édifiant livre "Femmes du jazz"
Le bilan de l’édition 2014 de Jazz à Saint-Germain-des-Prés confirme, année après année, le succès des femmes artistes que ce festival s’attache à mettre à l’affiche : concerts à guichets fermés (ou quasiment) pour Tricia Evy, Kellylee Evans, Sofie Sörman, Youn Sun Nah, Eliane Elias, Natalia M. King… De même, les rencontres publiques programmées et animées par Helmie Bellini (voir vidéo ci-dessous), par ailleurs talentueuse chanteuse, ont pour la plupart rempli la salle mise à disposition dans le cadre d’un partenariat par le café Les éditeurs.
Nous avions observé un engouement similaire lors de l’édition 2013 de Jazz'Hum'ah à la Fête de l’Huma, pour les prestations scéniques d’Airelle Besson, Anne Paceo, Elise Caron, Laïka, Macha Gharibian, Géraldine Laurent…
Pourtant les « jazzwomen » de talent n’obtiennent pas autant de travail, ni la même médiatisation, que leurs homologues masculins. Marie Buscatto, chercheuse au CNRS et auteure du riche et captivant ouvrage « Femmes du jazz » (1), nous livre sa réflexion sur cette discrimination, surprenante en un secteur pourtant réputé comme ouvert d’esprit.
Ils pourraient être les petits-enfants de ceux dont ils assurent la première partie, vendredi 13 juin, au Stade de France, à Saint-Denis. Ni le lieu, complet de la pelouse aux hauteurs des gradins, ni la perspective d’ouvrir pour « Ladies and gentlemen… The Rolling Stones », n’a l’air d’intimider The Struts. Les quatre « gamins » débarquent sur la grande scène avec l’assurance de ceux qui ont sur leur page Facebook : « Nous sommes nés pour faire ça. Nous mourrons en le faisant. »
La fratrie des Ogres: Mathilde, Fred, Alice et Sam.La fratrie des Ogres: Mathilde, Fred, Alice et Sam. (Photo Pierre Wetzel)
Le groupe familial fête ses 20 ans et n’a rien perdu de son énergie. Il sillonne la France pour plus de 60 dates.
Vingt ans plus tard, les Ogres de Barback restent une affaire de familles. Au pluriel : dans la salle, ce soir-là, à l’Espace Michel-Berger (EMB) de Sannois, dans le Val-d’Oise, ils sont nombreux à être venus avec les petits, les vieux, voir cette fratrie : deux frères, Fred et Sam, deux sœurs, Alice et Mathilde, portant le nom de Burguière, qui officient, dans un univers de copains, de collaborations (Manu Chao, Weepers Circus) et de références croisées (Perret, Brassens, Bérurier noir, world).
Au festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés, comme à Jazz’Hum’Ah lors de la Fête de l’Huma 2013, le talent féminin attire et enthousiasme le public. Messieurs les programmateurs, au boulot !
Jazz à Saint-Germain-des-Prés fait partie des rares festivals à accorder, dans sa programmation comme au sein de son équipe organisationnelle, une aussi belle place aux femmes. L’excellente fréquentation de la 14e édition montre que le public se déplace volontiers pour écouter des jazzwomen, surtout lorsqu’est menée une action de sensibilisation : nous l’avions noté à la Fête de l’Humanité 2013, avec le succès remporté par les jazzwomen programmées à Jazz’Hum’Ah. En l’église Saint-Germain-des-Prés, Youn Sun Nah, Coréenne arrivée à Paris en 1995, a reçu une ardente standing ovation, tandis que la pianiste-chanteuse Eliane Elias a donné deux concerts à guichets fermés à la Maison des océans, où, le lendemain, Kellylee Evans fait chavirer les âmes dans l’émotion, quand elle chante, à la manière d’une offrande, un titre sollicité par un spectateur.
Image tirée de la pochette de l'album «III» (1970).Image tirée de la pochette de l'album «III» (1970). (Image DR)
Oublions les «Whole Lotta Love» et autre «Stairway to Heaven»: voici une sélection de (vieilles) chansons moins exposées, à l'occasion de la réédition, ce lundi, des trois premiers albums du groupe britannique.
Les trois premiers albums du groupe de rock britannique, qui ressortent cette semaine, planquent chacun des morceaux peu connus qui regorgent pourtant d’ambitions plus ou moins abouties, de folie à la batterie ou de motifs de guitare bizarres. Petite sélection maison.