L'artiste camerounais Manu Dibango, à Dakar, en décembre 2010. | AFP/SEYLLOU DIALLO |
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dimanche 9 mars 2014
Manu Dibango, 80 ans de chocs musicaux (Le Monde)
Manu Dibango a eu 80 ans le 12 décembre 2013. Mais il a décidé d'en différer la célébration, afin de s'approprier son costume d'octogénaire et de s'y sentir à l'aise. Le saxophoniste est un octogénaire joyeux, évidemment. Très tendre aussi. Il a publié en 2013 une autobiographie, Balade en saxo, dans les coulisses de ma vie (éd. L'Archipel), qui finit ainsi : « Je vais me reposer un peu, car tout reste à faire. »
samedi 8 mars 2014
Manu Dibango souffle ses 80 bougies (Mariane)
Novembre 2013, Paris, rue du Faubourg Saint-Antoine. Nous avons rendez-vous avec Manu Dibango. Dans l’ascenseur qui mène à radio Africa N°1, son rire fracassant dégringole déjà des étages. Le célèbre saxophoniste camerounais vient de terminer l’enregistrement de son émission radiophonique hebdomadaire. « Je change de casquette là, s’esclaffe-t-il. C’est moi qui interviewait tout à l’heure, et me voilà interviewé ! » A l’occasion de la sortie d’un nouvel album, d’un livre et de concerts, ce grand monsieur célèbre ses 80 ans. Entretien.
Ce n’est pas la première fois que vous revisitez des standards du jazz et de variétés, comme sur ce nouvel album. Qu’aimez-vous dans cette démarche ?
Ce qui me plaît, c’est de me mettre dans la peau de l’interprète saxophoniste. Après tout, les Miles Davis et Louis Armstrong faisaient ça aussi. La Vie en rose…vous mettez ce que vous voulez dedans. Les standards que je joue dans cet album me sont familiers. J’ai travaillé quatre ans avec Nino Ferrer. J’ai connu Otis Redding quand il est arrivé ici. Cet album est en fait une balade à travers les gens que j’ai rencontrés, tout simplement. Je pense que la musique est quelque chose qui se partage. Le public s’y retrouve quand je joue des standards, mais ça ne m’empêche pas de jouer mes trucs à moi. Après, je fais aussi des créations, comme Kirikou. C’est une autre casquette encore. Auteur, compositeur, interprète. Je suis tout cela à la fois.
Ce n’est pas la première fois que vous revisitez des standards du jazz et de variétés, comme sur ce nouvel album. Qu’aimez-vous dans cette démarche ?
Ce qui me plaît, c’est de me mettre dans la peau de l’interprète saxophoniste. Après tout, les Miles Davis et Louis Armstrong faisaient ça aussi. La Vie en rose…vous mettez ce que vous voulez dedans. Les standards que je joue dans cet album me sont familiers. J’ai travaillé quatre ans avec Nino Ferrer. J’ai connu Otis Redding quand il est arrivé ici. Cet album est en fait une balade à travers les gens que j’ai rencontrés, tout simplement. Je pense que la musique est quelque chose qui se partage. Le public s’y retrouve quand je joue des standards, mais ça ne m’empêche pas de jouer mes trucs à moi. Après, je fais aussi des créations, comme Kirikou. C’est une autre casquette encore. Auteur, compositeur, interprète. Je suis tout cela à la fois.
mercredi 5 mars 2014
lundi 3 mars 2014
A propos de Paco de Lucia: «Il a eu la même importance que Picasso ou Miles Davis dans leurs domaines» (Libération)
Article paru dans Libération du 26 février 2014
Les guitaristes français Juan Carmona et Vicente Pradal se souviennent de leur ami.
Des Mexicains Rodrigo y Gabriela au Trio Joubran de Palestine, le nombre de musiciens marqués par Paco de Lucía est incalculable. En France particulièrement, cet autre pays du flamenco, où il a souvent joué. Le guitariste Juan Carmona se souvient : «En 1973, j’avais 10 ans, mon père m’a emmené le voir à Martigues. Ma vocation de musicien est née ce soir-là.» Pour le Toulousain Vicente Pradal, la révélation est venue plus tard. «Issu d’une famille de guitaristes, je jouais déjà du flamenco quand il est apparu. Je peux témoigner qu’en découvrant sa musique nous étions estomaqués, ébahis. Sa sonorité, sa précision, sa technique étaient uniques. Quand nous avons été certains qu’il n’y avait aucun trucage, nous avons su qu’une ère nouvelle avait commencé.»
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Les guitaristes français Juan Carmona et Vicente Pradal se souviennent de leur ami.
Paco de Lucia à Fuengirola le 2 juillet 2010. (Photo Jon Nazca / Reuters) |
Des Mexicains Rodrigo y Gabriela au Trio Joubran de Palestine, le nombre de musiciens marqués par Paco de Lucía est incalculable. En France particulièrement, cet autre pays du flamenco, où il a souvent joué. Le guitariste Juan Carmona se souvient : «En 1973, j’avais 10 ans, mon père m’a emmené le voir à Martigues. Ma vocation de musicien est née ce soir-là.» Pour le Toulousain Vicente Pradal, la révélation est venue plus tard. «Issu d’une famille de guitaristes, je jouais déjà du flamenco quand il est apparu. Je peux témoigner qu’en découvrant sa musique nous étions estomaqués, ébahis. Sa sonorité, sa précision, sa technique étaient uniques. Quand nous avons été certains qu’il n’y avait aucun trucage, nous avons su qu’une ère nouvelle avait commencé.»
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dimanche 2 mars 2014
Paco de Lucia s'est éclipsé...
Le guitariste espagnol Paco de
Lucia, de son vrai nom Francisco Sanchez Gomez, est décédé d'une
crise cardiaque au Mexique à l'âge de 66 ans, a annoncé mercredi
la mairie d'Algeciras, sa ville natale du sud de l'Espagne, qui
rendait hommage à "la plus grande figure qu'ait connu le monde
de la guitare".
La disparition du guitariste virtuose représente "une perte irréparable pour le monde de la culture, pour l'Andalousie", a déclaré le maire d'Algeciras, José Ignacio Landaluce. "La mort de Paco de Lucia transforme le génie en légende. Son héritage restera pour toujours, de même que la tendresse qu'il a toujours épouvée pour sa terre", ajouté le maire dans un communiqué. "Bien qu'il nous ait quittés, sa musique, sa manière géniale d'interpréter, son caractère, resteront toujours parmi nous", a ajouté le maire alors que la ville, qui a décrété un deuil officiel de trois jours, s'apprêtait à rendre un hommage ému au guitariste.
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lundi 24 février 2014
"True To The Blues : The Johnny Winter Story": la compil idéale pour les 70 ans du surdoué (Nouvel Obs)
HAPPY BIRTHDAY JOHNNY. 70 ans ce mois-ci... Près de cinq décennies de carrière, des chansons écrites par John Lennon... Allen Toussaint...ou Mick Jagger et Keith Richards... Le festival de Woodstock... L’héroïne, la dépression... La production d’albums de Muddy Waters...
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jeudi 20 février 2014
Layla Zoe: Darling of the blues
Layla Zoé, (prononcez Zou) Ce nom ne dit pas grand-chose à la majorité d’entre nous. Cependant, cette chanteuse née au début des années soixante dix en Colombie Britannique (Canada) n’est plus une débutante. Elle aurait commis sept albums depuis le début de sa carrière. C’est du moins ce que j’ai pu lire sur différents sites internet. Cependant, je n’en ai retrouvé la trace concrète que de cinq. Sa carrière a pris son envol en 2006. Cette année là, elle a été nommée Chanteuse de l'année aux Vancouver Island Awards et a remporté la Compo 10 International Blues Songwriting Competition à Jaarvenpaa en Finlande,
Les canadiens la surnomment « Darling of the Blues » autrement dit la chérie du blues. Un autre surnom lui va pas mal non pluc c’est « the Firegirl ». ou « la fille de feu »
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lundi 17 février 2014
The Godfathers au Rouge Belle de Mai
Ce soir c'est une double découverte pour moi.
Le « Rouge Belle de Mai » qui est un pub à jazz assez récent d'un côté et « the Godfathers » un groupe de soul et rythm and blues de l'autre.
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vendredi 14 février 2014
Bernard Lavilliers: « Je ne me prends pas pour un monument national » (lu dans le JSL)
Éternel voyageur, pourfendeur des puissants et défenseur des ouvriers, Bernard “l’anar” Lavilliers, brûle encore de poésie et de colère.
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mardi 11 février 2014
Fever - fièvre du jazz
Fever (« fièvre » en français) est une chanson américaine signée par Eddie Cooley et John Davenport (un pseudonyme d'Otis Blackwell). Les paroles ont en réalité été écrites par Joseph Arrington Jr. (alias Joe Tex), qui les vendit pour 300 dollars à Cooley. Pour la musique, Tex préconisait de reprendre l'air de Sixteen Tons, ce que fit Otis Blackwell1. Sortie en 1956, elle a été chantée par Little Willie John, qui en vendit plus d'un million d'exemplaires. Toutefois, la version la plus célèbre date de 1958, interprétée par Peggy Lee.
samedi 8 février 2014
Bernard Lavilliers, au long cours (Libé)
INTERVIEW
A l’occasion de la sortie de son nouvel album, «Baron Samedi», le musicien voyageur commente des extraits de son répertoire.
Veste
sombre sur tee-shirt noir, anneau à l’oreille, un verre de rhum à
portée de main, Bernard Lavilliers, revenu d’Haïti pour son album et de
Saint-Etienne pour des émissions de radio promotionnelles, écrit un SMS à
son fils dans un bar du XIe arrondissement de Paris. Après avoir évoqué Cendrars et Port-au-Prince, les deux «héros» de son disque de sortie, Baron Samedi(lire ci-dessous), puis la musique electro et le destin d’Erik Satie («Ferré m’a dit qu’il était mort avec une malle pleine de lettres qu’il n’avait pas ouvertes») ; après avoir chanté Villa Noailles dans l’arrière-salle de l’établissement accompagné de sa guitare folk Taylor («Elle sonne bien, elle est féminine») ; après avoir commandé un autre verre ambré («Ne dites rien à personne»), le Stéphanois précipite : «Alors comme ça, il paraît que vous voulez me poser des questions sur des phrases ?»
Exact. A 67 ans, dont plus de quarante de carrière, c’est le moment -
c’est pas trop tôt - d’exhumer des citations de son corpus et de
demander à l’auteur de réviser au débotté. Comme ça, pour voir.
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vendredi 7 février 2014
Détroit: Horizons
J’ai écouté
« Horizons »,le premier opus de Détroit. Détroit, pour
celles et ceux qui ne connaissent pas est le nouveau groupe de
Bertrand Cantat accompagné de Pascal Humbert..
Depuis la fin de Noir
Désir, Bertrand Cantat avait enregistré des titres avec Shaka Ponk
et Amadou et Mariam, il avait aussi participé à la pièce musicale
"La trilogie des Femmes" de Wajdi Mouawad avec justement
Pascal Humbert.
Humbert quant à lui,
depuis la séparation de Sixteen Horsepower en 2005, a joué avec les
groupes Lilium ou Santa Cruz mais aussi avec Wovenhand, groupe formé
par David Eugene Edwards, ancien chanteur de Sixteen Horsepower.
Bertrand Cantat. Le
Poète de ma génération. Celui dont les poèmes musicaux
accompagnaient mes insomnies de la fin des années quatre vingt
jusqu’à… Jusqu’à l’horreur commises à Vilnius.
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lundi 3 février 2014
Le Point: Renaud sort du silence avec un album
Le chanteur supervise un projet où des artistes français vont reprendre ses plus grands tubes. Retour gagnant ?
Après cinq ans de silence, il revient en fanfare : Renaud a donné son aval pour que plusieurs artistes reprennent ses succès dans un album hommage qui devrait sortir avant l'été prochain. Une information révélée par RTL, qui précise que les enregistrements ont déjà commencé. Plusieurs vedettes participent au projet, tous fans de l'artiste des années 1980, dont Bénabar, Thomas Dutronc, Nolwenn Leroy ou encore Élodie Frégé. Certains ont même choisi leurs textes, comme Raphaël, qui désire interpréter La teigne, tandis que Jean-Louis Aubert revisite Manu, et que la Québécoise Béatrice Martin, alias Coeur de pirate, va s'attaquer au fameux Mistral gagnant.
À en croire ses proches, Renaud est ravi du casting, il a même soufflé quelques noms et suit de bout en bout ce nouvel album, avec l'aide de son complice de toujours, le musicien Alain Lanty. "Il était inconcevable de faire ce projet sans son avis, explique-t-il sur RTL. Renaud est totalement au courant de ce qui se passe et il est fou de joie. Il est impatient de voir le rendu."
Après cinq ans de silence, il revient en fanfare : Renaud a donné son aval pour que plusieurs artistes reprennent ses succès dans un album hommage qui devrait sortir avant l'été prochain. Une information révélée par RTL, qui précise que les enregistrements ont déjà commencé. Plusieurs vedettes participent au projet, tous fans de l'artiste des années 1980, dont Bénabar, Thomas Dutronc, Nolwenn Leroy ou encore Élodie Frégé. Certains ont même choisi leurs textes, comme Raphaël, qui désire interpréter La teigne, tandis que Jean-Louis Aubert revisite Manu, et que la Québécoise Béatrice Martin, alias Coeur de pirate, va s'attaquer au fameux Mistral gagnant.
À en croire ses proches, Renaud est ravi du casting, il a même soufflé quelques noms et suit de bout en bout ce nouvel album, avec l'aide de son complice de toujours, le musicien Alain Lanty. "Il était inconcevable de faire ce projet sans son avis, explique-t-il sur RTL. Renaud est totalement au courant de ce qui se passe et il est fou de joie. Il est impatient de voir le rendu."
dimanche 2 février 2014
Moto mag: 3.000 motards à Paris se font entendre des candidats à la mairie
Un beau succès pour la FFMC ! Près de 3.000 motards selon les organisateurs (1.500 selon la police) ont manifesté le 1er février à Paris. Ils demandaient d’avantage de places de parking et l’arrêt des verbalisations excessives.
Samedi 1er février au matin, un vent de panique soufflait chez les organisateurs de la manifestation des motards à Paris, les coordinateurs et militants des antennes de l’Essonne, de Seine-et-Marne, des Yvelines, du Val-d’Oise et de Paris-Petite-Couronne (PPC) de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC). La pluie incessante depuis la veille risquait de mettre à mal l’organisation du rassemblement.
Mais les éléments s’apaisaient miraculeusement à l’heure du déjeuner et, à 14 heures sur l’esplanade du Château de Vincennes (94), un soleil timide accueillait les premiers manifestants.
Samedi 1er février au matin, un vent de panique soufflait chez les organisateurs de la manifestation des motards à Paris, les coordinateurs et militants des antennes de l’Essonne, de Seine-et-Marne, des Yvelines, du Val-d’Oise et de Paris-Petite-Couronne (PPC) de la Fédération Française des Motards en Colère (FFMC). La pluie incessante depuis la veille risquait de mettre à mal l’organisation du rassemblement.
Mais les éléments s’apaisaient miraculeusement à l’heure du déjeuner et, à 14 heures sur l’esplanade du Château de Vincennes (94), un soleil timide accueillait les premiers manifestants.
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samedi 1 février 2014
Moto Mag: Contrôle technique moto : la FFMC 13 manifeste sa joie !
Une vingtaine de militants de la FFMC 13 se sont réunis ce samedi 25
janvier devant le centre de contrôle technique Norisko (qui appartient à
Dekra) dans la plus grande zone commerciale d’Europe, celle de Plan de
Campagne près de Marseille, pour fêter symboliquement la victoire
obtenue dans leur lutte contre le contrôle technique 2RM (deux-roues
motorisés).
Banderoles et drapeaux étaient de sortie pour être déployés comme un pied de nez au lobbying des multinationales du contrôles technique – Dekra en tête – que le travail, tout comme la détermination des motards et de la FFMC a réussi à mettre en échec. Cette victoire est une reconnaissance implicite de l’absence de données objectives sur l’utilité d’un contrôle technique périodique pour les 2RM.
Plusieurs centaines de tracts ont été ensuite distribués aux usagers de la route en leur rappelant aussi que le combat mené par les motards, tout comme leur acharnement, leur a aussi profité (pas de changement pour les autres usagers). Pour la très grande majorité, ils ont apprécié l’initiative et l’information qui allaient avec. Au total, les militants de la FFMC 13 seront restés sur place pendant plus d’une heure.
Bien sûr, les Motards en colère restent vigilants à l’avenir face à tout retour possible de ce dossier. Comme quoi, rien n’est jamais perdu, et à l’image de David contre Goliath, la FFMC a pu « terrasser » Dekra.
José Aznar - Correspondant 13
Banderoles et drapeaux étaient de sortie pour être déployés comme un pied de nez au lobbying des multinationales du contrôles technique – Dekra en tête – que le travail, tout comme la détermination des motards et de la FFMC a réussi à mettre en échec. Cette victoire est une reconnaissance implicite de l’absence de données objectives sur l’utilité d’un contrôle technique périodique pour les 2RM.
Plusieurs centaines de tracts ont été ensuite distribués aux usagers de la route en leur rappelant aussi que le combat mené par les motards, tout comme leur acharnement, leur a aussi profité (pas de changement pour les autres usagers). Pour la très grande majorité, ils ont apprécié l’initiative et l’information qui allaient avec. Au total, les militants de la FFMC 13 seront restés sur place pendant plus d’une heure.
Bien sûr, les Motards en colère restent vigilants à l’avenir face à tout retour possible de ce dossier. Comme quoi, rien n’est jamais perdu, et à l’image de David contre Goliath, la FFMC a pu « terrasser » Dekra.
José Aznar - Correspondant 13
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vendredi 31 janvier 2014
De "the work song" à 'Sing sing song"
Oscar Brown, Jr |
C'est un peu par hasard, écoutant Ana Popovic interpréter « Work Song » d'une façon que je vous laisserai libre d'apprécier et de commenter, que je me suis décidé à revenir aux source de cette belle chanson.
Nat Adderley |
mercredi 29 janvier 2014
mardi 21 janvier 2014
Goin' down... Quand les influences musicales se croisent
il y a un mois, environ, je vous avais présenté ce morceau. Il a construit le succès de Jeff Beck à l'époque de sa sortie.
Si l'on mesure la qualité d'une pièce de musique à la classe des musiciens qui se l'approprient pour en extraire l'âme, "Goin' down" doit faire parti de ceux qui traverseront le temps.
voici une interprétation, très personnelle de Bernard Allison au Marshall Michigan Blues Festival 2013. Pour mémoire Bernard est le fils de Luther Allison... Un pape, du Chicago Blues
Si l'on mesure la qualité d'une pièce de musique à la classe des musiciens qui se l'approprient pour en extraire l'âme, "Goin' down" doit faire parti de ceux qui traverseront le temps.
Bernard Allison |
voici une interprétation, très personnelle de Bernard Allison au Marshall Michigan Blues Festival 2013. Pour mémoire Bernard est le fils de Luther Allison... Un pape, du Chicago Blues
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vendredi 17 janvier 2014
Esperanza Spalding au carrefour des Jazz
Esperanza Spalding est née le 18 octobre 1984 et a grandi
dans le quartier de King à Portland , Oregon , un quartier qu'elle a décrit
comme un "ghetto" et étant " assez effrayant " . Sa mère
l'a élevée seule avec son frère.
Ses origines métissées
l'ont conduite à porter un intérêt pour la musique des autres cultures.
Dont la musique brésilienne. Elle en dit : "avec des chansons portugaises,
le phrasé de la mélodie est intrinsèquement liée à la langue , et c'est beau."
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mardi 14 janvier 2014
Mouans Sartoux - Gardanne: la traversée de la Provence
Après une fin de journée difficile, pour revenir de La Spezia, nous prévoyons un
parcours plus tranquille. Comment séjourner à proximité de la ville que l’on
dit capitale mondiale des parfums sans visiter une parfumerie. C’est vrai que
cette industrie s’est développée ici de puis le milieu du XVIIIeme siècle. Elle
a profité de l’abondance et de la variété des plantes aromatiques qui poussent
dans la région.
A l’entrée de Grasse, nous voyons la possibilité de visiter le musée de la parfumerie Fragonard Attirés par les cuivres rutilants des alambics exposés à l’extérieur, nous entrons.
La parfumerie Fragonard est une des plus anciennes
parfumeries de Grasse
Fondée en 1926 par Eugène Fuchs, elle installée depuis dans
une des plus anciennes fabriques de la ville qui fut bâtie par le parfumeur
Claude Mottet en 1841, elle est ainsi nommée en hommage au grand peintre local
Jean Honoré Fragonard. Son musée, gratuit, présente des objets rares qui
évoquent l'histoire de la parfumerie depuis plus de 5000 ans. Il est né dans
les années soixante dix sur l’idée du patron de l’époque de valoriser les
outils historiques ainsi que le savoir faire de la « Maison »
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