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mardi 29 janvier 2019
Robert Plant - A Way With Words (Une façon de parler)
Cette chanson de Robert Plant, issue de son album Carry Fire (2017) est une ballade poétique rythmée par le duo entre le piano et les tambours. Le chanteur susurre les paroles plutôt qu’il ne les chante. Une ode à son retour au Pays de Galles.
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Robert Plant
Buddy Miller - Somewhere Trouble Don’t Go (Un lieu où les ennuis ne vont pas)
Cette chanson de Buddy Miller est extraite de son album Cruel Moon publié en 1999. Un album « fait maison » dans son « home studio » personnel. Ce qui donne une couleur et une intimité particulières à sa musique.
Joe Bonamassa a repris cette chanson avec un arrangement rock plus acéré qui lui ressemble bien sur son album « Driving Towards The Daylight » (2012)
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Joe Bonamassa
vendredi 25 janvier 2019
Chet Baker - It’s Always You (C’est toujours toi)
"It’s Always You" est une chanson écrite par Jimmy Van Heusen (musique) et Johnny Burke (paroles) pour le film Road to Zanzibar de 1941. Dans le film, elle a été chantée par Bing Crosby. Elle est le fruit de la première collaboration entre Bing Crosby et le duo Van Heussen / Burke. Franck Sinatra a enregistré à deux reprises cette chanson (1941 et 1961). Chet Baker enregistra sa version sur son album « Chet Baker Sings » en 1956
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Chet Baker
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Jazz
jeudi 24 janvier 2019
ERIC CLAPTON, UNE VIE SOUS LE SIGNE DU BLUES
Guitariste de légende et véritable icône du blues et du rock, à 73 ans, Éric Clapton se raconte pour la première fois dans Life in 12 bars. Un documentaire musical de Lili Fini Zanuck mêlé d’archives personnelles et de témoignages rares, qui retrace la destinée du musicien anglais en nous plongeant dans sa vie, ses doutes, ses errements et son amour du blues, hérité des artistes noirs américains, qui a fortement influencé son style.
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Blues
mercredi 23 janvier 2019
Chris Rea - Lord Tell Me It Won’t be long
Cette chanson est extraite de l’album « Blue Guitars » (CD 01 Biginnings) de Chris Rea publié en 2005.
Une chanson à la musique basée sur le subtil mélange des sonorités et rythmes africains associés aux canons du blues traditionnel. Ici l’auteur, développe le thème de la dureté du travail forcé des esclaves réduits à prier que les souffrances ne durent pas.
mardi 22 janvier 2019
Robert Johnson - Love in Vain (L’amour en vain)
« Love in Vain » (à l’origine « Love in Vain Blues ») est un blues écrit par le guitariste américain Robert Johnson.
Il chante l’amour sans partage, utilisant un train au départ comme
métaphore de sa perte. La performance de Johnson - vocale accompagnée
par son jeu de guitare acoustique à la manière d’un doigt - a été
décrite comme « dévastatrice et sombre ».
Il a enregistré la chanson en 1937 lors de sa dernière session
d’enregistrement. Elle a été publiée en 1939,comme le dernier de ses 78
tours originaux.
« Love in Vain » contient des éléments de Delta blues antérieurs et pendant un certain temps, certains ont cru que la chanson était dans le domaine public. En 1969, les Rolling Stones ont enregistré une version mise à jour avec un solo de guitare électrique. Elle a été publiée sur leur album « Let it Bleed » La popularité de leur adaptation a conduit à un procès sur le droit d’auteur, qui a finalement été résolu en faveur de la succession de Johnson. Depuis de nombreux artistes ont enregistré cette chanson (Le site second hands song en compte 38. Parmi les plus intéressantes, on peut noter celle de Eric Clapton sur son album « Me and Mister Johnson » publié en 2004.
« Love in Vain » contient des éléments de Delta blues antérieurs et pendant un certain temps, certains ont cru que la chanson était dans le domaine public. En 1969, les Rolling Stones ont enregistré une version mise à jour avec un solo de guitare électrique. Elle a été publiée sur leur album « Let it Bleed » La popularité de leur adaptation a conduit à un procès sur le droit d’auteur, qui a finalement été résolu en faveur de la succession de Johnson. Depuis de nombreux artistes ont enregistré cette chanson (Le site second hands song en compte 38. Parmi les plus intéressantes, on peut noter celle de Eric Clapton sur son album « Me and Mister Johnson » publié en 2004.
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Blues
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Rolling Stones
Beth Hart - Hold Me Through the Night (Garde-moi toute la nuit.)
Une jolie Ballade de Beth Hart issue de son album « Immortal » (1996). Comme souvent dans ses chansons, elle commence avec douceur. Comme une supplication, avant que la passion ne prenne le dessus et enflamme chant et musique.
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Beth Hart
lundi 21 janvier 2019
Lttle Richard - Lucille
« Lucille » est un rock and roll enregistré à l’origine par le musicien américain Little Richard. Sorti chez Specialty Records en février 1957, le simple cartonne dans tous les hit parades de l’époque. y compris en Grande Bretagne. Il a été composé par Albert Collins (à ne pas confondre avec le guitariste de blues du même nom) et Little Richard. Les premières éditions de Specialty 78rpm créditent Collins comme le seul auteur. Little Richard a acheté la moitié des droits de la chanson pendant que Collins était en prison en Louisiane.
La chanson préfigure la rythmique de la musique rock des années 1960 de plusieurs façons, y compris par sa ligne de basse lourde et son tempo plus lent. Les sections de mise en scène comportent également des pauses d’arrêt du temps et aucun changement dans l’harmonie, et le son est plus sombre parce que la plupart des instruments utilisent un registre grave.
Little Richard a chanté et joué du piano sur son enregistrement, soutenu par un groupe composé de Lee Allen (saxophone ténor), Alvin « Red » Tyler (saxophone baryton), Roy Montrell (guitare), Frank Fields (basse), et Earl Palmer (batterie).
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Musique
Jimmy Barnes - too much ain’t enough love (Trop, n’est pas assez d’amour)
« Too Much Ain’t Enough Love » est le premier extrait de l’album « Freight Train Heart » du chanteur australien Jimmy Barnes, sorti en 1987
En 2012, Joe Bonamassa sort une reprise de la chanson sur son album "Driving Towards the Daylight", avec Jimmy Barnes au chant. La complémentarité des deux artistes saute aux oreilles.
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Joe Bonamassa
dimanche 20 janvier 2019
Duke Ellington – Sophisticated lady
Sophisticated Lady est une composition de Duke Ellington écrite en 1932, également créditée à Irving Mills. Des paroles y ont été ajoutées par Mitchell Parish. C’est devenu un standard de jazz.
Duke Ellington a enregistré ce morceau pour la première fois en 1933, avec en soliste Toby Hardwick, Barney Bigard et Lawrence Brown.
La chanteuse Adelaide Hall a enregistré avec Ellington en 1927, 1932 et 1933 La chanson est apparue sur la bande sonore du documentaire de 1989/90 célébrant sa vie intitulé Sophisticated Lady.
Parmi interprétations vocales les plus célèbres on retrouve les incontournables Sarah Vaughan, Ella Fitzgerald ou encore Billie Holiday
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Jazz
Chris Rea - Where the blues come from (D’où vient le blues)
La question des origines du blues est évoquée avec poésie
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Chris Rea
jeudi 17 janvier 2019
Shemekia Copeland : Wicked (Épouvantable) - 2000
En 2000, la jeune Shemekia Copeland a 26 ans. Ell est souvent comparée à Koko Taylor, Etta James et Aretha Franklin. Mais, avec seulement deux albums dans sa discographie, à ce moment là elle a un long chemin à parcourir avant de se retrouver sur le même piédestal que ces trois légendes. Pourtant, la fille de Johnny Copeland, est une belle et flamboyante chanteuse de blues capable d’interpréter de belles ballades soul ou des fantaisies R&B avec un talent précoce.
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Blues
mercredi 16 janvier 2019
Beth Hart - Isolation (Isolement)
Cette chanson est extraite du second album de Beth Hart « Immortal ». Elle a été écrite par la chanteuse, en collaboration avec le bassiste Tal Herzberg et le guitariste Jimmy Khoury. Une chanson sur ses peurs à l’époque où elle subissait ses addictions.
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Beth Hart
Gary Moore - Rockin’ Every Night (S’éclater chaque soir)
Un hard rock furieux extrait de l’album « Corridors of Power », le deuxième album studio solo du guitariste irlandais Gary Moore publié en 1982. Cette chanson a été co écrite par Gary Moore et le batteur Ian Paice (Deep Purple). Font également parti du groupe Tommy Eyre aux claviers et Neil Murray (Whitesnake) à la basse.
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Gary Moore
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Musique
lundi 14 janvier 2019
Tom Waits - New Coat of Paint (Nouvelle couche de peinture)
Cette chanson de Tom Waits est extraite de son album « The Heart of Saturday Night »
publié en 1974. Un album très poétique dont cette chanson est la
conclusion. Elle a été reprise, entre autres par Southside Johnny (album
« In the Heat » - 1984), Bob Seger (album The Fire Inside - 1991), Joe bonamassa sur son album « Driving towards the daylight. (2012) ou Ana Popovic (Album trilogy - 2016)
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Jazz
dimanche 13 janvier 2019
Chris Rea - White man is coming (L’homme blanc arrive)
Cette chanson est extraite de l’album « Blue Guitars » (CD 01 Biginnings) de Chris Rea publié en 2005.
Elle décrit l’arrivée des « hommes blancs » en Afrique et la detresse de ceux qui vont se retrouver esclaves"
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Chris Rea
vendredi 11 janvier 2019
Buddy Guy - Come Back Muddy (Reviens Muddy)
Cette chanson est extraite de album Born to play guitar publié par Buddy Guy en 2015. Cette chanson, exprime un souvenir nostalgique des bons moments partagés entre le mentor Muddy Waters et l’apprenti Buddy Guy...
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Blues
Beth Hart - Spiders In My Bed (Araignées dans mon lit)
Cette chanson est extraite du second album de Beth Hart « Immortal » (1996). Elle a été écrite par la chanteuse et rappelle ses cauchemars de l’époque où elle subissait ses addictions . La musique est obsédante comme les araignées qui envahissent son lit et le texte poétique exprime clairement la détresse profonde de l’artiste.
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Beth Hart
jeudi 10 janvier 2019
Samantha Fish I’ll come running over (Je viendrai en courant) (Lulu & The Luvvers )
Écrite par Bertrand Russell, cette chanson a rencontré le succès à sa sortie, en 1964, interprétée par « Lulu & The Luvvers ». Elle est présente sur l’album « Chills and Fever » de Samantha Fish consacré principalement à la remise au goût du jour de chansons oubliées mais vraiment dignes d’intérêt.
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Samantha Fish
Rolling Stones - Brown sugar
Brown Sugar est une chanson des Rolling Stones, parue en 1971 sur l’album Sticky Fingers. Elle a été écrite par Mick Jagger
Souvent jouée sur scène, cette chanson parle d’une esclave noire vendue sur un marché de La Nouvelle-Orléans et qui devient l’objet sexuel de tous ses maîtres blancs, qui vantent ses mérites et notamment son goût (d’où le refrain : « brown sugar », en français « sucre brun »), montrant une forme de dépendance. Au-delà de l’allusion à l’attirance sexuelle des femmes noires, le titre fait aussi référence à la drogue puisque « brown sugar » est un mot argotique américain pour désigner l’héroïne brune. La chanson est donc polysémique puisque elle peut parler aussi de la dépendance des jeunes Blancs pour la drogue, en usant du vocabulaire de l’esclavage. Mick Jagger aurait été inspiré par Claudia Lennear, l’une des choristes de Ike Turner. Sur cette chanson, Keith Richards dira lui-même : « Je suis le maître du riff. Le seul que j’ai loupé et que Mick a trouvé, c’est “Brown Sugar”, et je dis chapeau. Là, il m’a bluffé. Je l’ai arrangé un petit peu, mais c’est bien lui, paroles et musique. »
Cette chanson a été reprise par des artistes aussi divers que Bob Dylan ou Little Richard.
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Rolling Stones
mercredi 9 janvier 2019
Joe Bonamassa - Heavenly Soul (Âme céleste)
Une ballade rock écrite par Joe Bonamassa et publiée sur son album Driving Towards the Daylight (2012). Cette chanson est intéressante par le riff composé par Joe Bonamassa ainsi que par la performance vocale de l’artiste.
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Joe Bonamassa
mardi 8 janvier 2019
Chris Rea - Sing Out The Devil (Chanter le diable)
Cette chanson est extraite de l’album « Blue Guitars » (CD 01 Biginnings) de Chris Rea publié en 2005.
Quand la condition d’esclave est évoqué comme étant le fruit de l’oeuvre du Diable
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Blues
Otis Taylor - House of crosses (Maison des croix)
Cette chanson d’Otis Taylor est extraite de l’album « Truth Is Not Fiction » publié en 2003.
Tout l’art d’Otis Taylor consiste à mettre en poésie le malheur des gens. Il est aux racines du blues et réussit à mettre des mots sur l’indicible. Bref, un conte œdipien déchirant. Sa musique est joliment arrangée avec le violon qui tournoie autour du jeu de guitare au rythme lancinant.
Tout l’art d’Otis Taylor consiste à mettre en poésie le malheur des gens. Il est aux racines du blues et réussit à mettre des mots sur l’indicible. Bref, un conte œdipien déchirant. Sa musique est joliment arrangée avec le violon qui tournoie autour du jeu de guitare au rythme lancinant.
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