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samedi 29 novembre 2014
Cigarettes and Coffee (Otis Redding)
Une chanson créée par Otis Redding en 1966 et magnifiquement reprise par Etta James. Une belle déclaration d'amour.
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mercredi 26 novembre 2014
«He Hit Me», hymne au beurre noir (Libération)
Chantée par les Crystals en 1962, c’est la plus marquante des chansons sur les violences conjugales auxquelles chaque 25 novembre est consacré dans le monde. Incomprise, elle fut interdite d'antenne, avant de devenir un classique féministe dans les années 90.
Parmi toutes les chansons qui évoquent plus ou moins frontalement la question des violences conjugales, il y en a une qui aurait pu disparaître à jamais avant de devenir la plus emblématique et puissante: He Hit Me (And it Felt Like a Kiss), enregistrée par les Crystals en 1962.
The Crystals - He Hit Me (And It Felt Like A Kiss)
mardi 25 novembre 2014
Les fables du diable Lavilliers (Le Monde)
Quarante ans après « Le Stéphanois », album fondateur de sa mythologie, le chanteur publie « Acoustique », dans lequel il reprend d’anciennes chansons
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Bernard Lavilliers
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mercredi 19 novembre 2014
Quartiers Nord: tous au Piquet à Aix en Provence
Il fait un temps à ne mettre ni un gréviste ni un musicien dehors ? La pluie frappe dur et l'humidité est envahissante. Cependant quelque chose me pousse à aller me perdre au milieu des immeubles du quartier de Jas de Bouffan à Aix. C'est la perspective de rejoindre la musique festive du groupe Quartiers Nord.
Un groupe que j'ai
découvert en 1980, au moment de la sortie de leur premier album Ils
débutaient et je m'envolais dans l'adolescence. Leur hard rock
marseillais évoquaient les quartiers où j'avais grandi et
l'ambiance locale. Le son et la fougue des deux guitaristes de
l'époque, Alain Chiarazzo et Philippe Troisi, m'ont entraîné sur
les pentes musicales du rock puis du blues.
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samedi 15 novembre 2014
Paul Personne fait de la résistance Nouvel album, Puzzle 14 (RFI)
Moins gourmand qu'au début de cette décennie où il avait livré deux albums presque coup sur coup (Face A et Face B), Paul Personne n'a en revanche rien perdu de sa dextérité légendaire. Son Puzzle 14 s'inscrit dans la continuité et fera le bonheur des amateurs de solos de guitare.
Il est temps de lui décerner une double médaille : du mérite pour l'ensemble de son œuvre et de l'abnégation pour cette faculté à tracer son bonhomme de chemin loin du miroir aux alouettes. Paul Personne semble condamné à un destin d'icône pour chapelles, avec tout ce que cela comporte d'excellence, mais aussi de confidentialité.
Ne pas compter sur ce nouveau chapitre, le quatorzième précisément, pour le voir user de synthés ou recourir à d'autres artifices. La séduction mécanique, ce n'est pas son truc. La tyrannie de la nouveauté, non plus. Il ne fait que ce qui lui convient, c'est-à-dire creuser encore et encore le même sillon. Donc du blues rock détonant, comme il sait si bien le distiller. C'est un disque à l'ancienne, riche d'une certaine fluidité stylistique et dévoilant une facette plus groovy que les dernières livraisons.
Paul Personne n'a guère besoin de lire des encyclopédies. Il branche son ampli, enfile sa Gibson et la fait gémir en toute liberté. Entre plainte et rugissement, les solos de guitare échevelés et passionnés prennent le pouvoir. Ils occupent l'espace-temps, s'étirent parfois jusqu'à plus soif. C'est son terrain de jeu favori, sa manière de s'exprimer, d'assembler ses pièces.
En compagnie de son groupe À l'Ouest, il va là où le cœur le mène. D'humeur apparemment désenchantée et obnubilée par le temps qui passe, Paul Personne donne l'impression de vouloir fuir cette société frénétique. Succincts – hormis Mainmise - et aux motifs répétitifs, les textes n'ont pourtant pas le même éclat que ses assauts mélodiques. Reste dix doigts qui continuent, eux, de vibrer à l'unisson.
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mardi 11 novembre 2014
Manitas de Plata, ci-gît le gitan ( Libération)
Comment le guitariste de Montpellier, décédé mercredi, est devenu une figure mondiale de la world music.
New York, le 24 novembre 1965. Un musicien français remplit le prestigieux Carnegie Hall, temple du classique et du jazz. La demande est telle qu’un nouveau concert est programmé le 4 décembre. Et un autre le 18. Comment Ricardo Baliardo, alors guitariste gitan analphabète de Montpellier, qui n’est pas une vedette dans son pays, a-t-il réussi pareil exploit? On peine aujourd’hui à imaginer ce que fut le succès planétaire de Manitas de Plata, qui s’est éteint paisiblement, mercredi, dans une maison de retraite de Montpellier, à l’âge respectable de 93 ans. Son importance dans l’histoire de la musique populaire est double : il a fait connaître la guitare flamenca à un vaste public de non-initiés, avant d’ouvrir la voie à ses enfants, neveux et petits-enfants réunis au sein de Gipsy Kings.
samedi 8 novembre 2014
Interview : Beth Hart (Le Républicain lorrain)
Musique - La chanteuse américaine Beth Hart a connu la drogue et l'alcool avant de gagner, à 19 ans, l'émission Star Search aux États-Unis. Elle côtoie désormais les plus grands.
Peut-on dire que votre musique est un mélange de soul, blues et jazz ?
Beth Hart : Oui, mais il ne faut pas oublier le rock'n'roll. Et même si mes shows ne sont plus aussi rock qu'à mes débuts, il m'arrive encore de chanter Whole Lotta Love de Led Zeppelin...
Peut-on dire que votre musique est un mélange de soul, blues et jazz ?
Beth Hart : Oui, mais il ne faut pas oublier le rock'n'roll. Et même si mes shows ne sont plus aussi rock qu'à mes débuts, il m'arrive encore de chanter Whole Lotta Love de Led Zeppelin...
dimanche 2 novembre 2014
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