Inscrite de longue date au calendrier de la Fédération française des motards en colère (FFMC), la manifestation, prévue hier entre Marseille et Aubagne, a pris un nouveau tour à la lumière des décisions prises récemment par le Comité interministériel de sécurité routière (CISR) au sujet de la pratique du deux-roues. Particulièrement remontés, près de 750 motards venus de six départements (04, 06, 13, 30, 34, 84) s'étaient en effet donné rendez-vous sur la place du Dôme, dans le quartier de Saint-Just, avant de rejoindre Aubagne en convoi; une ville d'arrivée choisie à dessein, car considérée par la FFMC comme emblématique de l'insécurité routière pour les deux-roues.
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dimanche 22 mai 2011
Le Figaro : Sécurité routière : 2000 motards à Paris
Deux milliers de motards ont défilé cet après-midi à Paris contre les mesures "fantoches" et "répressives" prises le 11 mai pour enrayer la remontée du nombre de morts sur les routes.
"Pour notre soi-disant sécurité, on nous impose de porter des gilets fluos alors que la majorité des accidents ont lieu le jour et pas la nuit, et d'augmenter la taille de notre plaque d'immatriculation", a déclaré à l'AFP Jean-Marc Belotti, coordinateur de l'antenne parisienne de la Fédération française des motards en colère (FFMC), à l'iniative de la manifestation.
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Plus de Répression induit plus de manifestations
Depuis le début de l'année le nombre d'accidents de la route mortels augmente. Le 11 mai 2011 Le Comité Interministériel sur la Sécurité Routière (CISR) a publié une liste de mesures répressives . Liste consultable ici
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mercredi 18 mai 2011
mercredi 4 mai 2011
Popa Chubby à l'Espace Julien .... Yeah !!
Ce mardi 3 mai 2011 je m'en vais assister à un concert de Popa Chubby à l'Espace Julien. et ceux avec plusieurs groupes d'ami qui pour une fois vont s'entrecroiser.
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mardi 3 mai 2011
Marseille : Popa Chubby fait rugir le son de la "Big Apple" à l’Espace Julien
Le père d’une musique blues et rock venue de New York est ce soir à Marseille
Il a vraiment une gueule de "bad boy". Avec sa boule à zéro, ses gros bras et ses tatouages de femmes nues, Popa Chubby a d’abord dû se faire une place dans un quartier noir de New York, le Bronx où il est né en 1960, avant de se faire un nom dans le vaste champ des musiques noires-américaines, le blues en particulier. Au point même d’incarner un genre musical, le New York City blues, qu’il définit comme "une musique crue, urbaine et qui t’en met plein la gueule". A savoir, un mélange détonnant de blues et de rock, avec aussi du jazz, du funk et même du gangsta rap.
Né Ted Horowitz, l’homme à la Stratocaster de 1966, fortement influencé par le jeu de Jimi Hendrix auquel on le compare, commence pourtant la musique par la batterie, à l’âge de 14 ans. Et c’est en découvrant les Rolling Stones que ce fils d’épicier se met à la guitare.
Musicien prolifique, Popa Chubby, sorte de "papa joufflu" du blues pour ne garder que la traduction politiquement correcte de son pseudonyme, sort presque un album par an à partir de 1991. Après Booty And The Beast, sorti en 1995 chez Sony, album de blues qu’il juge commercial à l’image de ce que lui avait suggéré son producteur Tom Dowd, le New-yorkais monte sa propre structure, PCP-Popa Chubby Productions, et gère sa carrière en indépendant depuis plus de 10 ans.
Particulièrement adulé en Europe, Popa Chubby revient avec un 28e album volontiers énervé, The Fight is on, qu’il défend ce soir sur la scène de l’Espace Julien. "J’avais envie d’un son rocailleux, rock’n roll qui sent bon le sale... sans compromis". Une nouvelle preuve que le rock n’est pas mort.
Ce soir 20h30, Espace Julien (Marseille), 24,80 €. Première partie : Hofman Family Blues Experience au Café Julien.
A. K., La Provence du 3 mai 2011
Photo DR
Il a vraiment une gueule de "bad boy". Avec sa boule à zéro, ses gros bras et ses tatouages de femmes nues, Popa Chubby a d’abord dû se faire une place dans un quartier noir de New York, le Bronx où il est né en 1960, avant de se faire un nom dans le vaste champ des musiques noires-américaines, le blues en particulier. Au point même d’incarner un genre musical, le New York City blues, qu’il définit comme "une musique crue, urbaine et qui t’en met plein la gueule". A savoir, un mélange détonnant de blues et de rock, avec aussi du jazz, du funk et même du gangsta rap.
Né Ted Horowitz, l’homme à la Stratocaster de 1966, fortement influencé par le jeu de Jimi Hendrix auquel on le compare, commence pourtant la musique par la batterie, à l’âge de 14 ans. Et c’est en découvrant les Rolling Stones que ce fils d’épicier se met à la guitare.
Musicien prolifique, Popa Chubby, sorte de "papa joufflu" du blues pour ne garder que la traduction politiquement correcte de son pseudonyme, sort presque un album par an à partir de 1991. Après Booty And The Beast, sorti en 1995 chez Sony, album de blues qu’il juge commercial à l’image de ce que lui avait suggéré son producteur Tom Dowd, le New-yorkais monte sa propre structure, PCP-Popa Chubby Productions, et gère sa carrière en indépendant depuis plus de 10 ans.
Particulièrement adulé en Europe, Popa Chubby revient avec un 28e album volontiers énervé, The Fight is on, qu’il défend ce soir sur la scène de l’Espace Julien. "J’avais envie d’un son rocailleux, rock’n roll qui sent bon le sale... sans compromis". Une nouvelle preuve que le rock n’est pas mort.
Ce soir 20h30, Espace Julien (Marseille), 24,80 €. Première partie : Hofman Family Blues Experience au Café Julien.
A. K., La Provence du 3 mai 2011
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