Kashmir est issue du sixième album studio de Led Zeppelin intitulé "Physical Graffiti" et publié le 24 février 1975. Les paroles de la chanson auraient été écrites en 1973,par Robert Plant au cours d'un Voyage au Maroc
Dans une interview, Robert Plant a affirmé que cette chanson était celle qui représentait le mieux le groupe. De fait, entre sa création, en 1975, et la dissolution du groupe, en 1980, le quatuor l'a jouée à chaque concert.
Kashmir
Oh, let the sun beat down upon my face, stars to fill my dream.
I am a traveler of both time and space, to be where I have been.
To sit with Elders of the gentle race, this world has seldom seen.
They talk of days for which they sit and wait, and all will be revealed...
I am a traveler of both time and space, to be where I have been.
To sit with Elders of the gentle race, this world has seldom seen.
They talk of days for which they sit and wait, and all will be revealed...
Talk and song from tongues of lilting grace, whose sounds caress my ear.
But not a word I heard could I relate, the story was quite clear.
But not a word I heard could I relate, the story was quite clear.
Oh, I've been flying... mama, there ain't no denyin'...
I've been flying, ain't no denyin', no denyin'...
All I see turns to brown, as the sun burns the ground.
And my eyes fill with sand, as I scan this wasted land,
Trying to find, trying to find where I've been...
And my eyes fill with sand, as I scan this wasted land,
Trying to find, trying to find where I've been...
Oh, Pilot of the storm who leaves no trace, like thoughts inside a dream,
Heed the path that led me to that place, yellow desert stream.
My Shangri-La beneath the summer moon, I will return again,
Sure as the dust that floats high in June, when movin' through Kashmir...
Heed the path that led me to that place, yellow desert stream.
My Shangri-La beneath the summer moon, I will return again,
Sure as the dust that floats high in June, when movin' through Kashmir...
Oh, Father of the Four Winds, fill my sails, across the Sea of years,
With no provision but an open face, along the Straits of fear.
With no provision but an open face, along the Straits of fear.
When I'm on, when I'm on my way...
When I see, when I see the way, you stay.
When I see, when I see the way, you stay.
Ooh, yeah-yeah, ooh, yeah-yeah, when I'm down...
Ooh, my baby, oooh, my baby, let me take you there !
Let me take you there !
Ooh, my baby, oooh, my baby, let me take you there !
Let me take you there !
Cachemire
Oh, laisse le soleil taper sur mon visage, les étoiles remplir mon rêve
Je suis un voyageur de l'espace temps, pour être là où je suis allé,
Pour m'asseoir avec les ancêtres de la noble race, que notre monde a si peu connu
Ils parlent des journées qu'ils ont passées assis, à attendre que tout soit révélé
Je suis un voyageur de l'espace temps, pour être là où je suis allé,
Pour m'asseoir avec les ancêtres de la noble race, que notre monde a si peu connu
Ils parlent des journées qu'ils ont passées assis, à attendre que tout soit révélé
Ils ont parlé et chanté d'une langue à la grâce musicale, dont les sons caressent mon oreille
Mais je ne peux pas raconter un mot de ce que j'ai entendu, l'histoire était très claire
Mais je ne peux pas raconter un mot de ce que j'ai entendu, l'histoire était très claire
Oh, je me suis envolé... mon amour, c'est indéniable...
Je me suis envolé, on ne peut pas le nier...
Je me suis envolé, on ne peut pas le nier...
Tout ce que je vois devient brun, lorsque le soleil brûle le sol
Et mes yeux s'emplissent de sable, lorsque je scrute cette terre aride,
Essayant de retrouver, essayant de retrouver là où je suis allé...
Essayant de retrouver, essayant de retrouver là où je suis allé...
Oh, Guide de la tempête qui ne laisse aucune trace, comme des pensées dans un rêve,
Fais attention au chemin qui me mena à ce lieu, la piste jaune du désert
Fais attention au chemin qui me mena à ce lieu, la piste jaune du désert
Mon paradis terrestre sous la lune d'été, j'y reviendrai à nouveau
Aussi sûr que la poussière qui flotte haut en juin, lorsque l'on s'enfonce à travers le Cachemire
Aussi sûr que la poussière qui flotte haut en juin, lorsque l'on s'enfonce à travers le Cachemire
Oh, Père des Quatre Vents, gonfle mes voiles, à travers la Mer des années,
Sans provisions mais le visage ouvert, le long du Détroit de la peur.
Sans provisions mais le visage ouvert, le long du Détroit de la peur.
Quand je suis, quand je suis sur ma route...
Quand je vois, quand je vois le chemin, tu restes.
Quand je vois, quand je vois le chemin, tu restes.
Quand je vais mal...
Mon bébé, laisse moi t'emmener là-bas !
Laisse moi t'emmener là-bas !
Mon bébé, laisse moi t'emmener là-bas !
Laisse moi t'emmener là-bas !
pur bonheur!!!
RépondreSupprimer