Le Quintette de
cuivres de Marseille s'est produit le 19 juin dernier au parc de
Bagatelle à proximité de la Mairie des 6eme et 8eme arrondissements
de Marseille.
Après une
présentation un pesante du maire de secteur et de son adjoint à la
culture, les festivités
peuvent commencer.
Le public est
nombreux. Moins que l'année précédente aux dires des habitués.
Mais quand même. Il est difficile de se déplacer pour faire des
photos en changeant d'angle.
L'ambiance est bon
enfant. Les gens sont venus en famille profiter de la douceur de la
soirée. Chacun amène son pique nique. Sympathique.
Le maire de secteur
et son premier adjoint entonnent chacun leur petit discours
d'introduction, puis les affaires sérieuses peuvent démarrer.
J'ai un peu d'à
priori sur ce concert. C'est la première fois que j'assiste à un
concert dont l'orchestre est
uniquement composé de cuivres.
Mais dès les
première mesures, toute mes réserves disparaissent. L'ensemble nous
entraine dans les mondes Verdi (Aïda), Rossini (Ouverture de
Guillaume Tell), Bizet (Carmen), Puccini (la Tosca)…. Pour ceux que
je connais. Si les airs d'Aïda ou Carmen reviennent sans rapidement
à ma mémoire, Guillaume Tell me demande un gros effort de mémoire.
D'autres sont
d'illustres inconnus. Comme Dukas (Fanfare La Peri)
Pour les musiciens
plus actuels Gershwin ou Bernstein se reconnaissent à leurs styles
bien particuliers. Mais mis à part West Side Story, allez jeter un
titre sur Three Preludes ….
Pendant la deuxième
partie du programme, des « statues animées » entourent
les musiciens. C'est amusant mais çà détourne un peu l'attention
par rapport aux morceaux interprétés.
Un beau spectacle
qui manquait juste un peu de pédagogie envers la partie du public
« non initiée
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