Mon fils tenait à y participer... Je n'étais pas très chaud mais j'ai accepté de l'amener. en attendant, nous observons les personnages déguisés qui arrivent au compte goute. çà fait paraitre le temps moins long.
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dimanche 27 février 2011
Japan Expo 2011 à Marseille
Et bien voilà ! arrivés avant l'heure de l'ouverture, nous nous offrons quarante cinq minutes de queue pour pouvoir accéder à l'entrée de la Japan Expo.... Autant dire que le salon en question a du succès.
Mon fils tenait à y participer... Je n'étais pas très chaud mais j'ai accepté de l'amener. en attendant, nous observons les personnages déguisés qui arrivent au compte goute. çà fait paraitre le temps moins long.
Mon fils tenait à y participer... Je n'étais pas très chaud mais j'ai accepté de l'amener. en attendant, nous observons les personnages déguisés qui arrivent au compte goute. çà fait paraitre le temps moins long.
La Provence: 35 000 fans du Japon attendus à Marseille
Le 3e salon "Japan Expo Sud" ouvre ses portes aujourd'hui au parc Chanot
Pour sa 3e édition à Marseille, le festival de la culture et des loisirs japonais met le paquet. Trois jours surréalistes d'immersion totale dans la pop-culture japonaise raviront les fans sur 20000 m² de surface au Parc Chanot (8e). "Un événement prioritaire" pour Maurice Di Nocera, conseiller municipal (Nouveau Centre) délégué aux Grands Evènements, qui se réjouit de l'immense succès de la précédente édition. Au programme: mangas, musique, mode, cuisine, arts martiaux… Le pays du soleil levant sera dévoilé sous toutes ses coutures.
Le jeu vidéo sera tout particulièrement mis à l'honneur cette année avec la présence de Yûsuke Kozaki, illustrateur, créateur de personnages et mangaka. Sans oublier Marcus, animateur sur NoLife, présent aux côtés des joueurs qui pourront s'entraîner sur une multitude de consoles. Les fans de musique japonaise ne seront pas non plus en reste avec la scène du festival qui accueillera Head Phones President, TarO & JirO, Yuuki, Keisho Ohno, Galaxy7 et Yume Duo.
La culture traditionnelle japonaise pourra également être explorée à travers toutes ses facettes : démonstrations et initiations aux arts martiaux, espace bien-être avec techniques de relaxation, ateliers d'origami et de calligraphie, spectacles de danse sans oublier quelques spécialités culinaires. Japan Expo Sud n'oublie pas pour autant son fer de lance: le manga.
Une exposition sera organisée en hommage à Shôtarô ISHInoMORI, surnommé le "Roi du manga", avec la présentation de morceaux choisis de son oeuvre. Mais le Japan Expo Sud ne serait pas ce qu'il est sans le fameux "cosplay", l'art de se déguiser en personnage de manga ou de jeu vidéo. Un concours aura d'ailleurs lieu aujourd'hui et samedi autour d'un défilé. Enfin, vous pourrez vous plonger dans l'une des deux salles obscures pour assister à la projection de films et de séries d'animation. À vos costumes, à vos manettes et surtout, ne lésinez pas sur l'excentricité.
Photo LP
Le jeu vidéo sera tout particulièrement mis à l'honneur cette année avec la présence de Yûsuke Kozaki, illustrateur, créateur de personnages et mangaka. Sans oublier Marcus, animateur sur NoLife, présent aux côtés des joueurs qui pourront s'entraîner sur une multitude de consoles. Les fans de musique japonaise ne seront pas non plus en reste avec la scène du festival qui accueillera Head Phones President, TarO & JirO, Yuuki, Keisho Ohno, Galaxy7 et Yume Duo.
La culture traditionnelle japonaise pourra également être explorée à travers toutes ses facettes : démonstrations et initiations aux arts martiaux, espace bien-être avec techniques de relaxation, ateliers d'origami et de calligraphie, spectacles de danse sans oublier quelques spécialités culinaires. Japan Expo Sud n'oublie pas pour autant son fer de lance: le manga.
Une exposition sera organisée en hommage à Shôtarô ISHInoMORI, surnommé le "Roi du manga", avec la présentation de morceaux choisis de son oeuvre. Mais le Japan Expo Sud ne serait pas ce qu'il est sans le fameux "cosplay", l'art de se déguiser en personnage de manga ou de jeu vidéo. Un concours aura d'ailleurs lieu aujourd'hui et samedi autour d'un défilé. Enfin, vous pourrez vous plonger dans l'une des deux salles obscures pour assister à la projection de films et de séries d'animation. À vos costumes, à vos manettes et surtout, ne lésinez pas sur l'excentricité.
Lisa SERERO
La Provence du 25 février 2011
jeudi 24 février 2011
The Corrs : what can I do ? / que puis-je faire ?
what can I do ?
I haven't slept at all in days
It's been so long since we've talked
And I have been here many times
I just don't know what I'm doing wrong
What can I do to make you love me
What can I do to make you care
What can I say to make you feel this
What can I do to get you there
There's only so much I can take
And I just got to let it go
And who knows I might feel better, yeah
If I don't try and I don't hope
What can I do to make you love me
What can I do to make you care
What can I say to make you feel this
What can I do to get you there
No more waiting, no more, aching...
No more fighting, no more, trying...
Maybe there's nothing more to say
And in a funny way I'm calm
Because the power is not mine
I'm just going to let it fly
What can I do to make you love me
(What can I do to make you love me)
What can I do to make you care
(What can I do to make you care)
What can I say to make you feel this
(What can I do to make you love me)
What can I do to get you there
(What can I do to make you care)
What can I do to make you love me
(What can I do to make you love me)
What can I do to make you care
(What can I do to make you care)
What can I change to make you feel this
(What can I do to make you love me)
What can I do to get you there
(What can I do to make you care)
And love me... love me...
____________________________________________________
Que puis-je faire ?
Je ne dors plus depuis des jours
Ça fais longtemps que nous n'avons pas parlés
Et j'ai été très souvent ici
Je ne sais pas ce que je fais de travers
Que puis-je faire pour que tu m'aimes
Que puis-je faire pour que tu fasses attention à toi
Que puis-je dire pour te faire ressentir ceci
Que puis-je faire pour t'avoir là avec moi
Il y en a seulement trop que je puisse prendre
Et je l'ai laissé aller
Et qui sait je pourrais me sentir mieux
Si je n'essaie pas et je n'espère pas
Que puis-je faire pour que tu m'aimes
Que puis-je faire pour que tu fasses attention à toi
Que puis-je dire pour te faire ressentir ceci
Que puis-je faire pour t'avoir là avec moi
Ne plus attendre, ne plus avoir mal
Ne plus se battre, ne plus essayer...
Peut-être il n'y a rien de plus à rajouter
Et d'une drôle de manière je suis calme
Parce que ce pouvoir n'est pas le mien
Je vais le laisser s'envoler...
Que puis-je faire pour que tu m'aimes
Que puis-je faire pour que tu fasses attention à toi
Que puis-je dire pour te faire ressentir ceci
Que puis-je faire pour t'avoir là avec moi
Aime moi...
dimanche 20 février 2011
Gregg Allman, le blues rédempteur (Le Figaro)
mardi 8 février 2011
Libération: Gary Moore meurt
Disparition . Le hard-bluesman de Belfast avait 58 ans. Par YVES BIGOT
Avec sa trogne de deuxième ligne irlandais, Robert William Gary Moore n’avait aucune dimension hollywoodienne et faisait figure d’étrange rockstar. Dès qu’il s’emparait d’une guitare électrique, en revanche, tout sarcasme cessait. Musicien professionnel à Belfast dès 15 ans, compagnon de route du mulâtre Phil Lynott, avec qui il fonda Skid Row à Dublin en 1968, et qu’il rejoindra au sein de Thin Lizzy (en 1974 pour Nightlife, puis en 1979 pour Black Rose) avant de partager avec lui l’affiche de divers tubes en duo (Out in the Fields, Over the Hills and Far Away et Parisienne Walkways qui connut les honneurs de notre Top 50), Moore appartenait à la seconde génération de guitar heroes britanniques, héritier de Cream.
Le hard rock au son métallique qu’il cultive au sein des formations auxquelles il se joint (Colosseum II, G-Force, BBM où il fait son Clapton près de Ginger Baker et Jack Bruce) établit sa réputation, et pourtant Gary Moore dépasse largement ce cadre hurlant. Après l’album After the War, qui fait appel à ses racines celtiques, il réussit en 1990 son test de bluesman avec l’album de référence Still Got the Blues, où il est rejoint par deux de ses maîtres, Albert King et Albert Collins, outre George Harrison et Nicky Hopkins.
Dans la foulée, lors d’un premier passage époustouflant au festival de Montreux, il séduit le plus exigeant public de la planète, suant à grosses gouttes dans sa tignasse brune et faisant résonner sa grosse voix comme sa Les Paul Sunburst 1959 (achetée à son modèle et mentor, Peter Green, auquel il consacre l’album Blues For Greeny) aux accents remarquablement mélodiques et cinglants. Il devient un des principaux habitués du lieu, se mesurant là encore l’été dernier, comme sur les albums suivants du même acabit (After Hours, Blues Alive, Back to the Blues) à BB King, Luther Allison, Albert Collins et compagnie. Un coffret Live at Montreux témoigne de son aisance en public, de sa chaleur, et de la maîtrise du blues acquise au fil des ans, dans un style pouvant aller du mordant des Bluesbreakers période Clapton au lyrisme de Santana.
Très éclectique, au point de tenter des expériences jusque dans la dance, Moore a aussi collaboré avec Greg Lake, joué le solo de la version caritative de Let It Be par le Ferry Aid (numéro 1 anglais) et connu l’honneur de soler sur She’s My Baby pour les Travelling Wilburys à la demande de son ami George Harrison. Hier, il est mort à 58 ans dans un hôtel en Espagne, où il passait des vacances.
Le hard rock au son métallique qu’il cultive au sein des formations auxquelles il se joint (Colosseum II, G-Force, BBM où il fait son Clapton près de Ginger Baker et Jack Bruce) établit sa réputation, et pourtant Gary Moore dépasse largement ce cadre hurlant. Après l’album After the War, qui fait appel à ses racines celtiques, il réussit en 1990 son test de bluesman avec l’album de référence Still Got the Blues, où il est rejoint par deux de ses maîtres, Albert King et Albert Collins, outre George Harrison et Nicky Hopkins.
Dans la foulée, lors d’un premier passage époustouflant au festival de Montreux, il séduit le plus exigeant public de la planète, suant à grosses gouttes dans sa tignasse brune et faisant résonner sa grosse voix comme sa Les Paul Sunburst 1959 (achetée à son modèle et mentor, Peter Green, auquel il consacre l’album Blues For Greeny) aux accents remarquablement mélodiques et cinglants. Il devient un des principaux habitués du lieu, se mesurant là encore l’été dernier, comme sur les albums suivants du même acabit (After Hours, Blues Alive, Back to the Blues) à BB King, Luther Allison, Albert Collins et compagnie. Un coffret Live at Montreux témoigne de son aisance en public, de sa chaleur, et de la maîtrise du blues acquise au fil des ans, dans un style pouvant aller du mordant des Bluesbreakers période Clapton au lyrisme de Santana.
Très éclectique, au point de tenter des expériences jusque dans la dance, Moore a aussi collaboré avec Greg Lake, joué le solo de la version caritative de Let It Be par le Ferry Aid (numéro 1 anglais) et connu l’honneur de soler sur She’s My Baby pour les Travelling Wilburys à la demande de son ami George Harrison. Hier, il est mort à 58 ans dans un hôtel en Espagne, où il passait des vacances.